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InvitéInvité
Mar 6 Oct - 16:41 |
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| 4.30 du matin Bon, il est temps que je me bouge pour trouver une idée de cours moi...Il ne serait pas trop tôt.Elijared fit une moue boudeuse. En même temps, son visiteur n'avait pas tort. Son regard vola jusqu'à son horloge. Merde, 4h30 du mat, elle était mal barrée pour dormir... Bon et bien autant faire quelque chose de bien... Elle soupira et ramena à elle une plume et un parchemin, espérant que l'idée viendrait toute seule. ... ... ... La salle était vide mais propre. Les tentures sentaient le frais et les rideaux laissaient entrer la lumière du jour. Elijared pénétra dans la salle et observa les lignes de bureaux, soudain inquiète. Elle ne s'était jamais trouvée en face d'adolescents dont les hormones faisaient l'aller retour terre-lune en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. Elle s'imagina le temps d'une seconde, à la tête d'une classe réellement pénible... Les paroles de son invité de la nuit précédente lui revinrent à l'esprit: elle était prof, elle faisait ce qu'elle voulait. Elle passa une main dans ses mèches noires et avança vers le tableau où elle écrivit: Bonjour et bienvenue en Défense Contre les Forces du Mal!
Je vous prie de poser vos livres sur mon bureau et de vous asseoir. Je ne suis pas absente, je suis simplement en train de terminer la préparation de votre cours pratique. En attendant, répondez à cette question:
Qu'est ce que le mal?
Vous aurez 5 minutes à partir du gong.
Pour les livres, ne trichez pas, je le saurais et plus vous tarderez à les mettre, plus je vous garderais avec moi à la fin du cours. Elle sourit en se relisant. Elle ne s'était pas présentée mais tant pis. Ils devaient bien être au courant de son nom. Elle fit apparaître un mini gong sur le bureau et l'enchanta pour qu'il "sonne" dès que tous les livres seraient sur son bureau. Elle pénétra dans l'annexe et ferma la porte. ... ... ... Cinq minutes précises après le gong, Elijared revint dans le cours avec une petite cage dans ses bras. Elle dédia un sourire aux élèves. Bonjour, je suis Elijared Kjeldsen, votre professeur... Alors, vous avez une réponse à ma question?HJ:Donc, je vous laisse jouer votre arrivée. Le premier à poster pourra donner sa réponse directement, pas la peine de faire trente rp... Et comme toujours: 20 points pour le premier qui répondra 15 pour le second 5 par réponse réellement satisfaisante 5 pour la participation Retards méchamment sanctionnés...
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Dim 18 Oct - 18:42 |
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| Willara & William Willara – « Qu’est-ce qui a ? » lui demanda-t-elle en le regardant d’un air suspect. William – « Hein ? » En levant la tête d’un air surpris et dévisageant ainsi sa sœur. « Comment ça ? Willara – « Depuis que tu es arrivée a Poudlard tu n’a pas était une seule fois à l’heure à n’importe lequel de tes cours. Hors là tu es carrément en avance et il se pourrait même qu’avec tes bêtises on arrivent les premiers. Alors qu’est-ce que t’a ? » William – « Oh rien » se défendit-il innocemment sur un air gentillet tu n’étais en rien convainquant.
Fronçant les sourcils, la jeune Slayers s’avança en avant et en courbant le dos en le regardant dans les yeux comme si elle cherchait à trouvez un détail qu’elle n’avait dès lors pas encore remarqué. William quand a lui affichait un large sourire hypocrite qui laissait deviner quelque chose de louche dans toute cette histoire. Au bout de quelque seconde l’évidence vint alors à l’esprit de la rouge et or.
Willara – « Tu fantasme sur la prof de DCFM ! » affirma-t-en poussant un soupir exaspéré. William – « Moiiiii ???? » demanda-t-il choqué, en exagérant peut-être un peu sa réaction. Mais juste un peu alors. Il plaça sa main droite à plats sur son cœur en prenant un air offusqué avant de poursuivre sur un ton théâtral « Que tu pense que je puisse être assidue a un cour dans le seul but d’admirer les courbes généreuse et le corps de rêve de Mademoiselle Kelsen me choque. » Willara – « C’est Kjeldsen William ! Et arrête ton blablabla car je sais pertinemment que… Heeeeeey ! »
Il ne l’avait pas finir et s’était contenté de l’attraper par le bras pour la trainé jusqu'à la salle de défense contre les forces du mal. Le tenant par le poignet, il ne la lâcha que lorsqu’il fût arrivé. Hors de question qu’ils soient en retard ! Bien entendu il aurait pût très bien ce rendre seul à se cour, mais Willara ne lâcher pas d’une semelle ces derniers temps. Bien qu’elle ne l’aurait avoué pour rien au monde, elle se faisait un peu de soucis pour son frère qui semblait avoir du mal à s’adapter à la vie à Poudlard. Se dernier stoppa sa course juste devant la porte et passa une main dans ses cheveux pour leurs donner un air décoiffé qui accentuerait sans doute son charme déjà évident. Il se redressa un peu et tira sur sa chemise afin qu’elle soit impeccable et qu’il soit présentable. Après ceci, il entra enfin, se pavanant comme un lion en pleine période de Ruth. Mais alors qu’il pensait croiser le regard de son fantasme qui moment, il n’aperçut qu’un bureau vide et des écritures au tableau. Penaud William arrondie le dos et afficher un air blazer.
Willara – « Il semblerait que tu soie destiné à te prendre des râteaux William. »
Il ne prit même pas la peine de répondre et rejoignit la table se trouvant au premier rang, bien centré au tableau. D’habitude il se mettait toujours au fond mais là il était vital que son enseignante s’aperçoit de sa présence. Sans grand enthousiasme il lit alors ce qu’il y avait d’inscrit au tableau. Exécutant ses ordres comme une sainte bible, il se leva alors et posa son livre sur le bureau de la prof absente. Malheureusement d’ailleurs… La salle se remplit de minute en minute et bientôt le gong fût retendit. Qu’est-ce que le mal ? Très bonne question ! La première qui lui vint a l’esprit c’était « Karly McGregor » Lilith Grey ou encore « Willara ». Mais bon ça risquer de faire mauvais genre s’il accusait ses trois femmes d’être l’épouse du diable ou leurs servantes. Les cinq minutes passèrent ensuite sans que William ne se pose vraiment la question au final. Après tout il avait mieux à faire qu’à penser a cette interrogation inutile. Un large sourire ravi apparut sur son visage quand il aperçut le joli minois de Mademoiselle Kelsen. Et en plus elle se mit à sourire. Posant les coudes sur sa table, William reposa alors sa tête au creux de ses paumes en observant la demoiselle d’un air béat. Puis vint le moment où il entendit sa délicate voix comme le chant gracieux d’un oiseau délicat. Et oui lui aussi il sait fait de la poésie quand il veut. Pas la peine de s’appeler http ou @ pour ça.
Elijared - Bonjour, je suis Elijared Kjeldsen, votre professeur... Alors, vous avez une réponse à ma question?
Se redressant d’un seul coup comme s’il venait de recevoir une décharge électrique, William leva la main bien haute pour être interrogé.
William – « Je pense que le mal est avant tout psychologique. Pour moi c’est une façon de pensée et une question de valeur. Pour certain quelque chose pourra paraitre immorale ou pour d’autre complètement normal. Prenait par exemple une histoire d’amour entre deux personnes présentant une forte différence d’âge. Pour beaucoup cela semble impossible. Mais moi j’pense que ça l’ai pas tant que ça. C’est vrai que ça paraitre bizarre un garçon de 19 … 18 … ou même 17 ans tiens qui sort avec une femme de 24 … 26… voir 28 ans mais est-ce qu’on peut vraiment contrôler ses choses là ? Je veux dire… L’amour vous tombe parfois dessus sans prévenir. Vous n’y pouvait rien. C’est comme ça » termina-t-il avec un large sourire ravie. | |
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Lun 19 Oct - 10:36 |
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| Bonjour et bienvenue en Défense Contre les Forces du Mal!
Je vous prie de poser vos livres sur mon bureau et de vous asseoir. Je ne suis pas absente, je suis simplement en train de terminer la préparation de votre cours pratique. En attendant, répondez à cette question:
Qu'est ce que le mal?
Vous aurez 5 minutes à partir du gong.
Pour les livres, ne trichez pas, je le saurais et plus vous tarderez à les mettre, plus je vous garderais avec moi à la fin du cours.
Roman arriva tranquillement les mains dans les poches. Il écoutait ce que lui racontait Judith pas encore vraiment bien réveillé. La blonde le faisait rire et pour grincheux qu'il pouvait être quand il se levait, il était toujours d'humeur à écoutait Judith. Il jeta son sac sur la table remarquant d'une que la prof n'était pas là de deux qu'elle leur avait déjà écrit une tartine sur le tableau. Un regard blasé à Judith qui s'asseyait à côté de lui:
Judith - Ouais je vois l'genre... Roman - Et dire que ce cours pourrait être génial mais non, en six années il a toujours fallu qu'on tombe sur des profs qui ne nous ont fait que gratter... Judith - ... madame Coeurenjoie, personne ne peut être pire que madame Coeurenjoie... Roman- On verra bien avec Kjeldsen... Judith - Je sais même pas comment t'as fait pour retenir son nom...
Il était slave voilà pourquoi... Un petit signe à Will, puis c'est sa soeur qui venait de rentrer avec sa bande de copines suivie bien évidemment de Kelso. Roman avait presque fini par s'habituer à ce que ce gros lourdingue traîne toujours derrière sa soeurette, sûrement à reluquer ses fesses d'ailleurs. Ce type ne servait à rien. Une question lui vint à l'esprit... et Eurydice alors? Il avait gardé une place à côté de lui en sachant pertinemment qu'à tous les coups quelqu'un d'autre allait s'y mettre mais sait-on jamais. Ca faisait bien cinq minutes qu'il était allé posé son bouquin et celui de Judith sur le bureau de la prof.
Elijared - Bonjour, je suis Elijared Kjeldsen, votre professeur... Alors, vous avez une réponse à ma question? William – « Je pense que le mal est avant tout psychologique. Pour moi c’est une façon de pensée et une question de valeur. Pour certain quelque chose pourra paraitre immorale ou pour d’autre complètement normal. Prenait par exemple une histoire d’amour entre deux personnes présentant une forte différence d’âge. Pour beaucoup cela semble impossible. Mais moi j’pense que ça l’ai pas tant que ça. C’est vrai que ça paraitre bizarre un garçon de 19 … 18 … ou même 17 ans tiens qui sort avec une femme de 24 … 26… voir 28 ans mais est-ce qu’on peut vraiment contrôler ses choses là ? Je veux dire… L’amour vous tombe parfois dessus sans prévenir. Vous n’y pouvait rien. C’est comme ça » Judith - Non je l'crois pas, il drague la prof là...
Roman avait l'air particulièrement plongé dans ce que venait de dire Will. Il jeta un regard à Ella qui baissa le regard précisément à ce moment. Elle avait pensé à la même chose...
Roman -... de ce point de vue là c'est plus une question de conventions j'ai l'impression. Le Mal c'est... ça va plus loin. Ce n'est pas aussi évident, on ne se rend pas forcément compte de la limite à ne pas franchir. Le Mal c'est tout simplement tout ce qui nuit aux autres, quand un monstre surgit dans un village et décime la population: ça c'est le mal, après qu'un type de 17 ans sorte avec une pr... une femme de 30, je vois pas vraiment où est le mal s'y s'est consenti....
Une vraie réponse de chasseur. Un monstre, à quoi pensait-il précisément? A un lycan peut-être...
Ella- Et si c'était une fille de 16 ans qui était amoureuse d'un homme de... plus de trois fois son âge? Roman- Ca ne change rien, comme j'ai dit du moment que la relation est consentie et que personne n'est manipulé ou forcé à quoique ce soit...', répondit Roman un peu sur la défensive pour le coup.
Sa jumelle Serpentard avait clairement senti l'allusion qu'il n'avait d'ailleurs pas faite exprès. Dans le fond il se fichait de la différence d'âge, ce qui le faisait chié c'était que Kirill soit un lycan et qu'il ait fait du mal à sa soeur mais que malgré tout, et il ne comprenait pas pourquoi, elle l'aimait.
Judith- Elle est vraiment conne ta soeur...', grinça la poufsouffle tout bas.
Roman ne répondit pas.
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Ezechkiel E. ScylenceSORCIER.
► MESSAGES : 229 Lun 19 Oct - 20:07 |
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| Agacé? C'était le mot. Cette question était tout simplement ridicule. Ezechkiel se massa les tempes, comme pris d'un mal de tête insistant et foudroyant, un de ceux à qui vous avez envie de ratatiner la gueule, juste pour le plaisir. Il releva le regard, un regard brillant de clarté, sur Roman. Il ne parlait pas comme un homme. Il parlait comme un chasseur. Mais ses arguments étaient tout autant subjectif que son raisonnement. Un large sourire s'étendit sur les lèvres du jeune homme qui haussa un sourcil, moqueur alors.
« Qui décimerait une population? Pitié. C'est tout ce qu'il y a de mieux au monde, les guerres! Ça relance une économie, ça fait de la place, ça carbure les naissances, ça donne une pointe de fierté pour les vainqueurs! La guerre, c'est le bien! » Ezechkiel eut un petit rire avant de reprendre, plus calme. « La question n'est pas de savoir si c'est bien ou mal qu'un homme de 50 ans se tappe une petite jeune de 15 ans... non mais franchement, les mœurs changent, qu'est-ce qu'une mœurs que le degrés de censure d'une époque? Sérieusement, qu'est-ce que c'est que cette question? Qu'est-ce que le mal? Mais le mal est purement subjectif. C'est ridicule comme question. Tout le monde a sa définition du mal, non? Roman pense qu'une créature qui décime un peuple est un mal. Certes. Mais dans ces cas là, il faudrait tuer la créature, non? Or, tu fais autant de mal. Le mal est partout, dans nos esprits, dans nos corps, inscrits sur notre code génétique. Rousseau défendait l'idée que l'homme était bon naturellement et que c'était la société qui le rendait mauvais. » Il soupira, se rendant compte de ce qu'il venait de dire. « Rousseau est un philosophe moldu, il date de quelques siècles. Bref. Mais Rousseau était purement aveuglé par sa foi. Personne, et je dis bien personne, dans cette classe, n'est une bonne personne. Vous me direz que je ne suis pas le mieux placer pour parler? Mais regardez vous, vous êtes tous des névrosés en puissance, des bouffeurs de chair humaine. » Il reposa son regard sur le professeur, alors que tout le monde le fixait, et eut un sourire en coin. « Vous êtes vous aussi une nécrosée, une malade, une folle, et surtout, le mal vous habite. Nous agissons tous par intérêt, nous sommes des jouisseurs, des malsains, des pervers. Tous ici, nous sommes paranoïaques. Si demain on nous mettait tous ensemble sur une île et qu'on nous disait : un seul pourra en sortir, je suis certains que vous serez le premier à sacrifier votre premier ami, et ne me dîtes pas non, ça a été prouvé. Battle Royal, vous connaissez? Ne soyez pas ahuri. L'homme est le mal. Qu'est-ce que le mal? C'est l'homme. À l'instar des créatures, l'homme peut différencier le bien du mal, mais malheureusement, le mal est purement et simplement la bonne solution. Une créature tue car son instinct le dit, car elle est faite ainsi. La nature veut qu'un lion mange une gazelle, une gazelle qui n'a rien fait, qu'un lycan croque un humain. Nous mangeons bien de la viande. Vous croyez quoi? Qu'elle vient toute seule dans votre assiette la viande? La vraie question, si je peux me permettre, c'est qu'est-ce que le bien? » Il eut un large sourire, arrogant et hautain. « Dans ces conditions, je vous répondrais qu'en ce bas monde, le bien n'est qu'un degrés du mal qui n'a aucune conséquence sur ce qui nous entoure. Le mal est partout. »
Admirative, Georgie en aurait presque applaudie son héros. Ezechkiel gardait un visage moqueur. Son raisonnement était logique, appuyé sur Hobbes et d'autres philosophes moldus que sans doute 95% des élèves assis sur leurs chaises n'avaient jamais entendu parler, ni de nom, ni de quoi que ce soit. Un atout de taille, il fallait l'avouer. | |
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InvitéInvité
Mar 20 Oct - 20:35 |
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| Enfermée dans sa petite pièce, Elijared faisait tout sauf ce à quoi les élèves pouvaient penser. Elle ne terminait pas la préparation de son cours. Devant elle, un pentacle luisait doucement et lui donnait une image précise de sa classe qui se remplissait peu à peu. Elle observait chaque visage, chaque réaction face au tableau couvert de son écriture fine. Elle attendait une personne en particulier: celui contre qui elle s'était "frotté" au cour de botanique. Elle savait qu'il la prenait pour folle. Il était tombé exactement dans le même piège que ceux qui la croisaient. C'était amusant et très plaisant pour elle... mais moins pour les autres.
Lentement, elle traça un autre pentacle au centre du premier. L'image changea. Ce n'était plus sa salle qu'elle voyait mais un autre endroit qu'elle survillait toujours. Le voyant calme et sachant que les cinq minutes s'étaient écoulées, elle effaça d'un geste la craie puis se releva. Elle attrapa la cage qu'elle avait déjà préparé, la couvrit d'un tissus sombre puis revint à sa salle. Inutile pour elle de se demander ce que ses élèves avaient bien pu penser de son "intro". Elle s'interrogea sur leur réaction si elle leur disait qu'il n'y avait pas de bonne réponse à sa question. Elle sourit comme une bienheureuse en se présentant et en désignant William pour la première réponse.
Pendant qu'il parlait, elle posa la cage sur son bureau, au dessus des livres, et s'assit sur le bureau, les jambes croisées et pendant dans le vide. Son visage calé dans la paume de sa main elle même posée sur son genou, elle écouta les réponses, souriant avec indulgence quand William fit mention d'une histoire d'amour. Pauvre élève... Elijared n'était pas prête de donner une once de son coeur à qui que ce soit. Elle appréciait et cela s'arrêtait là. Quand il eut terminé, elle hocha de la tête. C'était correct comme opinion. Bon pas ce à quoi elle s'attendait pas bon...
Ses prunelles se posèrent sur une dénommée Judith et lui indiquèrent clairement de ne pas faire plus de commentaires. Dans son cours, elle ne tolérait pas les moqueries quelles qu'elles soient. Elle cala son attention sur Roman. A lui aussi, elle dédia un sourire indulgent. C'était un point de vue comme un autre. Elle avait été attentive mais en réalité, elle attendait quelqu'un: Ezechkiel plus précisément. La petite bibliothèque sur pattes. Quand il prit la parole, elle eut un sourire narquois mais l'encouragea à répondre tout de même.
Et elle ne fut pas déçue. Il passa tout en revue... surtout des moldus. Intéressant. Quand il eut terminé, elle applaudit, toujours aussi moqueuse. Elle se redressa et se mis sur ses pieds.
-Bien, maintenant que l'on a eut l'avis de "Monsieur-je-ne prends-pas-la-peine-de-me-forger-une-opinion-moi-même" alias Ezechkiel Sylence, je vais pouvoir enfin commencer. Je ne vous rejoins que sur une chose Mr Sylence: le mal est une notion subjective, vous en êtes le premier exemple.
Elle se détourna de ses élèves, récupéra sa cage et renvoya les livres à leur possesseur. Un coup de baguette et son tableau redevint propre. La cage repris sa place sur le bureau et elle la désigna après avoir soulevé le tissu, elle dévoila la réplique exacte d'un Boutefeu Chinois.. version miniature. Elle tapota sur le bois pour éveiller un peu plus la créature.
-Une idée de la manière pratique pour le neutraliser?
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Ezechkiel E. ScylenceSORCIER.
► MESSAGES : 229 Mar 20 Oct - 21:05 |
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| « Bien, maintenant que l'on a eut l'avis de "Monsieur-je-ne prends-pas-la-peine-de-me-forger-une-opinion-moi-même" alias Ezechkiel Sylence, je vais pouvoir enfin commencer. Je ne vous rejoins que sur une chose Mr Sylence: le mal est une notion subjective, vous en êtes le premier exemple. » Il eut un sourire mauvais. Elle venait de se piéger seule. « Permettez moi de vous faire remarquer que mon avis "subjectif"... est le caractère de quelqu'un qui a ses opinions personnelles, donc qui a une opinion propre, car subjectif c'est bel et bien avoir sa propre opinion, or, vous vous contredisez dans votre propre phrase. De plus, je ne crois pas que vous soyez plus avancer que moi sur ce sujet, Mademoiselle-je-pose-une-question-qui-n'a-pas-de-réponse. Le mal est un concept philosophique. Sur ce sujet, qui de mieux placer que les philosophes? Vous? » Il eut un rictus moqueur. « Pardonnez moi, mais je doute, et quand je doute, c'est que je pense. Cogito ergo sum. »
Il ne cilla pas quand elle tourna le dos. Il aurait pu se lever et la tuer. C'était l'idée qui habiter son être, mais il ne le ferait pas, tout simplement car il venait de la tuer devant toute la classe, de remettre en cause son statut de professeur, et que personne n'était de taille de le contredire, car il avait tout simplement raison. Il tenait tête avec une facilité déconcertante, comme si au bout de sa langue le poison était une habitude. C'en était sans doute une, mais il ne la partageait qu'avec peu de professeur. Il n'avait pas besoin de ce ton acerbe qu'avec les professeurs qu'il considérait purement comme des ratés, des handicapés, et Elijared – mademoiselle – était, de tous, sans doute la moins bien classée dans l'estime du serdaigle. Il observa sans un mot le boutefeu chinois. Dans son crâne, en tant que génie, les caractéristiques du dragon passèrent en revue, en une liste compacte et claire. Il savait déjà, sans même qu'on ne lui demande, tout ce qu'il y avait à savoir dessus, car il avait déjà lu le célèbre Dragonis, livre emblème, et qu'il l'avait retenu. Son cerveau traité seize informations par seconde. Il fallait s'accrocher.
« Une idée de la manière pratique pour le neutraliser? » « Avada, videntraille, sectumsempra pour le maintenir au sol, sort de conjonctivite pour le rendre momentanément aveugle, domare dragonis pour pouvoir le contrôler, sagittae maxima pour pouvoir planter les ailes de l'animal au sol, aguamenti maxima pour étendre le feu de la créature, absumere qui bien placer pour faire éclater la cervelle de la bestiole, et dejicio si on veut le maintenir au sol. »
C'était limpide comme de l'eau clair dans son crâne. Il la fixa, sérieux, imperturbable. Elle méritait elle aussi n'importe lequel de ses sortilèges.
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Roman Konstantine
► MESSAGES : 152 Jeu 29 Oct - 12:49 |
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| Roman écouta sans un mot l'échange de philosophe entre la prof et le préfet en chef. Il jeta un petit regard à Will, levant les yeux au ciel tandis que tout à côté de lui, Judith s'endormait littéralement. La pauvre, on comprenait. Franchement Roman avait déjà lu quelques bouquins de philo, écouté des discussions de "sages" sur le Bien et le Mal... ce qu'il en retenait? Les gens avaient l'air de se faire une idée du Bien et du Mal tellement idéalisée qu'elle dépasser l'entendement de la plupart et qui plus était, elle n'avait plus rien de concret. Roman lui voyait le bien et le mal dans la vie de tous les jours, au delà de ça, ce n'était pas que la question ne l'intéressait pas mais elle ne retenait pas son attention. Une banshee dans un cimetière ça n'avait rien de mal, une Banshee qui détruit les tympans d'un pauvre malheureux et le transforme en monstre CA c'était mal. S'il pouvait éviter qu'un innocent ne se transforme en meurtrier en tuant la Banshee ou en lui coupant toute possibilité d'agir, il considérerait qu'il avait bien agi. C'était peut-être simpliste, ou très manichéen mais Roman était quelqu'un de simple, et dans le fond, il était sûrement aussi quelqu'un de bien... Aussi il décrocha complètement de la joute d'opinion des deux intellos de la classe, dont un avait pour lui d'être sacrément agréable à regarder pour une prof, pour poser ses yeux sur la petite cage couverte. Il était curieux mais impossible de savoir avant que le professeur Kjeldsen n'ai retirer le tissus. Il ne fut pas déçu, un simple coup d'oeil lui suffit à reconnaître un boutefeu chinois. Un dragon, le B-A BA de la connaissance de Roman en matière de créatures magiques. C'était bien normal après tout, il se destinait comme son père et son père avant lui, a devenir chasseur de créatures magiques, il ne se passerait aucune lacune dans le domaine. Cependant ce fut Scylence qui répondit, encore une fois:
Ezechkiel « Avada, videntraille, sectumsempra pour le maintenir au sol, sort de conjonctivite pour le rendre momentanément aveugle, domare dragonis pour pouvoir le contrôler, sagittae maxima pour pouvoir planter les ailes de l'animal au sol, aguamenti maxima pour étendre le feu de la créature, absumere qui bien placer pour faire éclater la cervelle de la bestiole, et dejicio si on veut le maintenir au sol. »
Le sang et or fronçait les sourcils désapprouvant fortement des méthodes barbares de son homologue bleu et bronze. Ce type était un vrai danger public:
Roman - Neutraliser ça ne veut pas dire trucider. J'aimerai bien te voir rater un seul de ces sortilèges sur une bête comme ça et je ne donne pas cher de ta peau. Tout le problème avec ce genre de créature, si potentiellement dangereuse et superieur au sorcier soit-elle, c'est de les apaiser et non de les revendre à l'écarisseur du coin. Un enchantement d'Orpheus si le ou les sorciers sont assez expérimentés et sûr d'eux suffiraient. Si l'on ne se sent pas d'exercer une telle magie, une salve de stupéfix marche bien aussi, c'est ce qui se fait d'ailleurs en général. Enfin vu la taille de votre spécimen Mademoiselle, un seul sorcier devrait suffir pour un stupefix...
Une réponse de chasseur encore une fois, qui d'autre qu'un chasseur pourrait connaître l'enchantement d'Orpheus?
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InvitéInvité
Mer 4 Nov - 12:31 |
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| Jaydev Dahana, SERDAIGLE, 16 ans. récemment arrivé d'une école indienne (nom à définir). Assis, au fond de la salle, depuis le début du cours, sans que personne n'y prête une réelle attention, il y avait un nouvel élève. Il devait facilement avoir 16 ans, certes, mais quelque chose de mâture semblait se dégager de sa personne. Rajoutons-également que son physique avait quelque chose de très adolescent. Il était là, ne parlant pas ou peu, observant ses collègues de classes un à un. Sur son écusson de maison, il y avait l'aigle sur un fond de bleu et de bronze. Le sujet du cours était le mal. Quelque chose d'assez vaste, subjectif - comme l'avait déjà dit le serdaigle - et surtout potentiellement dangereux. Il y avait beaucoup réfléchit. C'était d'ailleurs la première chose qu'on lui avait dit dans le bureau du directeur de Poudlard, lorsqu'il était venu s'y inscrire avec beaucoup de retard suite à quelques problèmes familiaux qui ne regarde que la famille Dahana. Le mal avait quelque chose de tentant... ça, il l'avait toujours comprit. Mais à regarder ses élèves, rien qu'en ce moment prècis, l'on pouvait facilement définir quel genre de personnes, et surtout à quel degrés, le mal pouvait être dans chaque personne. Il eut un étrange sourire lorsque Roman remit en place Ezeckiel. Le serdaigle avait réellement quelque chose de détestable... ça, cela ne faisait aucun doute. Tout dans sa personne faisait comprendre aux autres qu'il n'aimait personne.
- Neutraliser ça ne veut pas dire trucider. J'aimerai bien te voir rater un seul de ces sortilèges sur une bête comme ça et je ne donne pas cher de ta peau. Tout le problème avec ce genre de créature, si potentiellement dangereuse et superieur au sorcier soit-elle, c'est de les apaiser et non de les revendre à l'écarisseur du coin. Un enchantement d'Orpheus si le ou les sorciers sont assez expérimentés et sûr d'eux suffiraient. Si l'on ne se sent pas d'exercer une telle magie, une salve de stupéfix marche bien aussi, c'est ce qui se fait d'ailleurs en général. Enfin vu la taille de votre spécimen Mademoiselle, un seul sorcier devrait suffir pour un stupefix... - Merci Papa... murmura Judith, avec un sourire amusé sur ses lèvres à l'intention de Roman. Quoique certains sorciers n'en serait peut être pas capable... Continua-t-elle sur le même ton de voix en lançant un regard sur William et Elladora.
Jaydev se leva de sa chaise, pour prendre la parole. Cela ne faisait donc, aucun doute. Il était typé hindou. Il semblait calme, et dégageait quelque chose de très noble. Son visage, ses traits le montraient. Il avait quelque chose de très supérieur aux autres. Il était droit, le regard sérieux, et une tenu sur soit très propre. Visiblement, une éducation rigoureuse semblait être derrière tout ça.
- Le mal est subjectif. Mais en aucun cas, Mlle Kjeldsen n'a personnifié ce dernier en nos créatures magiques qui peuplent la surface de cette planète. Vous faites tous erreur là dessus. Les créatures répondent à des instincts primaires, et rare sont celles doués de raisons. Peut-on réellement les traiter de mauvaise alors ? Je ne crois pas... Le mal, cela ne concerne vraisemblablement que l'espèce humaine et ou, les espèces qui s'y rapprochent le plus comme les centaures, sirènes et autres créatures du même genre. Le mal est en chacun d'entre nous. C'est la solution de facilité. Une option que nous avons tous, mais que peu de personne ne mette réellement en pratique. Certains en ont peur, d'autres préfèrent attendre que cela arrive, et certains, préfèrent en user pour accélérer les choses, ou, tout simplement, imposer leur état d'esprit aux autres. Le mal est un ensemble d'acte mauvais. C'est un terme générique pour rassembler tout cela.
Il eut un sourire d'excuses. Son ton de voix criait l'hindou. Il parlait l'anglais comme eux, d'ailleurs, donc, peut-être que parmi vous pourrez se moquer de son accent particulièrement fort. Il repose son regard sur le professeur, puis il ajouta :
- Le mal, c'est la solution de facilité à toute chose. Le mal, c'est également de la folie. Le mal, c'est aussi savoir que ce que l'on fait est mal, provoque de la douleur physique ou mental chez une autre personne. Le mal, c'est un peu là où la liberté s'arrête. On dit que la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres. Si l'on empiète sur cet loi humaine, alors, cela devient le mal.
Il s'inclina polimment, s'asseyant derrière sa chaise pour ajouter :
- Bien sûr... Le mal étant une notion subjectif, je pense également que ce que j'ai raconté ne vous plaira pas, ni ne vous touchera. Mais c'est ma vision des choses.
Il croisa ses mains, n'en rajoutant pas plus. | |
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Elladora KonstantineLYCAN DE TYPE C.F. propriété du ministère de la magie.
► MESSAGES : 456 Sam 7 Nov - 13:58 |
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| Un regard dédaigneux ce posa sur elle. Cette c****** de Judith. De toutes les amies de Roman, c'était celle que Ella détestait le plus et c'était LA meilleure amie de Roman. Comme quoi. Quand il fallait se la farcir à la maison pendant les vacances généralement Ella se trouvait une amie (voire une pseudo amie) chez qui s'exiler. La blonde était non seulement un vrai garçon manqué (ce qui en soit n'était pas un défaut) mais c'était typiquement le genre à se croire au dessus de tout alors qu'elle ne valait déjà pas la moitié de... disons qu'elle ne valait pas la moitié de Kelso aux yeux de la Konstantine qui avait déjà peu voir pas du tout d'estime pour le sus nommé Greg Kelso, un garçon de Serpentard niais et porté sur le sexe plus que de raison, s'il fallait en faire une rapide description. Judith était peut-être même ce que Ella détestait le plus dans cette école. C'était dire. Kelso ne lui arrivait pas à la cheville. C'était-elle qui avait osé venir lui donner son avis sur son "comportement à l'égard de son frère", peu de temps après qu'Ella soit revenue. La vert et argent avait voulu répondre d'une flopée d'insulte mais Keith, son ami et préfet, l'avait tempérée juste à temps. De quel droit ce permettait-elle de juger ce qu'elle ne connaissait pas cette blondasse? De quel droit osait-elle seulement parler de Kirill? Ce n'était pas parce qu'elle était la meilleure amie de Roman et que ce dernier lui avait confier ses états d'âme qu'elle devait mettre son nez là où elle n'avait rien à faire. Elle ne faisait pas partie de la famille (encore heureux, dans ces moments là Ella aurait presque portée l'originale Eurydice aux nues). Elle n'avait pas à s'y immiscer de quelque façon que ce soit. Cette stupide Poufsouffle lui jetait encore un regard de travers. Ella leva un sourcil l'air de dire "t'as un problème?" mais rien de plus. La Serpentard n'aurait rien fait puisse la compromettre devant un professeur. Elle jeta un regard à Will pour voir si il avait remarqué l'attitude ridicule de l'autre blonde puis se mit à repenser ce que son frère avait dit, et qui lui était en grande partie adressé. Quelque part, elle avait l'impression que Roman avait plus d'ouverture d'esprit que leur père, mais d'un autre côté il s'obstinait à condamner Kirill sans savoir et à le voir comme l'espèce de monstre de conte de fée qu'il n'était pas. Quand à Scylence, Ella n'avait jamais beaucoup aimé le ton suffisant qu'il avait et sa vision des choses ne lui convenait guère mieux que celle de Roman. La guerre, elle n'y verrait jamais un bien. Pas plus qu'elle ne se considérait comme une psychopathe bien qu'opportuniste, elle voulait bien le reconnaître sans peine. Il y avait tout de même chez la jeune Serpentard, un brin de morale qui voulait que dans une situation trop extrême elle aurait pu choisir de mourir plutôt que de survivre. A cet égard la théorie du Mal Omniprésent, Omnipotent d'Ezechkiel n'était un tissus de verbillage plat et inutile. Certes pour le plaisir de la discussion et de la philosophie elle aurait pu s'entretenir avec lui sur le sujet car son point de vue restait intéressant à écouter quoiqu'elle ne l'embrassât sous presque aucun point. Quand au Boutefeu chinois que la prof tenait dans une petite cage, Ella n'en voyait vraiment pas l'intérêt, ce n'était pas à Poudlard qu'ils affronteraient ce genre de bestiole, et d'ailleurs pour sa part, ce n'était pas du tout le genre de métier vers lequel elle s'orientait. C'est alors qu'un autre élève prit la parole. Un nouveau apparemment. Ella ne l'avait jamais vu avant en tout cas. Il donnait un tout autre son de cloche. Quand il eut finit, Ella se rendit compte qu'elle ne l'avait pas lâché du regard une seule seconde, la joue appuyée sur son point, elle n'en avait pas perdu une miette. Elle sourit à Jaydev, agréablement surprise par son ouverture d'esprit et reporta son attention sur la prof... Attendu que seuls le corps enseignant été au courant de sa toute nouvelle position de lycan, le professeur Kjeldsen ne lui en voudrait peut-être pas trop de ne pas se prononcé sur la question, à moins qu'elle ne face partie de ces profs stupides qui veulent jouer au plus malins en mettant toujours le doigt là où il ne fallait pas.
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Elthiriel SampieroPROFESSEUR de métamorphose.
► MESSAGES : 370 Dim 15 Nov - 23:23 |
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| Si tous ces étudiants savaient ce qui s'en vient et la notion qu'elle a du mal... Pour le moment, il y a un bruit effréné de course dans les cporridors et les escaliers. Un quadrupède poursuivi par un bipède tout ce qu'il y a de plus fulminant. Et tandis que le bouc bondit dans les marches descendant, son poursuivant glisse allègrement sur la rampe d'une facon à faire applaudir les élèves et à faire hurler les prof... Si il y avait seulement quelqu'un qui aurait pu regarder. Donc, 5 étages plus bas, pendant que ca discute ferme sur la notion de bien et de mal, dans la classe de DCFM un juron à faire rougir un docker retentit dans le corridor avant que la porte de la classe ne s'ouvre sur un formidable coup de corne de la bête affolée. Bête qui charge directement dans la classe créant la commotion. Mais la dite bête n'a pas le temps de se rendre bien loin avant qu'on ne bondisse dessus. Avec une violence, justifiée certe, mais passablement frustrée, la Sampiero lui assène un coup de poing sur la jugulaire, histoire d'étourdir la bête le temps qu'un stupéfix tout ce qu'il y a de plus ferme finisse par immobiliser le truc. Une Elthiriel tout ce qu'il y a de plus échevelée, aux prunelles ont ne peut plus incandescentes se redresse de toute sa petite taille. Un peu plus, on pourrait croire qu'elle va éventrer sa proie pour festoyer de ses entrailles. Elle est carrément sur l'animal, baguette en main. Une mauvaise blague sur Carneiro. Explique t'elle, succinte. Même pas essoufflée. Elle s'assied, impassible, comme si l'étudiant sous elle était un vulgaire pouf. Alors, de quoi vous parliez? | |
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Prudence Slayers
► MESSAGES : 483 Lun 23 Nov - 18:20 |
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| Si William était en cour c’était pour une raison bien précise. Non en fait deux raison. La première c’est qu’il tenait à ne pas faire perdre de point à sa maison en manquant cette matière. Histoire d’égo tout simplement. La deuxième était dût au fait qu’il trouvait l’enseignante a son gout. Hors lorsque Mademoiselle Kjeldsen n’avait même pas prit la peine de répondre a ses mots elle l’avait en quelque sorte vexer. A croire que c’était habituelle pour elle d’être convoité ainsi. William trouva son attitude d’une prétention des plus détestables. Croyait-elle vraiment qu’il participait et arrivait premier à tout les cours ? Il lui avait fait cet honneur et en retour il avait à peine droit à un petit sourire. Cette attitude donner tous sauf envie au jeune homme de participer. C’est ainsi qu’il se fit discret, sortant une feuille de parchemin pour s’occuper sans gêner personne tandis que la classe d’agiter. Il ne prêta même pas attention à la remarque de Judith, cette jeune fille qui le détesté sans quelconque raison. Son enseignante avait eut une occasion rêver pour capter son attention et elle ne l’avait pas saisit. Tant pis pour elle ! Il était hors de question qu’il agisse en élève modèle si elle n’était pas capable de lui prêter plus d’intérêt. Après tout il n’était pas seul dans la classe et elle n’avait pas besoin de lui pour continuer le cour.
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