NOM, PRENOMS ▲ PRÉNOMMÉE HAWTHORNE, HESTER (SIGNIFIANT ETOILE EN PERSE) ELSPET (FORME ÉCOSSAISE DU PRÉNOM ELISABETH), LA JEUNE FILLLE PRÉFÈRE QU'ON L'APPELLE ELSPET - TRÈS PEU SAVENT POURQUOI. sexe ▲ féminin, bien évidemment âge ▲ vingt-sept ans date et lieu de naissance ▲ né à dundee, écosse (europe) un vingt-sept september origines et nationalité ▲ d'origines écossaises, elle est de nationalité anglaise métier ▲ alchimiste d'état orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle état civil ▲ veuve SANG ▲ PUR race ▲ sorcière (humaine) DON ▲ métamorphage
cette fille, c'est un prédateur déguisé en caniche
« Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas. Ne dites pas que le bonheur est éphémère. Le bonheur n'est pas éphémère. Le sentiment ressenti et pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c'est le sursis avant de comprendre l'erreur : l'être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien. Cela ne vous rend pas malheureux, mais conscient. Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie. Nous avons inventé la lumière pour nier l'obscurité. Nous avons mis les étoiles dans le ciel, nous avons planté des réverbères tous les deux mètres dans les rues. Et des lampes dans nos maisons. Eteignez les étoiles et contemplez le ciel. Que voyez-vous ? Rien. Vous êtes en face de l'infini que votre esprit limité ne peut pas concevoir et vous ne voyez plus rien. Et cela vous angoisse. C'est angoissant d'être en face à l'infini. Rassurez-vous ; vos yeux s'arrêteront toujours sur les étoiles qui obstruent leur vision et n'iront pas plus loin. Aussi ignorez-vous le vide qu'elles dissimulent. Eteignez la lumière et ouvrez grands les yeux. Vous ne voyez rien. Que l'obscurité, que vous percevez plutôt que vous ne la voyez. L'obscurité n'est pas hors de vous, l'obscurité est en vous. Je portais la malédiction de la lucidité. Les yeux de mon esprit étaient grands ouverts sur la vie et contemplaient le vide. Et pourtant luisait en moi l'étincelle moqueuse d'un espoir indéfini, qui par instants me faisait oublier le goût amer de la moelle pourrie du monde, petite étincelle ténue, seule barrière entre moi et l'autodestruction. Bien que vouée aux affres du pessimisme, aux abîmes de la vérité, je vivais. Je vivais. Pourquoi ? Je ne savais pas. Chaque matin, je me dégageais des bras enchanteurs de Morphée, pétrifiée l'idée de ces heures interminables qui s'égrèneront lentement jusqu'à ce que je puisse me replonger dans l'oubli bienfaisant d'un nouveau sommeil. Comme il fallait bien passer le temps et s'empêcher de penser, je m'occupais. Le plus futilement possible. La superficialité est l'unique panacée à ma déprime latente. Et je la brandissais au-dessus de ma tête pour chasser mes idées opaques, j'en faisais un art de vivre. » - lolita pille
❝information
PATRONUS ▲ la chouette, symbole de la famille hawthorne depuis des générations épouvantard ▲ le cadavre inanimé de son frère jumeau hersh magie prédominante ▲ l'alchimie, bien évidemment. une passion et un savoir qui se transmettent chez les hawthorne depuis la nuit des temps sort préféré ▲ EXPERLLIARMUS, toujours très utile en cas de nécessité quidditch ▲ les pies de montrose, l'équipe la plus victorieuse dans l'histoire du quidditch (en plus, elle vient d'écosse) particularités ▲ hester aime réparer les objets, qu'ils soient magiques ou non. connaître leur mécanisme, leur redonner une seconde jeunesse. réparer lui procure une sensation de bien-être, comme si tous ses ennuis s'évanouissaient d'un coup - elle a pour tatouage les reliques de la mort sur l'avant-bras gauche défaut caractéristique ▲ l'impulsivité plus grande qualité ▲ la franchise niveau de dangerosité ▲ elle est quelqu'un de plutôt pacifique, mais elle n'use de la violence que pour se défendre ou défendre les autres . groupe souhaité ▲ ministère ANCIENNE ÉCOLE + MAISON ▲ poudlard, ancienne préfète de gryffondor
le patronus, la chouette représente la sagesse, elle est ainsi le blason de la famille HAWTHORNE depuis des siècles. néanmoins, elle est à la fois funeste. l'épouvantard, hester et hersh sont jumeaux, un lien particulier les réunit. son frère est une part d'elle-même, si la mort venait à le lui retirer elle ne pourrait survivre sans lui à ses côtés. sa pire crainte serait de le voir mourir dans ses bras. les défauts et les qualités, rebelle ; impulsive ; imprévisible ; mature ; indépendante ; fonceuse ; généreuse ; passionnée ; intelligente (surdouée) ; hyperactive ; naturelle ; motivée ; taciturne ; secrète ; mystérieuse ; talentueuse ; sympathique ; rayonnante ; marginale ; compliquée ; ouverte ; attentive ; optimiste ; attirante ; séductrice ; sulfureuse ; sûre d'elle ; indépendante ; échorchée ; sérieuse ; souriante ; charismatique ; bornée ; fière ; courageuse ; fougueuse ; intrépide ; intuitive ; sensible : fragile ; honnête ; franche ; curieuse ; chaleureuse ; spontanée ; attentionnée ; ; intraitable ; inébranlable ; possessive ; solaire ; réfléchie ; directe ; précise ; perfectionniste ; loyale ; solidaire ; débrouillarde ; tête brûlée ; imprudente ; sauvage ; indisciplinée ; maladroite ; unique études, une fois diplômée de poudlard, elle a été choisie par l'université très sélecte de rosenkrantz où elle a été une des meilleures élèves. elle a étudié la sécurité magique : c’est l’étude et la formation des sorciers qui protégeront la population des créatures magiques hostiles, mais aussi parfois, des sorciers eux même. elle a également suivi quelques cours sur la recherche magique où son savoir en alchimie a pu être sollicité don, elle a hérité du don de métamorphagie de sa mère, blythe mosshart (dernière descendante d'une grande famille de métamorphages). en plus d'avoir un certain talent pour l'alchimie.
→ TES BUSES ?;
Histoire de la Magie. O Sortilège. O Métamorphose. O Botanique. E DCFM. O Potions. O Divination. A Astronomie. A Vol. O
Tes (futurs) options? - la première. l'étude des runes - la seconde. l'arithmancie
→ TES A.S.P.I.C.S ?;
Histoire de la Magie. O Sortilège. O Métamorphose. O Botanique. E DCFM. O Potions. O SACM. E Duel. O Arithmancie. O Divination. E Astronomie. E Etude des Runes. O Etude des Moldus. E Histoire des Mythes. O
❝la moldue derrière l'écran beatnik beast, dix-neuf ans - je suis d'ici et de nulle part - je suis ici parce que j'en ai envie - je préfère les stroumpchff, le thé, south park - j'ai peur des perruques... - ça fait huit ans que je fais du rp - présence aléatoire, sinon 5/7jours - pour le métier, ça sera alchimiste d'état pour le ministère anglais (si possible) - au pire, contrôleur des objets magiques dangereux ou encore oubliator. en ce qui concerne l'intrigue, j'attendrai un peu avant de me proposer. je veux d'abord m'adapter, puis ensuite on verra bien.
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Ven 24 Déc - 12:14
prologue - looking for another place somewhere else to be, looking for another chance to ride into the sun. le début de la douleur, le début de la crise. j'avais sept ans. je ne possédais rien, ni biens matériels, ni confort spirituel. je n'avais pas d'ami, pas d'amour, je n'avais rien vécu. je n'avais pas d'idée, je n'étais pas sûre d'avoir une âme. mon corps, c'était tout ce que j'avais. mon visage, c'était tout ce que je chérissais. tout ce que je ressentais, c'était le vide. un puissant fond qui m’attirait vers un néant doux et éphémère, annihilant toutes sensations, détruisant la dernière lueur de lucidité qui me restait. mon cauchemar qui s'achèvait et j'ouvrais les yeux sur pire. pluie diluvienne et ciel tristesse. je me perdais dans ce tourbillon polycéphale de mes sentiments aliénés, tentative avortée de survivre dans un monde chaotique, apathique. une journée s’achevait, c'était la fin de l'après-midi. les bourdonnements ne cessaient pas, ils se voulaient plus intenses - perforant chaque parcelle de ma peau pâle. je levai les yeux sur plus grand, le ciel s'ouvrait offrant aux vermines et aux fourmis une certaine repentance. sa couleur grise se réfléchissait dans mes pupilles émeraudes, l'air pur appesantit et plombe l'atmosphère d'une doucereuse mélancolie. un écho distordant se prolongea en un cri de douleur. cette douleur, cette douleur. je n'avais que sept ans, je ne ressentais plus rien, ni rancoeur, ni bonheur. il n'y avait que douleur qui logeait au creux de mes poumons, qu'il partageait à mes côtés. nos mains liées, abrités sous le parapluie nous dévisageons les autres. nos regards surplombant l'assemblée, ils ne nous voyaient pas – ils ne prêtaient guère attention à nous. seuls les concernaient, ces deux cercueils qui trônaient au milieu de ces herbes hautes, inclinées, trimées sous le poids du patriarche. le ton solennel du pasteur n'était plus que soupir. le regard brumeux, je n'entendais plus qu'un écho sourd. le vide obstruait la vue, le vide poignardait mon coeur douloureux. je suffoquais, je blêmissais. il ne restait que quelques minutes à tenir avant la fin du supplice. exaspéré, hersh s'agitait et remuait. ces vêtements le serraient, lui donnaient de l'urticaire – ils l'étouffaient, l'emprisonnaient. je serrai sa main dans la mienne, il cessa de mouvoir. il pestait contre les invités, contre le pasteur, contre le patriarche, contre le vent, contre le monde entier. des murmures se mêlaient aux litanies incessantes du pasteur, des murmures assourdissants et quasiment inaudibles. nous ne pouvions retenir que quelques bribes : " les pauvres enfants ", " ils sont seuls à présent ", " qui s'occupera d'eux ? ", " vous savez, on disait qu'ils étaient un peu fous ", " sottises, les hawthorne ont toujours été d'excellents voisins ", " mais ils avaient des comportements étranges ", " et n'oublie pas, leurs amis ", " aussi bizarres qu'eux ", " finalement, ils préféraient sans doute en finir ", " ces enfants, ils vont atterrir à l'orphelinat le plus proche. qui voudraient d'eux ? même leurs semblables ne sont pas venus. à part ce vieil homme", " sans doute, le grand-père " ceci n'était qu'une farce, une vaste plaisanterie pour eux. ils ne pleuraient pas, ils se contentaient de feindre un semblant de compassion ou de pitié qui se peignait sur leur faciès déformé par leur orgueil, par leur avarice, par leur petitesse. j'avais sept ans, j'avais perdu mes parents, je n'éprouvais ni haine ni sollicitude. je n'étais plus qu'une enveloppe. mes paupières se fermèrent, tout devint sombre. le chaos s'agitant autour de moi, les larmes me montèrent aux yeux. - hester, c'est fini, me susurra-t-il. j'ouvris les yeux, j'observais l'ange consolateur derrière l'écran lacrymal. ses bras protecteurs m'entourèrent, je me blottis contre lui et lui demanda : - m'man et p'pa ... ils sont ... sont je m'effondrai. quatre heures de l'après-midi, à dundee. une petite fille à genoux. et qui hurlait. qui hurlait une plainte incohérente. comme si le désespoir avait pris forme. la forme d'un cri. je criai la fin d'un rêve, je criais la fin du monde. je criai la fin des parents que j'aimais, je criai l'atroce réalité de cette vie de merde qui donnait, et qui reprenait. je criai ma détresse, je criai ma douleur. un à un, les invités quittaient l'enterrement, un à un ils disparaissaient de notre champ de vision. prostrés au sol, nous nous blottissons l'un contre l'autre. puis, le silence. triste et dur.
first chapter - who loves the sun, who cares that it makes plants grow. who cares what it does, since you broke my heart. la métamorphose, le coeur cousu. nous détestions dundee, que j'avais toujours connu où le quartier était entouré de gens aussi futiles que nous. dundee, ville située au nord d'édimbourg, ce lambeau de goudron exploité par les moldus. ec
second chapter - they said it changes when the sun goes down, over the river going out of town. la lettre, les dix choses que je déteste chez lui. ec
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Ven 24 Déc - 12:14
third chapter - gold lion's gonna tell me where the light is, take our hands out of control. le gang, les bavboules. ec
fourth chapter - hands down i'm too proud for love but with eyes shut, it's you i'm thinking of. le permis de transplanage, le baiser volé. ec
fifth chapter - between two lungs it was released, the breath that captured me. the sigh that blew me forward. les reliques de la mort, les cercles de transmutation. ec
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Ven 24 Déc - 12:14
sixth chapter, whenever I'm alone with you, you make me feel like I am home again . whenever I'm alone with you, you make me feel like I am whole again. le faux-départ, le bureau à droite. ec
seventh chapter, so i walked into the haze and a million dirty ways, now i see you lying there like a lie low losing air. le trou noir, la traversée. ec
eighth chapter, i was wrong, now I'll never see your face anymore. oh my Love, i'd give anything for one more day with you. l'absence totale, le trouble. ec