"Le monde était en feu, personne ne pouvait me sauver sauf toi C'est étrange comme le désir peut rendre les gens idiots Je n'avais jamais rêvé que j'aurais besoin de quelqu'un comme toi
Quel mauvais jeu à jouer Pour me faire ressentir de cette façon Quelle mauvaise chose à faire Pour me laisser rêver de toi Quelle mauvaise chose à dire Tu ne t'es jamais sentie ainsi Quelle mauvaise chose tu fais Pour me faire rêver de toi"
Cela faisait depuis plus d'un an qu'il l'avait rencontrée elle qui avait ressuscité son coeur et, malgré les différences, malgré le danger, malgré son âge Ezio était amoureux, amoureux fou si bien qu'il avait demandé pardon sur la tombe d'Angela, pardonnez le de s'être attaché à nouveau. Cela faisait quelques mois qu'il hésitait à lui dire, comment réagirait-elle ? Est-ce que ce sentiment était réciproque ? Il l'ignorait et au fond s'en fichait il voulait juste lui dire... Même si cela impliquait un grand danger.
Il était revenu d'un voyage en Italie durant lequel il l'avait fait surveiller Katarina par ses sbires mangemorts, bien sûr il ne lui avait pas vraiment dit s'ils étaient mangemorts ou homme de foi même si Katarina n'était pas idiote. Ce pèlerinage devait à la base être professionnel, le ministre italien ne pouvait rester trop longtemps loin des affaires de son pays même s'il adorait le ministère de Londres bien plus que le ministère de Rome. Il avait surtout fouillé et retourner toute l'Italie à la recherche du cadeau idéal à offrir lors d'une déclaration... Ce n'était plus vraiment son fort d'être... comment dire ? Romantique. Mais il avait fini par trouver et il avait même engagé les meilleurs sorciers du ministère Italien pour optimiser au mieux son précieux cadeau.
Lors de son retour à Londres il avait envoyé une lettre par Hibou à Katarina lui donnant rendez-vous dans un bar étudiant chic et élégant l'Amstramgram, bon ce n'était pas le dernier restaurant chic et branché moldu, mais ça avait le mérite d'être plutôt calme lorsque les étudiants étaient en train... d'étudier. Angoissé il sirotait son café en attendant Katarina au fond de la salle, tripotant le précieux écrin se trouvant dans sa poche droite une cigarette dans le bec.
Citation :
Cher Katarina,
Désolé pour mon retard je suis bien rentré, j'espère que tout va bien et que mes gardes du corps ne t'ont pas embêter. Rejoins moi à l'Amstramgram jeudi 17 juin à 14h,
Ezio.
Katarina J. Mckenzie
► MESSAGES : 116 Jeu 3 Mar - 4:47
Katarina était au retour au bercail. Elle s’était enfuie des sbires de Ezio. Sérieusement, elle n’aimait pas les amis d’Ezio. Elle savait que c’était des mangemorts italiens. Elle trouvait toutes les occasions du monde pour s’éclipser pour se libérer de ces gens qui continuaient à la fixer de cette façon dont elle n’appréciait guère. Elle se sauvait donc quand tout le monde avait le dos tourné. Elle se sauvait généralement pendant la nuit. Là où les gardes dorment sans le vouloir vraiment par rapport à leur très grande fatigue. La nuit, les gens dorment. Elle le savait. C’était plus fort que le corps qui avait été habituée à un cycle depuis la naissance. Elle espionnait les gardes avant de prendre la poudre d’escampette. Elle n’avait pas de problème avec Ezio. Elle l’aimait beaucoup d’ailleurs. Elle ne comprenait pas pourquoi elle préférait grandement les hommes plus vieux qu’elle. Elle avait ce don d’aimer les gens ayant la quarantaine. C’était le tempérament. Elle avait toujours eu ce côté adulte qui ne la quittait jamais. Être habitée, par des fantômes adultes depuis sa naissance, faisait d’elle une personne qui s’adaptait dans le monde adulte que le monde de l’enfance. Les gens de son âge ne l’aimaient guère, c’était presque la même chose pour la jeune femme. Croyez-moi, il y avait qu’une exception à la règle à ce jour. L’exception se nommait Luke Midnight. Il avait demandé des informations sur sa mère. Sa mère était très sombre. Elle avait trouvé des sorts épatants, mais extrêmement dangereux et mal. Bref, Katarina n’avait pas refusé de dire ce que la mère de Luke avait à lui dire. Était-elle méchante ? Non, elle ne jouait pour aucun camp. Elle vivait sa vie. Elle n’était ni méchante et ni gentille. Elle était ni blanche et ni noire. Elle était. Elle était neutre. Elle était le juste milieu. Voyez-vous, elle traînait avec un meurtrier Italien, mais elle voyait que le bon côté de ce dernier. Elle ne cherchait pas à lui remettre sous le nez ce qu’il avait fait. Il vivait avec. Katarina était revenue puisqu’Ezio était revenu. Elle avait eu ce pressentiment qu’elle avait lorsqu’elle voulait savoir certaines choses. Elle était revenue le plus vite qu’elle le pouvait. Elle n’était pas allée bien loin. Elle s’était promenée dans Londres. Elle avait passé beaucoup de temps sur le chemin des traverses dans la partie où il faisait bon de se promener. L’allée des embrumes la terrifiaient et il y avait des gens bien étrange. La jeune médium reçu un petit mot lorsqu’elle entra où elle campait dès le départ. Il l’avait laissé là. Elle se prépara sans jamais exagérer. Elle ne se maquillait jamais, sauf si on lui payait une maquilleuse, car au départ elle ne savait pas se maquiller. Katarina plaça ses cheveux pour être présentable. Elle quitta la chambre qu’elle n’avait pratiquement pas utilisée. Ezio veillait sur elle. Elle avait impression qu’il en faisait trop. Elle vivait depuis si longtemps dans la pauvreté qu’elle ne faisait pas de crises par rapport à sa vie misérable. Elle ne se plaignait jamais. Pourtant, elle avait dû demander parfois la charité. Croyez-moi ce n’était pas amusant du tout. Elle avait mis une robe blanche. Elle n’était pas du genre à s’habiller ainsi, mais il était parti. Elle voulait se faire propre pour son retour. Elle croyait être en amour. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se sentait bien à ses côtés. Parfois, elle avait ressenti un sentiment que Mathilda était la seule à avoir ressenti. Elle se souvient encore. Mathilda avait appelé cela du désir. Elle s’en souvient encore, car ça l’avait marqué. Elle était sur le chemin de traverse se donnant tout le courage du monde pour entrer dans le bar étudiant de l’amstramgam. Elle le vit installer au fond du bar. Elle s’approcha dans sa robe blanche qui lui avait offert, il y a des mois. On pouvait dire qu’Ezio entretenait Katarina. Elle vint pour s’asseoir face à lui, mais elle préféra se jeter presque dans ses bras. « Tu m’as manquée, Ezio. Je n’aime pas tes gardes. La prochaine fois que tu pars, tu m’emmèneras avec toi. Je pourrai apprendre l’italien. Sans tricher. Je te le promet » elle leva la main, comme si elle faisait le serment. « Tu vas bien ? Tu me sembles nerveux ? Qu’est-ce qui se passe ? tu dois partir définitivement ? » Elle vint poser ses fesses sur la chaise face à Ezio.
Ezio Auditore
SORCIER.► en cavale.
► MESSAGES : 147 Mer 30 Mar - 23:24
Ezio était totalement conscient qu'envoyer des sbires pour protéger la femme qu'il aimait n'était pas la meilleur solution, mais après tout s'il l'aimait il devait en payer le prix. On ne fraternise pas avec les "ennemis" chez les mangemorts, alors si le chef d’Italie le faisait vous imaginez le bordel ? Katarina n'était pas dangereuse, c'était une sorcière inoffensive, elle ne savait pas utiliser la magie et était donc inintéressante. Le problème c'était que si les mangemorts savaient que Kat fréquentait Ezio ça devenait problématique, ils auraient trop peur qu'elle les dénonce à l'ordre du phenix.
C'était pour cette raison qu'il avait peur de tout lui avouer, il ne voulait pas que le passé resurgisse et que Kat' se fasse tuer elle aussi. Si il devait surveillé Kat il trouverais un autre moyen que ses sbires, et c'est pourquoi il avait engager une jeune femme du même âge que Katarina, elle avait relativement les mêmes passions et était metamorphomage, ainsi Katarina se sentirais peut-être un peu plus libre en se faisant suivre par une corneille... Il ne lui dirais pas pour Rosalie, pas tout de suite d'abord il fallait lui offrir cette bague...
Ezio la vit enfin, resplendissante dans une robe aussi blanche que sa pureté... Katarina était une jeune et très belle femme si on oubliait un peu qu'elle se laissais négliger car trop habituée à la vie de rue. Il ne bougea pas et la laissa s'installer à ses côtés, tout en la regardant les yeux un peu perdu dans le vague il écrasa son mégot et lui souris. « Tu m’as manquée, Ezio. Je n’aime pas tes gardes. La prochaine fois que tu pars, tu m’emmèneras avec toi. Je pourrai apprendre l’italien. Sans tricher. Je te le promet » toujours ausis préoccupé il ne répondit rien se contentent d’acquiescer. « Tu vas bien ? Tu me sembles nerveux ? Qu’est-ce qui se passe ? tu dois partir définitivement ? ».
Ezio sorti alors de ses songes et tout en lui souriant lui tendis le précieux écran d'une main tremblante. « Je sais que ça va te paraitre précipité ou étrange... » il ravala sa salive et continua « Je voulait juste t'avouer quelque chose... je... je pense que je me suis attaché à toi... bien plus que je ne l'aurais dû. » la voix de l'italien tremblait de plus en plus si bien que son accent italien était plus fort que tout lorsqu'il continua « Je sais que ça parait fou, et j'en suis désolé ça ne dois pas être réciproque, sans doute. » des larmes se firent apercevoir mais il continua beaucoup plus sûr de lui « Je veux juste que tu acceptes ce présent, c'est une bague. Une bague ensorcelé c'est pour te protéger... tu sais -il chuchota- des fantômes. Les meilleurs mages d'italie ont confectionner cette bague pour toi... » il se tut, il n'avait rien à ajouté, ses mains tremblait et à cet instant personnes n'aurais dis que cet homme était chef des mangemorts italiens.
Katarina J. Mckenzie
► MESSAGES : 116 Jeu 5 Mai - 2:01
Elle s’était préparée pour lui. Elle avait fait beaucoup d’effort. Normalement, elle avait des vêtements déchirés et sales. Elle ne portait jamais les jolies robes ou les autres vêtements qu’ils lui avaient offerts. Katarina ne voulait pas détruire les cadeaux d’Ezio. Elle voulait les garder propres. Ses vêtements qu’elle portait tous les jours étaient dans un sac en plastique dans son sac qu’elle traînait partout. Elle mettait quelques morceaux des beaux vêtements qu’il lui avait donné en cadeau pour une occasion spéciale si elle se présentait. Ses occasions spéciales ne se présentaient presque jamais, mais elle préférait être toujours prête d’avance. Elle ne pouvait pas se permettre de faire bien des choses. Cette fois-ci, elle s’était permise d’être belle pour Ezio. Il était revenu d’Italie. Il lui avait terriblement manqué. Pourquoi devait-il partir si souvent au loin ? Elle préférerait passer toutes ses soirées en sa compagnie. Elle préférait grandement ceci que de se coucher dehors au froid. Elle préférait être en sa compagnie où elle savait qu’elle apprendrait bien des choses sur la vie. Il était un sorcier. Un sorcier qui connaissait bien des choses. Elle avait même la chance de pouvoir apprendre la langue d’Ezio. Il était un italien qui parlait un anglais approximatif. Elle l’aidait le mieux qu’elle pouvait quand elle comprenait. Heureusement que l’ex-femme d’Ezio l’avait parfois aidé pour comprendre. Elle le comprenait beaucoup mieux qu’auparavant. Elle était bien en sa compagnie. Katarina était tout simplement bien avec cet homme. Elle était venue à l’amstramgram, heureuse comme tout. Elle s’était assise en face de lui. Elle était toute souriante devant lui. Elle était terriblement belle. On pouvait voir qu’elle était une vraie femme quand elle prenait la peine de prendre soin de sa personne. Elle était assise devant lui avec ce sourire accroché aux lèvres. Bien vite, son expression changea. Il semblait inquiet. Elle n’aimait pas le voir dans cet état. Elle voulait savoir. Katarina posa donc les bonnes questions. « Je sais que ça va te paraitre précipité ou étrange... » Il était nerveux. Elle le voyait bien. Elle n’était pas si folle dans le fond. Elle baissa les yeux sur sa main qui lui tendait. Il avait dans sa main un petit cadeau. Elle se doutait bien que c’était une bague. La grosseur de ce qui lui présentait. Son cœur battait rapidement. Pourtant, elle ne répondit rien ce qui aurait pu angoissé encore plus celui avec qui elle partageait une petite vie bien sage. « Je voulait juste t'avouer quelque chose... je... je pense que je me suis attaché à toi... bien plus que je ne l'aurais dû. » Elle ouvrit la bouche et le referma. Elle ne savait pas quoi dire. Katarina n’aimait pas le voir dans cet état. Elle n’avait jamais eu cette image d’un homme aussi affaibli. Il n’était pas faible loin de là. Il ouvrait son cœur. C’était touchant. « Je sais que ça parait fou, et j'en suis désolé ça ne dois pas être réciproque, sans doute.» Des larmes au coin des yeux. Non. Elle ne voulait pas qu’il pleure. Elle ne voulait pas. Elle n’ouvrait pourtant pas la bouche. « Je veux juste que tu acceptes ce présent, c'est une bague. Une bague ensorcelé c'est pour te protéger... tu sais des fantômes. Les meilleurs mages d'italie ont confectionner cette bague pour toi...» Katarina avait d’une main la bague et l’autre qui s’approchait des mains de Ezio. « J’ai… toujours été différente des autres. Je me rapproche de mes 20 ans… de plus en plus… plutôt dans quelques mois…. Ezio, j’ai vécu pendant des années dans la mentalité de gens qui vivaient durant le moyen âge, ainsi que dans des siècles qui étaient totalement différentes…. De ce que nous vivons aujourd’hui. N’es pas peur. Je me suis aussi attachée à toi. » Elle lui sourit en penchant un peu la tête vers la droite. « Je t’aime, Ezio… Mais j’ai peur… que… que tu trouves mieux que moi. Je suis jeune. Je ne suis pas pur. J’ai des comportements étranges. Je n’ai pas un sous. J’habite dans la rue… »
Ezio Auditore
SORCIER.► en cavale.
► MESSAGES : 147 Jeu 14 Juil - 17:26
Si l'on devait demander le moment le plus marquant dans la vie d'Ezio il vous répondrais: la mort de son père et ce moment-là, ce moment où cette jeune femme d'apparence si fragile, mais tellement belle lui avoua qu'elle l'aimait elle aussi en retour.
C'était peut-être une relation étrange, peut-être était-ce un interdit, mais ezio voulait le braver, il ne voyait plus rien d'autre qu'elle le talon d'Achille, le souffle de vie qu'il lui manquait c'était elle qui lui donnait. L'espoir, la douceur et l'apaisement de sa soif de vengeance c'était grâce à elle. Il n'y avait plus qu'elle et lui, elle et lui autour de tous ces jeunes sorciers bruyant, dans ce bar si indiscret. Ce n'était sans doute pas le meilleur endroit pour déclarer sa flamme, mais il l'avait fait, même s'il tremblait encore, même si tout ce qu'il désirait c'était la serrer si fort contre lui afin qu'elle comprenne que jamais plus il ne la laissera seule.
« J’ai… toujours été différente des autres. Je me rapproche de mes 20 ans… de plus en plus… plutôt dans quelques mois…. Ezio, j’ai vécu pendant des années dans la mentalité de gens qui vivaient durant le moyen âge, ainsi que dans des siècles qui étaient totalement différentes…. De ce que nous vivons aujourd’hui. N’es pas peur. Je me suis aussi attachée à toi. »
Ces mots touchaient Ezio en plein coeur, il ne s'était pas encore rendu compte de la souffrance de la jeune femme. Toute une vie seule, à aider les autres, aider les défunts qu'elle voyait. Ezio était peut-être un monstre, mais pas aux yeux de Katarina, cette femme ne le voyait pas comme tel, cette femme était sans doute la femme qu'il avait vu aimer dans une de ses visions et si tel était le cas elle serait la mère de ses enfants... Une grande et puissante famille.
« Je t’aime, Ezio… Mais j’ai peur… que… que tu trouves mieux que moi. Je suis jeune. Je ne suis pas pur. J’ai des comportements étranges. Je n’ai pas un sous. J’habite dans la rue… »
« Tu n'as pas à avoir peur, tu es... Tu es quelqu'un de bien, quoi que tu en penses ou ce que les gens disent. » il la regardait à présent bien droit dans les yeux puis reprit plus doucement.
« Je t'aime Katarina, si tu savais comme je t'aime, si tu étais capable de lire en moi tu verrais à quel point tu es importante pour moi, tu es mon souffle. Je me fiche de ton sang. Tu m'apaises, tu me réconfortes, ma haine elle n'est plus là quand je suis avec toi. » il lui chuchota doucement ces mots à l'oreille puis osa déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
« Je ne te laisserais plus seule, je te le promets. Je ne me vois plus sans toi, je veux te protéger, je veux te rendre heureuse. S'il te plait acceptes ce que je veux te donner, je ferais tout pour toi, tout... »
Puis doucement, il prit sa main si douce et la serra mélangeant sa chaleur à la sienne, son coeur fit un bond dans sa poitrine et il compris, compris qu'elle lui était destinée. Lui adressant un sourire radieux il la leva doucement, adressant un merci au serveur et s'en alla avec Katarina main dans la main. Il n'adressa aucun mot de plus, mais remua ses lèvres incantant un sort de lien, ils étaient maintenant liés, lier à jamais. Jusqu'à la mort.