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POET&PENDULUM. :: petite pause aux trois balais. :: la pensine aux rps; :: saison III.

Mon amie imaginaire {Asphodèle}

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PROFIL & INFORMATIONS

William Alex Slayers

William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420

Jeu 21 Avr - 20:07



S’il existait sur terre des tas d’amitié étrange aucune n’était surement commune avec celle qu’entretenait William avec Asphodèle. Et pour cause… C’était bien trop long et compliqué à expliquer mais le fait que le jeune homme avait une amie unique en son genre. Assise contre le mur froid des toilettes des garçons William ouvrit un gros livre poussiéreux avec un enthousiasme que beaucoup n’aurait pas compris, surtout venant de lui. « Asphodèle ? » appela-t-il sans obtenir de réponse. Il l’appela de nouveau cette « Asphodèle » mais personne ne lui répondit. Normal en même temps, il était seul. Il poussa un soupir. « Aller fait pas la gueule. Miss Chantillyyyy » appela-t-il cette fois ses yeux toujours rivé sur le livre grand ouvert comme s’il s’attendait à voir sortir de là le lapin de pâque ou merlin l’enchanteur en personne. « Allez putain débarque !! » déclara-t-il agacer. « J’suis désolé de pas ravoir ouvert le livre plus tôt. Tu m’en veux ? » . Si quelqu’un avait était présent il aurait était certain d’une chose, il était devenu fou ! Devenir étudiant n’avait pas aidé sa santé mentale. Pourtant William lui était certain de ce qu’il faisait et il était très impatient qu’on lui réponde. Si on lui répondait…

T.N.O. de Saint-Ange

T.N.O. de Saint-Ange

► MESSAGES : 88

Jeu 19 Mai - 19:27



« Asphodèle ? » Elle avait parfaitement entendu le tout premier appel comme tombé du ciel. Elle n'avait absolument aucun doute sur la provenance de cette voie, toute agnostique qu'elle était. Dieu? Il fallait vraiment être ... enfin bref. Pensez-vous qu'elle allait se précipiter et répondre ? Certainement pas... elle continuait de peignait ses longs longs cheveux blancs. Et dire longs ce n'était rien dire. Depuis qu'elle avait séjourné dans cette immense tour sans autre issue qu'une fenêtre, elle n'avait plus coupé ses cheveux et, par soucis pratique, elle les tenait constamment attachés, sauf quand une fois dans la journée, quand elle allait prendre son bain. Elle posa son pied sur le sable, laissant les sirènes à leur lagune, toujours sans se presser. « J’suis désolé de pas ravoir ouvert le livre plus tôt. Tu m’en veux ? » Pas de réponse. L'adorable nymphe (adorable... ne riez pas...) émergea d'entre les buis en coiffant d'un geste gracieux ses beaux cheveux. Il n'était pas dans les habitudes d'Asphodèle de se complaire dans l'oisiveté mais malheureusement pour elle, elle n'avait plus un livre ici qui garde le moindre secret pour elle. Elle les connaissait par coeur et était bien forcée maintenant de faire ce que le commun des mortels faisaient... du moins dans le conte de Peter Pan puisque c'était là qu'elle s'était installée. Une chance pour elle de ne pas s'être arrêtée à la belle au bois dormant finalement... « Moi? Mais pas du tout, ne te crois pas si important... » , claironna-t-elle en toute hypocrisie. Mais elle était beaucoup trop classe pour lui donner raison...

William Alex Slayers

William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420

Ven 20 Mai - 15:54



Un sourire apparut sur les lèvres de William. Elle lui parlait. Elle n’était donc pas en colère contre lui, ou pas suffisamment pour ne pas lui adresser la parole. Si désagréable soit ses mots, peu importait elle prenait la peine d’user sa salive pour lui s’était l’essentiel. Car Asphodèle était si fière que le jeune Slayers savait que ce n’était pas une faveur qu’elle accordé à n’importe qui. En même temps ils avaient vécu ensemble pendant de nombreux mois. Longue histoire que l’étudiant avait gardée pour lui. Qui allait croire qu’il s’était retrouvé enfermé dans un livre revivant plusieurs contes de fées avec une fille qu’il connaissait à peine ? Personne ! D’autant plus que lorsqu’il avait regagné la bibliothèque de Poudlard il avait pût se rendre compte que le temps s’écoulait différent dans le monde des compte et dans le vrai. Si William avait vécu là-bas pendant des mois tombant petit à petit amoureux d’Asphodèle, seulement quelque minute s’était écoulé depuis le moment où il avait disparus dans le livre et celui où il était revenu… Jamais il n’avait oublié cette histoire mais il avait préféré la garder secrète pour ne pas passer pour fou et avait conservé bien précieusement le livre. Pourquoi le garder ? Parce qu’Asphodèle était prisonnière à l’intérieur… Au début il avait cherché une solution pour la libéré mais au fil des mois il avait fini par se décourager et sa vie dans le vrai monde l’avait bien trop accaparé pour qu’il continue ses recherches. Karly, l’arriver de Sawyer, les Aspic de septième année, son entrée à la fac, le retour de Dakota et maintenant Nymphadora qui avait besoin de lui… Autant dire qu’il avait eut d’autre chose à penser que libérer Asphodèle d’un monde où elle semblait se plaire. Au début il avait voulu qu’elle sorte parce qu’il était amoureux d’elle et mécontent d’être loin de celle qui faisait battre son cœur. Mais maintenant… ça ne l’empêcher pas de désiré avoir de ses nouvelles, les jours où il n’avait pas le moral comme aujourd’hui par exemple. La directrice de la fac l’obligé à se rendre en cour alors que Nymphadora était arrivé à la fac il y a une heure de cela dans tout ses états. N’arrivant pas vraiment à se détendre complètement il s’était dit que parler avec Asphodèle lui ferait du bien, car entre eux ils s’agissaient toujours de joutes verbales très distrayantes qui lui permettait d’extériorisé un peu. « Je ne le crois pas. Je sais que c’est le cas » dit-il avec une certaine arrogance tout en posant son regard sur les longs cheveux d’Asphodèle qui laisser deviner une longueur démesuré malgré le fait qu’ils soient attachés. « Quand va-tu enfin te décider a les coupé ? T’essaie de battre un record ? » Un air malicieux sur son visage, le jeune homme attendit avec impatience ce qu’elle allait répondre à ça. Quiconque serait passait par là aurait sans aucun doute cru que William parlait à son livre et non au dessin animé qui se trouvait à l’intérieur et qui n’était autre qu’Asphodèle.

The Changelin'

The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431

Lun 13 Juin - 18:39



« Je ne le crois pas. Je sais que c’est le cas » « En tout cas moi ce que je sais c'est que c'est pas la modestie qui t'étouffera mon cher William. », répondit-elle en roulant des yeux. « Quand va-tu enfin te décider a les coupé ? T’essaie de battre un record ? » « Je ne m'intéresse pas à des choses aussi futiles. Battre un record c'est pour les gens qui ont quelque chose à prouver. Ce qui n'est pas mon cas. » , comme ça c'était dit, mais il ne fallait pas s'attendre à moins de la part de la jolie fleur vireuse, « Au lieu de t'occuper de ma carrière capillaire tu ferais mieux de me dire ce qui te tracasse... » , fit-elle en se radoucissant quoiqu'il n'y paraissait pas. Evidemment qu'il y avait quelque chose. Pourquoi exhumer ce cher vieux livre sinon? Et puis elle avait vécu assez longtemps avec lui pour le savoir. Ca se voyait à ce petit quelque chose tapi dans ses yeux. Alors bien sûr, vous auriez pu objecter qu'il faisait de l'humour mais ça n'était en rien une garantie. Surtout pas chez William. Combien de fois avait-elle failli l'étriper parce qu'il faisait de l'humour alors qu'ils se retrouvaient dans une situation critique? Elle ne l'avouerait jamais bien sûr, mais sans lui, l'aventure n'était plus si... amusante. Pour ne pas dire qu'elle s'ennuyait carrément.

William Alex Slayers

William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420

Dim 3 Juil - 16:12



« Je ne m'intéresse pas à des choses aussi futiles. Battre un record c'est pour les gens qui ont quelque chose à prouver. Ce qui n'est pas mon cas. » Un sourire, elle n’avait pas changé. Il avait comme cette impression bizarre qu’elle pouvait rester enfermée dans ce livre un siècle durant encore qu’elle serait toujours telle qu’il l’avait connu, c'est-à-dire des plus détestables ! Mais même si Asphodèle avait tout pour devenir une fille qu’on rêve de pouvoir étrangler, au fil du temps William avait su l’apprécier et aujourd’hui encore il lui était impossible d’éprouver pour la jeune fille autre chose qu’une profonde sympathie. Il l’avait même un jour aimé au plus profond de son être bien qu’aujourd’hui il semblait l’avoir oublier. « Au lieu de t'occuper de ma carrière capillaire tu ferais mieux de me dire ce qui te tracasse... ». De nouveau un sourire aux coins des lèvres du jeune Slayers, alors mademoiselle pensait le connaitre ? Elle était assez sur d’elle pour prétendre pouvoir deviner ce qu’il ne disait pas et ce que certain n’aurait même pas remarqué ? Hum. Intéressant. Elle n’avait peut-être pas tord mais certainement pas totalement raison. Rien ne le tracasser. Jamais rien. Il était juste « soucieux » diront nous. « Oh rien » dit-il en haussant les épaules sachant d’avance qu’elle insisterait pour savoir. Ou pas d’ailleurs. Asphodèle n’avait pas pour habitude de se soucier des autres alors affirmer qu’elle voudrait à tout prix savoir était un peu présomptueux, mais William était confiant il s’agissait de lui. Un silence régna quelque seconde, quelque seconde qui suffirent à crée un certain doute dans l’esprit du jeune homme. « Que pense tu de la théorie du sang ? J’veux dire pur, impur… T’en pense quoi ? »

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