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 Piégés.

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PROFIL & INFORMATIONS









Hadès R. Levingston

Hadès R. Levingston


► MESSAGES : 64
Piégés. #Jeu 19 Mai - 20:18


Piégés
feat Candice.

Il y a quelques jours de là, Hadès avait découvert dans une salle abandonnée, un livre d'apparence ancien et abîmé. Poussé par sa curiosité, il l'avait alors embarqué dans son sac, afin de l'étudier plus amplement pendant la soirée. Et l'étude fut révélatrice : il tenait entre ses mains un recueil remontant à trois siècles en arrière, écrit par des sorciers apparemment danois, animés par les idées extrémistes et anti-moldues de l'époque. Des précurseurs, vu la situation actuelle. Les écrits étaient stupéfiants, on y trouva une ôde à la haine envers les non-sorciers, un guide de survie parmi ces impurs, une liste des plus grands mages noirs de tout les temps. Levingston, fasciné, l'avait alors dissimulé dans un placard abandonné du 3ème étage, afin que personne ne le retrouve.

Ce jour-là, les cours avaient été annulés, à cause du premier match de Quidditch de la saison, qui avait été organisé sur le terrain et où la majorité des élèves s'étaient rendus. Hadès faisait parti des rares qui ne s’intéressaient pas au sport. Il y préférait les livres, les activités intelligentes comme els échecs ou les jeux de lettres. C'est donc sans surprise qu'il se retrouva seul dans sa salle commune en se réveillant ce matin-là. Tout le monde était parti de bon heure, à la recherche de LA place dans les gradins. Les élèves qui, comme lui, étaient restés, étaient presque tous dans le parc ou dans les salles de révisions. Il n'y avait donc personne dans la pièce où il se trouvait.

[...]
Après un long bain brûlant, il se sécha, attrapa un pull gris à coll-v, sous lequel il enfila une chemise blanche. Fin prêt, Hadès se mit en route pour les cuisines, le seul lieu où il pourrait encore trouver de la nourriture, le petit-déjeuner étant terminé depuis deux heures. Bien que le déjeuner lui, commençait dans trois heures, sa grasse matinée l'avait rendu affamé et son ventre gargouillait bruyamment. Après avoir descendu les escaliers, parcouru les longs-couloirs des cachots, il arriva devant le tableau qui cachait l'entrée des cuisines : une coupe de fruit. Il murmura le mot de passe et chatouilla la banane peinte, qui se mit à glousser. Le tableau coulissa, révélant une petite porte de bois. Hadès la poussa et se glissa dans les cuisines. Là des dizaines d'Elfes de maisons s'agitaient, comme des fourmis, derrière les fourneaux. Ce n'était pas la première fois qu'il venait, alors il n'était pas surpris par ce spectacle. Il interpella le premier petit servant qu'il vu, et lui expliqua sa situation. Dès qu'ils remarquèrent le jeune homme, les créatures se dépechèrent de le faire assoir et de le servir, avant même qu'il pu souffler.

[...]
Après avoir mangé à sa faim, Hadès se retrouva repu, en pleine forme et surtout ennuyé. A présent qu'il ne ressentait plus aucun manque en particulier, il ne savait pas quoi faire et, pour une fois, se mit à regretter de ne pas avoir suivit les autres sur le terrain. Décidé à aller les rejoindre, il prit congé des Elfes et sortit de la pièce. C'est à ce moment là qu'une idée lumineuse le frappa. Il s'était souvenu de l'ouvrage qu'il avait découvert la dernière fois, et qu'il avait caché au troisième étage. Pourquoi ne pas aller le retrouver, et le terminer ? Ainsi, lorsqu'il aura fini de lire, ses camarades seraient déjà revenus pour déjeuner. Satisfait de son idée, le jeune homme monta le Grand Escalier à grande enjambées, pressé de retrouver son trésor.

[...]
Lorsqu'il arriva au troisième étage, il se dirigea automatiquement vers le couloir-est., le couloir le moins fréquenté, où seuls les cours d'aide étaient dispensés. Heureusement pour lui, il n'y avait qu'un placard de rangement à cet endroit. Et c''était celui-là même où il avait caché son livre. Hadès ouvrit la porte et pénétra à l'intérieur. La pièce était petite, mais renfermait quand même quelques objets comme des balais ou des vieilles malles abîmées. Une odeur de renfermé le prit à la gorge, et il fit un effort surhumain pour ne pas vomir. C'était dans la première malle qu'il avait posé son recueil. Alors, tout naturellement, défit les verrous qui la protégeait et tira le couvercle en cuir. « Aaaargh ! » Ce n'était pas son livre qu'il avait découvert. A ça non. C'était une jeune femme, qui était allongée dans la valise. Et Dieu sait la raison de sa présence ici, mais en tout cas, elle allait passer un mauvais quart d'heure. « Qu'est-ce que tu fiches ici ? Tu n'a rien à faire là ? Pourquoi tu n'est pas avec les autres, dehors ?. » Ton autoritaire, rempli de mépris. Réalisant alors que lui-même n'était pas avec les autres, il se tut, attendant que l'autre daigne se justifier, le coeur palpitant dangereusement.












Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Piégés. #Ven 24 Juin - 20:39


    L’histoire de la vie de Candice n’était pas si agréable à entendre, même si elle débordait d’énergie, elle avait vécu une enfance bien difficile. Elle était une sans parent. Elle avait été abandonnée peu après sa naissance. Sa mère s’était tirée une balle, même si elle n’en était pas morte, cette dernière n’était pas apte à s’occuper d’un enfant. Elle était depuis près de dix-sept ans à l’hôpital. Personne ne pouvait prendre en charge une dame qui ne savait plus rien. Cette femme qui bavait sans arrêt tel un enfant était la mère de Candice. Elle n’en parlait pas. Elle n’avait pas envie de faire pitié aux yeux de tous. D’ailleurs, elle ne parlait jamais de son père ni de sa mère. Elle ne voulait pas parler de l’abandon de son père qui l’avait abandonné pour se faire tout simplement plus de fric à Las Vegas. Elle avait tenté de le contacter. Elle l’avait vu, mais il avait été d’une cruauté envers elle qu’elle s’est promise de ne jamais lui reparler. Jamais. Candice ne voulait pas la compassion des autres. Elle en avait à peine parlé à William. Elle avait dû lui dire parce qu’elle devait trouver un endroit où emmener sa fille hors de poudlard. Elle ne pouvait pas l’emmener chez ses parents, puisqu’elle n’avait pas vraiment de parents. Elle n’avait pas envie de devoir mettre un poids de plus sur les épaules de son oncle et de sa tante qui n’étaient pas du tout fiers de Candice. C’était la deuxième fois qu’elle tombait enceinte, même si cette fois-ci elle avait gardé l’enfant, ce n’était pas une fierté de tomber aussi jeune enceinte. On ne pouvait pas mettre la faute que sur Candice qui au fond n’était pas seule. Pour être enceinte, il fallait un homme. Cet homme ne voulait rien savoir au départ d’elle, mais depuis qu’il a su qu’elle était enceinte, ils se sont rapprochés sans toutefois être en couple. Elle aimait Laël Oridor. Elle lui avait avoué son amour avec le plus grand stresse du monde. Elle avait manqué du courage par moment, mais maintenant tout était parfait. Candice ne voulait pas se remettre dans la merde par contre. Le bébé avait bien pris toute sa petite vie d’étudiante dernièrement. Kaylee lui manquait. Elle était si loin, mais elle était en sécurité. Ici, elle n’aimait pas ce qui se passait. Il y avait tant de règles et tant d’inégalité. Elle voyait ses amis qui n’avaient aucune pureté de sang, mais leur cœur était bon. Pourquoi autant de mal pour un groupe d’individu qui ne faisait rien de mal ? Elle était fâchée. Elle bougonnait de voir parfois l’attitude de Laël prendre la même que les autres sang-purs qui osaient lever le nez sur les gens considérés comme des impurs. Elle était peut-être été choyée par sa pureté de sang, mais elle n’était pas d’accord avec ce principe.

    Candice ne faisait pas exprès pour s’attirer le trouble. Cette fois-ci ce fut même un accident. Elle passa au côté du concierge où elle se prit le pied dans le balai. Elle se retint contre le mur tout en faisant tomber le saut d’eau. La poufsouffle regarda le concierge qui semblait vouloir faire une crise monumentale. La jeune femme prit ses jambes à son cou. Elle ne voulait pas être puni. Oh non ! Elle ne voulait pas être puni. C’était un accident après tout. Elle courait comme elle n’avait jamais couru ayant peur de se faire rattraper, elle ne ralentit pas la cadence. Elle ne devait pas être prise par ce concierge avec les nerfs à fleur de peau. Elle se rendit au troisième étage. Elle emprunta le couloir de l’aile est où elle tomba sur une porte au fond qui était un placard. Candice entra se croyant plus ou moins en sécurité, elle entra dans une des énormes malles qui se trouvaient-là. Elle entendit des pas où elle s’empressa de se cacher au plus vite. Elle ferma délicatement la malle pour ne pas faire de bruit. La porte s’ouvrit. Le cœur de Candice battait si vite dans sa cage thoracique. C’était stressant. Bon sang, elle n’avait pas cherché la merde. Elle avait promis à Laël d’être sage. Elle n’avait pas envie. Non. Pitié ! La malle s’ouvrit. Candice regardait le couvercle s’espacer en moins de quelques secondes pour voir le visage d’un jeune homme qu’elle connaissait. Hadès. « Aaaargh ! » Candice eut un petit rire de nervosité qui sortit avant de s’asseoir dans la malle. « Fiouuuuu» dit-elle presque heureuse que ce ne soit que ce petit con de Hadès. Au fond, elle ne le détestait pas, mais elle ne l’aimait pas totalement. Il était méchant avec l’un de ses très, très bons amis. Dieu sait à quel point Candice serait prêt à tout pour défendre son bébé et ceux qu’elle aime. Pourtant, il semblait furieux contre elle. Encore une fois, elle n’avait rien fait. « Qu'est-ce que tu fiches ici ? Tu n'a rien à faire là ? Pourquoi tu n'est pas avec les autres, dehors ?. » Elle arqua un sourcil en arrêtant son petit rire de nervosité. Elle pencha légèrement la tête sur le côté. « Tu as des choses à cacher, Hadès. Tu agis comme un voleur. » Elle fronça les sourcils. « De toute façon, ça ne m’étonnerait pas…. Parce que tu ne vaux pas mieux que les autres. » ce qu’elle disait semblait avoir aucun but, mais les autres, c’était les mangemorts et tous les nouveaux arrivants à poudlard qui étaient loin d’être des enfants de cœur. Candice se leva de la malle pour quitter les lieux laissant Hadès seul dans le placard. Elle vint pour passer la porte que celle-ci se ferma dans un claquement. Elle se verrouilla. Candice sortit sa baguette qu’elle ne se servait pratiquement tentant désespérément à l’aide de sort d’ouvrir cette dernière. Rien à faire. Elle restait bien fermer. « Hadès ! HADÈS ! HADÈÈÈÈÈÈÈS ! ON EST ENFERMÉ » Merde. Elle avait peur de rester prise ici sans possibilité de sortir. Si la magie ne fonctionnait pas … que faire ?









Hadès R. Levingston

Hadès R. Levingston


► MESSAGES : 64
Piégés. #Jeu 7 Juil - 14:21


Hadès ne connaissait pas vraiment Candice. Il l'identifiait comme la fille qui a toujours un problème, la fille malchanceuse souvent au mauvais endroit au mauvais moment. Il lui arrivait toujours des choses qui n'arrivaient à personne d'autre. D'ailleurs récemment, n'avait-elle pas eu un enfant ? Encore heureux qu'elle ne l'ai pas gardé à Poudlard. Certains auraient éprouvé de la compassion pour elle, pas lui. Il la considérait simplement comme un boulet, comme indigne de son rang. Elle ne se respectait pas et de ce fait, ne respectait pas ses semblables. Car si il y avait bien quelque chose que détestait le jeune homme, c'était que l'ont prenne plaisir à se faire remarquer, et à vue d'oeil, c'était son cas. Il détestait ça, alors pas étonnant qu'il n'aime pas la jeune femme. « De toute façon, ça ne m’étonnerait pas…. Parce que tu ne vaux pas mieux que les autres. » Il releva la tête en entendant ces paroles. Le fait qu'elle se permette de le juger ne serait-ce qu'une seule seconde suffisait à le mettre en rogne. Et en plus, elle le comparait à un voleur ? Heureusement pour elle, elle semblait avoir décidé de prendre congé de Levingston, ce qui n'était pas une si mauvaise idée. Mais, à peine eu-t-elle frôlé la pognée de sa main, que la porte se referma d'un coup sec. « Hadès ! HADÈS ! HADÈÈÈÈÈÈÈS ! ON EST ENFERMÉ » Il haussa les sourcils devant sa panique : tiens, elle changeait de ton à présent.

Levingston soupira, excédé à la fois par la présence de Candice, par son inefficacité, et aussi parce qu'il ne pouvait s'empêcher de penser que c'était sa faute si ils se retrouvaient bloqués dans un minuscule placard à balais. « Il fallait bien que ça arrive...Je ne devrais même pas être étonné. Allez, pousse toi.» Il l'écarta d'un petit geste de la main, comme on fait pour éloigner une mouche, sans continuer son sous-entendu. Puis, le Serpentard dégaina sa baguette, déterminé à ouvrir cette porte une bonne fois pour toute. En tout, il essaya une demi-douzaine de sortilèges, allant du simple Alohomora au Repulso. Mais rien ne se passait. Les portes étaient toujours aussi infranchissables, toujours aussi solides. Alors, il entreprit de fracasser le panneau à grand coup d'épaules. Il n'en récolta qu'une douleur aigue à l'os. A la fin, il fit tout ce qui lui restait à faire. Il se dirigea vers un coin un peu moins encombré que les autres et se laissa glisser contre le mur, la tête dans les mains.« C'est pas possible...Mais qu'est-ce t'as fait bon sang ? » Son visage rouge de colère se tourna vers la pauvre Candice. A cet instant, il se demanda ce qu'il avait fait d'aussi terrible pour méritait ce qui lui arrivait. Au fond de lui, il sentait bien que le cauchemar ne faisait que commencer. Oui, car à cette heure-ci, presque tout le monde était au match de Quidditch...









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Piégés. #Mar 2 Aoû - 2:31


    Candice accumulait les bourdes. Elle ne pouvait même plus compter le nombre de fois où elle s’était trouvé dans des positions bien précaires. Elle ne voulait pas être prise avec quelques mangemorts à devoir s’expliquer du pourquoi du comment qu’elle avait supposément énervé et dérangé le concierge dans son brave travail. Elle n’était pas une élève qui voulait nécessairement semer le trouble au sein de poudlard. Elle le faisait plutôt malgré elle. Jamais, elle ne voulait se trouver en tête à tête avec des personnages bien sombres qui pouvaient du jour au lendemain la tuer instantanément sans crier gare. Avait-elle besoin de plus pour se convaincre de rester presque sage ? Les merdes s’accrochaient à elle, comme son attirance pour Laël ou encore pour le chocolat. Elle aimait tout comme pour les merdes qui étaient les petites embuches de sa vie. Pourtant, il n’y avait rien à rire lorsqu’on parlait de vie ou de mort. La Poufsouffle voulait être là auprès de sa fille pour la voir grandir et s’épanouir, malgré un monde bien sombre. La jeune femme n’était pas d’accord avec les idées de penser qui étaient populaire en ses temps. Elle se montrait douce avec le groupe considéré comme inférieur à celle qu’elle côtoyait. Elle était au même niveau pour certains. Une traitresse à son sang. Elle ne croyait pas que se limiter à des règles sur la pureté du sang était de bon principe. Elle croyait aux droits des sorciers et des humains. Ce qui se passait brimait tous les droits qu’ils avaient. Jamais, elle n’aurait cru avoir à faire des choix si difficile : Vivre ou être constamment en danger. Elle avait choisi l’entre deux. Elle se taisait tout en montrant clairement son désaccord en discutant avec la soi-disant « classe inférieur » . La jeune femme s’était donc réfugié dans un placard à balai pour se cacher de son pseudo-poursuiveur qui ne la poursuivait plus. Elle était dans une malle couchée en petite boule. Elle respirait le moins fort possible pour ne jamais être prise par le concierge qu’elle croyait être juste de l’autre côté. Elle avait entendu la porte du garde-robe ouvrir. Son cœur battait si fort dans sa poitrine. Le couvercle s’était ouvert. Candice hurla sur le coup ayant aussi peur que le pauvre Hadès qui se tenait là en la fixant de la même manière qu’elle le regardait. Ils s’étaient fait mutuellement le saut. Bordel ! Il lui avait foutu une sale frousse.

    Candice n’aimait pas vraiment le sang-pur qui lui faisait face. Il était ce genre d’être qui préférait le nouveau régime que l’ancien. Il faisait du « mal » à un de ses amis en même temps. Un ami qu’elle ne voyait plus à cause qu’elle ne pouvait pas. Dieu sait à quel point Candice voulait revoir Isham. Isham. Oh oui, le beau Isham. Il était tout ce qu’il y avait de plus gentil à ses yeux. Elle tenait à ses amis. Elle tenait à garder tous ceux qu’elle aimait auprès d’elle quoiqu’il lui en coûtait à la fin. Elle décida après de vilaines remarques à son égard de s’en aller. Elle vint pour ouvrit la porte que celle-ci se verrouilla. Candice se mit à paniquer bien qu’elle voulait garder le plus grand contrôle de soi. Elle n’y arrivait pas. Horreur ! Elle était enfermée avec Hadès Levingston. Le pire des connards pour elle. Un petit con de la première espèce. Un petit riche qui a le cul doublement fendu ! « Il fallait bien que ça arrive...Je ne devrais même pas être étonné. Allez, pousse toi. » Il la poussa telle une mouche qu’on tentait d’éloigner d’un geste de la main. Elle fronça les sourcils. Je vais lui montrer que je suis une vraie femme, pensa-t-elle se promettant de lui faire sa fête. Candice le regarda faire ce qu’elle avait tenté de faire. Bien qu’elle ne soit pas une grande sorcière, elle savait faire les sorts d’usage. Un simple alohomora n’était certainement pas une débutante comme elle. L’arrogance que dégageait Hadès énervait Candice au plus haut point. Avez-vous déjà vu la jeune maman dans une colère noire ? Non. Rare sont les fois qu’elle fut dans cette état. Il s’était déplacé vers le coin le moins encombré de leur petite cellule du moment. Il avait baissé les bras. Ah ouais, cet homme a vraiment de la classe, pensa-t-elle. « C'est pas possible...Mais qu'est-ce t'as fait bon sang ? » Elle n’en croyait pas ses yeux. Il faisait une blague. C’était une blague, non ? Candice s’approcha de Hadès. Elle croisa les bras. La poufsouffle ouvrit la bouche. « Ok, là, ça va faire ! t’es incroyable toi. Pour qui tu te prends ? T’es vraiment stupide. Tu PENSES vraiment que c’est MA faute. T’as même pas idée comment je te vomis par mes trous de nez quand je te vois. T’as même pas idée comment j’ai envie de te mettre mon pied à ton FOUTU cul. Mais t’en vaut pas la peine, parce que tu sais quoi… t’es un enfoiré. T’as bien compris. UN EN-FOI-RÉ. Tu penses que je suis une peace and love… peut-être, mais toi t’es irrécupérable. Ose encore me dire quoique ce soit, je te jure que je vais te réduire en bouilli. Pigé ? » c’était une Candice en colère. Une Candice que peu voyait. Heureusement d’ailleurs, car elle était effrayante. Maëlan Dashwood lui avait bien montré. Il était un bon professeur. « Il y a toujours possibilité de me faire changer d’avis sur ta petite personne. Soit aimable et courtois, tu ne seras que le trou du cul. Ensuite le petit con. Finalement, peut-être quelqu’un qui en vaut la peine. »










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