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Joleene K. Black
► MESSAGES : 94 Jeu 24 Mar - 10:05 |
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| LA FAMILLE BLACK.Sur la famille Black, on raconte beaucoup de chose. L'arbre familiale remonte jusqu'au XVIème siècle, où l'on trouve pour première des Black une fille de deux nobles déchus à la cours pour manque de moral. Honte de la noblesse, la jeune fille aurait trouvé refuge dans les bras d'un nobliau qui lui aurait juré milles et une promesses sans jamais en tenir une seule. Marié avec des héritiers, il alla jusqu'à engrosser la jeune fille, très jeune à l'époque, et à ne jamais reconnaître ses fautes. Elle éleva ainsi l'enfante et la vit s'épanouir. Arrivée dans un âge avancé, la femme magnifique pourtant demanda à l'homme qu'elle avait aimé toute sa vie, à cet amant de tous les soirs, si il comptait ou non voir cet enfant comme étant le sien, ce à quoi il répondit que jamais sous son toit il ne verrait de bâtard, et encore moins de bâtarde. Cette déception se traduisit par la vengeance amère de la femme bafouée qui envoya dans la région les rumeurs d'une infidélité. Il ne fallut qu'un mois pour que l'homme ne soit déchu de son statut de Lord et tombe en disgrâce aux yeux de tous et de la noblesse anglaise. C'est à la même époque que les premières lois de la famille Black virent le jour, de la bouche même de l'enfant illégitime qui eut pour nom Salvation I Black. Sa mère, Joleene I Black (1517-1561), est considérée comme étant la fondatrice de la Maison Black.
JOLEENE I BLACK et SALVATION I BLACK Il est à noter que personne n'a jamais su définir ce qui était advenu de Salvation I Black, mais l'on sait d'elle qu'elle eut un mariage modeste avec un bourgeois qui s'enrichissait à l'époque, un bourgeois de sang-pur. Les règles imposées par Joleene I Black furent très clairs et depuis l'époque suivies par toutes les filles Black : une jeune fille Black n'épousera jamais que par amour, et si son cœur la mène dans les bras d'un homme dont le sang ne vaut rien, alors elle se fera violence et dirigera ses sentiments vers d'autres cœurs, car dans une société, il faut faire primer le blason familial avant ne serais-ce que sa personne ; une jeune fille Black sera mariée avant qu'elle ne coiffe Sainte Catherine ; une jeune fille Black est seule à décider de la pureté de ses relations, il n'y a pas de pire esclavage que celui qui veut qu'une jeune fille soit bien rangée, alors ne le soyez jamais ; ce qui est dérangeant pour les autres sera votre force, et si vous souffrez des maux à votre époque, n'oubliez jamais que ce qui choque à l'une génération sera normale à une autre ; ne laissez jamais un homme vous frappait sans riposter, une femme vous tirait les cheveux sans la gifler, un enfant vous être hautain sans le punir, car le manque de respect mènera votre nom à être sali dans toutes les bouches qui soit ; enfin, toutes jeunes filles Black ayant enfantait donnera deux noms à son enfant : en premier viendra le nom de son premier blason et de ce qui sera toujours sa seule et unique famille, soit Black, et en second viendra le nom du père de l'enfant, et enfin le prénom de tous les enfants Black reprendront le "J" de la première d'entre vous ; à cette règle personne n'échappera car c'est dans l'histoire que nous graverons ce défi au sexe fort, signifiant à tous que nous ne sommes pas des putains, mais qu'eux le sont à nos yeux. Ainsi sont les règles Black.
Ainsi, si l'on a perdu tout de la vie de Salvation I (1545-?), on sait tout du moins qu'elle eut trois filles, dont une mourut en bas âge par la tuberculose, et que l'autre s'éteignit sans enfant. La dernière et la plus jolie des trois, survécut et eut un glorieux mariage avec un prince écossais, parent de qui sera Mary Queen. C'est là que s'engrène réellement la fortune des Black, dans un mariage bien choisi, au bon endroit, et mieux encore, d'amour sincère.
JULIET I BLACK, JUDITH I BLACK, JOLEENE II BLACK Juliet (1560-1567) s'étant éteinte sans aucun enfant, mais dont on dit que l'appétit des hommes était sans borne, et Judith (1565-1573) était succombé à une tuberculose, l'avenir entier des Black se reposa sur Joleene II Black (1568-1606). Elle se maria ainsi à Adam Stuart (1566-1606), fils illégitime de Jacques V d'Ecosse. Ce dernier était alors prieur de Chaterhouse, mais on dit que lorsqu'il vit Joleene II Black entrait dans l'Eglise et qu'il la vit, son coeur se brisa et se détourna de la foi sans regret, sans même penser une seule seconde à se repentir. Et Joleene II Black se laisse aller dans les bras du jeune homme, avec un amour presque immense, et rien n'arrêta le mariage qui fut partout caché. Adam Stuart et Joleene II Black eurent ensemble trois enfants, trois magnifiques filles portant toutes trois trois couleurs de chevelure : une blonde, une rousse et une brune. Elles sont le pilier des trois branches de la famille Black. Adam Stuart et Joleene II passèrent leur vie à fuir, traînant derrière eux les trois enfants de leur péché inavouable. Joleene II Black fut capturée et brûlée vive sur un bûcher dès le lendemain. Adam se jeta alors dans le feu pour l'en libérer, mais ils décédèrent tous les deux dans les flammes, laissant derrière eux trois filles.
JULIET II BLACK, JUDITH II BLACK, JEAN I BLACK Juliet II Black (1587-1729), tout comme ses deux autres soeurs, connus un destin relativement tragique. En effet, naître dans une famille de sang-pur ne fait pas toujours bonne figure, surtout quand votre père n'est autre qu'un religieux et que ses confrères ne lui en veulent. Fuyant de village en village, elle fut finalement kidnappée à l'âge de quinze ans par un sorcier de sang-pur qui dénonça les actes méprisants des Black. Capturée alors par un compte, ce dernier l'enlève et l'emmène dans son pays, en Irelande, où il la déflore. Juliet II Black finira par tomber amoureuse de cet homme, et s'éprenant ainsi de lui, il s'éprit d'elle en retour, acceptant jusqu'aux règles de sa famille. Ainsi, Aindreas I Hemmington (1580-1657) épouse Juliet II Black et lui donne un garçon et une fille. Il est à noter que la branche de Juliet II Black est la branche irlandaise de la famille Black, mais aussi celle qui compte les membres ayant la plus longue longévité sorcière. Juliet II Black est la Black ayant vécu le plus longtemps, c'est à dire 142 ans. Elle se donna elle-même la mort, ne supportant plus l'attente de la mort. Ses deux enfants sont Juliet III Black-Hemmington (1608-1702) et Jartha I Black-Hemmington (1613-1729).
Judith II Black (1590-1630) resta quant à elle dans les bras d'un homme qui ne l'aima pas, et qu'elle assassina à la fin de sa vie avant de se donner la mort. Cet homme s'appelait Lord Cael Sinfull (1587-1630), écossais de renom, et lui mena la vie dure, autant en la frappant qu'en la trompant. Judith II Black souffrait d'une démence particulière qui faisait qu'elle avait une peur bleue de l'abandon. Le fait que Cael en joue fit sans doute qu'elle le tua, sans quoi elle n'aurait jamais osé. En pleine dispute, elle lui perça le cœur d'un coup de glaive et se trancha la gorge juste après, mourant sur lui, en larme. On dit de Judith qu'elle passa toute sa vie à pleurer à chaude larmes pour un homme aussi froid que le vent qui souffle sur les hautes terres. Ils eurent ensemble quatre enfants, dont deux fausses-couches, un mort-né et un qui survécu. Le jeune homme se fit appeler alors Jock I Black-Sinfull (1606-1732).
Jean I Black (1592-1618), rousse comme son père, connu elle aussi une triste vie. Alors qu'elle rencontre très jeune un homme dont elle tombe éperdument amoureuse. Alors qu'elle lui promet une éternité, elle meurt en couche. Elle accouche de deux magnifiques jumelles, mais l'une d'entre elles décédera à la naissance, et ne survivra de toutes que la jolie Jean II Black-Austin, fille de Aedd II Austin (1589-1654). Son père l'éleva dans la tradition des Black cependant, se rapprochant de Cael Sinfull. Il décéda d'une pneumonie sévère. Jean II Black-Austin (1618-1743) fut ainsi l'unique rousse de l'époque dans la famille Black.
JULIET III BLACK, JARTHA I BLACK, JOCK I BLACK, JEAN II BLACK Juliet III Black-Hemmington (1608-1702), femme magnifique au caractère très douce à la fois, eut un succès fou auprès de la gente masculine. Joueuse, coureuse, infidèle mais amazone dans l'âme et indomptée, estimant qu'elle pouvait aller voir ailleurs mais pas celui qu'elle aimait, elle maria un bourgeois un peu coincé et lui fit atteindre sept fois le septième ciel, au moins. En effet, ils eurent ensemble sept enfants, mais seulement deux vécurent au delà de dix ans. Son mari était par ailleurs Louis Scylence (1600-1715), un homme un peu coincé, mais célèbre pour avoir été une figure à l'époque, en tant que juge dans sa bourgade. Ses enfants furent James I et Jane II, pour ceux qui survécurent (ils eurent également Juliet IV, Jared I, John I, July I et June I, dit généralement emportés par le cholera, le typhus ou une maladie pulmonaire).
Jartha I Black-Hemmington (1613-1639) dont on narre généralement le manque de savoir vivre, le langage vulgaire mais surtout ses coucheries à droite et à gauche, n'eut de cesse que de courir dans une époque qui n'était pas la bonne. Homosexuel reconnu, ayant eut de nombreuses relations (on raconte même qu'il aurait "aimé" le mari de sa tante Jean I Black), il ne se cacha jamais et fit face à la répression morale du pays avec une force et une passion sans égale. Jartha, irlandais, décéda sans enfant, d'une syphilis purulente. On le retrouva noyé dans le lac qui entourait son Manoir à l'époque, lui et sa femme. La légende veut qu'il noya sa femme quand elle lui annonça qu'elle attendait un enfant, et que par amour de celle-ci, et par remords, il ne se laissa couler lui aussi. Les traces sur la gorge de la jeune fille qu'il avait marié, une certaine Midnight (non attesté par la famille Midnight) ou, selon, une certaine O'Brian, atteste la légende, même si la famille Black en a toujours rit.
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Joleene K. Black
► MESSAGES : 94 Mar 26 Avr - 2:00 |
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Joleene K. Black
► MESSAGES : 94 Mar 26 Avr - 2:41 |
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