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 He won't bother you anymore [Kat']

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PROFIL & INFORMATIONS









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
He won't bother you anymore [Kat'] #Mer 2 Mar - 13:47


    Andreas regarda sa montre. Cela faisait cinq minutes qu’il attendait cette fille. Son temps était terminé. Il n’avait pas eu l’occasion de lui faire essayer la bague, mais tant pis, lui, prince Nielsen, n’attend pas une fille plus de cinq minutes, c’était la règle. En plus, il faisait drôlement froid et gris en ce mois d’août et le jeune Danois n’avait aucune intention de poireauter dehors plus longtemps. Il allait pour rentrer au chaudron baveur, envoyant valdinguer les caillou du bout de sa chaussure et percutant tout ceux qui ne s’écartaient pas assez vite de son chemin à son goût quand il vit dans une ruelle sombre une jeune femme qui semblait être du style sans abri, ses vêtements n’étant pas de toute première fraicheur, entourée par trois jeunes hommes armés jusqu’au dents. Andreas sourit. Il semblerait qu’il y aurait un cadavre de plus dans les rues d’ici ce soir. Dire qu’il s’en réjouissait, non, peut-être pas, mais cela faisait plaisir de voir qu’il n’était pas le seul à aimer commettre des petits méfaits dans le genre, même si le dernier des sien datait de deux semaines déjà depuis qu’il avait empoisonné ce moldu sous les ordres de la famille royale anglaise. Celui qu’il avait commis avec sa propre baguette remontait à encore un peu plus. Un mois peut-être. Mais ici, en Angleterre, il ne pouvait pas se permettre de créer un incident diplomatique. En plus, il voulait se débarrasser de sa malédiction au plus vite, afin de pouvoir participer au tournois des trois sorciers. Et tuer toutes celles qui ne lui convenait pas comme il le faisait chez lui ne l’aiderait en rien. C’était donc plus un sourire de nostalgie qu’une franche bénédiction. Mais il saisit une phrase qui le fit changer d’avis :

    « Allez, file nous tes affaires et dégage »

    Aussi bizarre que cela puisse paraître, Andreas était pour le meurtre, mais contre le vol. Surement dû à ses nobles origines. En plus, vu l’état de la pauvre fille, elle ne devait pas avoir grand-chose d’intéressant dans le sac miteux qu’elle trainait. Ils auraient mieux fait de s’en prendre à quelqu’un qui avait l’air un peu plus riche. Mais ce genre de personne étaient capable de leur foutre une frousse suffisante pour qu’ils ne recommence pas, alors peut-être n’étaient-ils pas aussi crétins que ça d’avoir prit une proie à la mesure de leurs talents, ce qui en disait justement très long sur leurs capacités. Quoiqu’il en soit, il ne pouvait pas laisser un truc comme ça arriver juste sous ses yeux. Cela ferait une pauvre de plus à qui il faudrait encore balancer des petites pièces pour se faire bien voir … par la Barbe de Merlin, qu’est-ce qu’il détestait faire ça en plus. Le jeune homme s’engagea donc dans la ruelle d’un pas sur et s’éclaircit la gorge avant de dire, jouant légèrement sur son accent histoire que ces nouveaux adversaires le sous-estiment :

    « Messieurs, il me semble que vous devriez laisser cette jeune fille tranquille »Celui qui semblait le chef lui répliqua:
    « Toi l’allemand occupe toi de tes affaires. »Le jeune danois fit comme s’il n’avait pas entendu cette remarque blessante et attrapa par le col ledit meneur en lui murmurant près de l’oreille, sur un ton nettement moins sympathique :
    « Joue pas avec moi minus, tu pourrais le regretter. Déguerpi maintenant ! »

    Ce fut tout juste si l’autre ne lui ricana pas au nez. Andreas le lâcha alors brusquement, le laissant s’étaler sur le pavé. Les deux autres avaient regardé la scène sans bouger. Bien, ils avaient l’air bien abruti, ça ne serait pas bien dur. Il dégaina sa baguette d’un geste vif et la pointa sur celui qui était resté sur le sol suite à leur petite altercation :

    « Un geste vers ta baguette ou ton couteau et tu es mort. »

    Le jeune homme ne prit pas sa menace au sérieux et retira le cran de son couteau qui s’ouvrit dans un éclair argenté. Il n’en fallu pas plus à Andreas et un rayon vert plus tard le corps de ce dernier reposait tel une poupée de chiffons sur les pavés. Les deux compères s’enfuirent encourant, rendant sa liberté à la jeune femme. Le jeune Nielsen fit léviter le corps et l’envoya au fond de la ruelle avant de déclencher une pluie de gravats d’un geste du poignet pour cacher son méfait. Étonnamment, le crime qu’il venait de commettre l’avait calmer comme s’il n’avait pas vraiment été serein durant ce dernier mois. D’un sourire, il dit à la jeune femme :

    « Viens j’ai une chambre au Chaudron baveur, tu pourras te laver et après on ira manger un morceau. » La voyant hésitante, il ajouta : « N’ai pas peur, ça c’est juste pour ceux qui le mérite » avec un geste du menton vers le cadavre au fond de l’allée.









Katarina J. Mckenzie

Katarina J. Mckenzie


► MESSAGES : 116
He won't bother you anymore [Kat'] #Lun 14 Mar - 1:57


    C’était hors de tout doute, Katarina s’était enfuie encore une fois de la garde rapprochée qu’elle avait de coller au postérieur. Sérieusement, elle en avait marre de ses italiens qui n’arrêtaient pas de la suivre peu importe où elle allait, comme si elle avait absolument besoin qu’on surveille si le papier toilette dans les toilettes étaient assez doux pour son cul. Bref, vous comprenez qu’ils exagéraient. Elle n’avait pas besoin d’autant d’attention. Il était certains qu’elle adorait se sentir en sécurité, mais quand sa liberté était brimée… elle n’arrivait pas à s’y faire. La pauvre tout de même. Elle aimait beaucoup Ezio, mais c’était ce qui ne fonctionnait pas entre les deux. Katarina n’avait rien contre personne, sauf qu’elle voulait marcher. Elle voulait avoir une certaine liberté. Pourtant, avec les gardes du corps d’Ezio, elle ne manquait jamais de rien. Nourriture, eau, vêtement et un toit sur la tête… en ce moment, elle n’avait rien de tout cela. C’était essentiel pourtant, mais Katarina n’avait pas d’argent. Elle n’avait rien sur elle. Elle vivait comme une pauvre, lorsqu’elle avait une chance incroyable de vivre la belle vie. Qu’est-ce qui poussait la jeune femme de vivre une vie de misère ? C’était simple. Elle avait besoin de vivre sa vie qu’elle n’avait pas vécu dans sa jeunesse. Quoi ? Vous n’avez rien compris. Ce n’est qu’un détail. Depuis, sa tendre enfance, Katarina vit une possession entière. Son corps lui appartient qu’en partie. Partagé son corps avec trois autres personnalités n’étaient jamais simple. Elle n’était pas prête donc à laisser la liberté qu’elle avait trouvé grâce au cadeau du ministère. Elle vivait pour une fois. Elle avait sa tête à elle. Elle avait tout à elle. C’était formidable à ses yeux. Alors, elle marchait. Encore et encore, sans jamais s’arrêter pour se reposer, car il lui arrivait des malheurs. Elle avait peur qu’on lui fasse du mal durant son sommeil ou qu’on la surprenne pour lui en faire. C’était effrayant. Pour tout dire en ce moment, elle était revenue à Londres. Elle risquait grandement de croiser les gardes rapprochés d’Ezio qui était reparti dans son pays pour régler quelques affaires, puisqu’il était le ministre Italien. Elle s’en foutait de tomber sur les gardes, mais elle aimait tout de même avoir une grande liberté dans ce qu’elle faisait. Elle marchait dans le chemin de traverse. Elle venait rarement ici, puisqu’elle avait de la misère à y pénétrer. Elle ne pouvait ni transplaner, ni prendre le réseau de cheminer et elle devait trouver le moyen d’y pénétrer au travers d’un barre, mais avec l’aide de quelqu’un. Elle se promenait en regardant le monde qui s’offrait autour d’elle. Elle regardait le tout avec des yeux complètement émerveillés. Wow, lâchait-elle par moment en voyant les hiboux dans leur cage devant l’animalerie. Ils étaient beaux. Katarina aimait le chemin de traverse. Par contre, elle regrettait de ne pas avoir un sous puisque son ventre gargouillait. Elle avait faim et soif. Elle remit son sac sur son épaule, comme il le fallait pour aller s’asseoir sur un banc. Elle réfléchissait à comment elle allait se nourrir. Elle se leva finalement. Elle devait retourner voir les gardes de Ezio, si elle continuait ainsi… elle allait mourir de soif et de faim. Elle s’était levée. Il commençait à faire noir, mais ce n’était pas encore pressant à l’avis de notre chère Katarina. Elle avait continué son chemin. Pourtant, elle s’était mise les pieds dans les plats. Oh merde. Elle ne s’attendait certainement pas à la suite des choses. Une bande d’adolescent vint l’entourer. La pauvre jeune femme les regardait sans rien dire. Elle tentait de continuer son chemin, mais ils lui bloquèrent la route peu importe ce qu’elle faisait. Elle regardait ces adolescents qui la menaçaient. Elle avait peur. Il la poussait. Katarina ne disait aucun mot, mais elle tremblait. « Allez, file nous tes affaires et dégage » Katarina recula en protégeant son sac, mais elle se fit pousser à nouveau vers l’avant en direction du chef de bande. « Non. » dit-elle tout simplement en tremblant toujours. « Messieurs, il me semble que vous devriez laisser cette jeune fille tranquille » Katarina serra son sac qui contenait ses maigres biens. C’était des vêtements de luxe, quelques bijoux. Elle avait l’apparence d’une pauvre, mais au fond… elle était riche grâce à Ezio. Elle n’en profitait pas. C’était étrange. « Toi l’allemand occupe toi de tes affaires. » Katarina pencha sa tête sur le côté. Il n’était pas un allemand, mais un Danois. Elle le savait parce qu’on lui avait soufflé la réponse. Des fantômes. « Joue pas avec moi minus, tu pourrais le regretter. Déguerpi maintenant. Un geste vers ta baguette ou ton couteau et tu es mort. » Elle regardait les hommes se disputer. Elle vit toute la violence qu’elle attendait de ce que les fantômes pouvaient lui dire au sujet de son sauveur. Elle vit une éclair verte. Katarina eu un geste de recul tout autant que les autres adolescents qui s’étaient trouvé là. Le garçon qui était le chef au départ… était décédé du Danois. Katarina le regardait. Elle eut un mouvement de recul en tenant son sac contre elle. Elle avait peur de lui. Elle ne prenait jamais parti, mais elle était terrifiée à l’idée qui lui réserve le même sort. « Viens j’ai une chambre au Chaudron baveur, tu pourras te laver et après on ira manger un morceau. N’ai pas peur, ça c’est juste pour ceux qui le mérite. » Elle le regarda toujours hésitante. Elle n’était vraiment pas certaine de vouloir le suivre. « Et ceux que tu as tué par pur plaisir chez toi, dans ton royaume, il le méritait aussi ? » dit-elle en le regardant droit dans les yeux. « Je suis peut-être une sans-abri à tes yeux, mais je suis plus que ça. J’ai décidé de mettre ses vêtements. J’ai décidé de fuir celui qui me protège depuis un an. Je me suis enfuie de ses sbires pour vivre une vie… Je suis une monstre, Andreas. Je connais bien des choses. Je sais que tu es Danois. Maaaaaaaaaaaaaais… je veux bien te suivre si tu ne ressors plus jamais, jamais ta baguette devant moi. » Elle était tellement sérieuse sur ce coup.









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
He won't bother you anymore [Kat'] #Mar 15 Mar - 20:40


    « Et ceux que tu as tué par pur plaisir chez toi, dans ton royaume, il le méritait aussi ? »

    Andreas laissa retomber la main qu’il avait tendue vers la jeune femme. S’il s’était attendu à ce qu’on lui sorte un truc pareil un jour? Certainement pas. Plusieurs questions s’offrirent immédiatement à son esprit : de une, qui était-elle pour lui parler comme ça ? Et de deux, comment diable pouvait elle savoir ce qu’il faisait ou non chez lui? En émettant tout d’abord l’hypothèse qu’elle s’avait où « son royaume » était. Mais la question la plus pertinente qui se posa fut : avait-il déjà rencontré la jeune femme ? La réponse était clairement non. Il s’en serait souvenu. Il la regarda d’un air interrogateur alors qu’elle poursuivait : cette jeune femme avait l’air des plus intéressantes.

    « Je suis peut-être une sans-abri à tes yeux, mais je suis plus que ça. J’ai décidé de mettre ses vêtements. J’ai décidé de fuir celui qui me protège depuis un an. Je me suis enfuie de ses sbires pour vivre une vie… Je suis une monstre, Andreas. Je connais bien des choses. Je sais que tu es Danois. Maaaaaaaaaaaaaais… je veux bien te suivre si tu ne ressors plus jamais, jamais ta baguette devant moi. »

    Elle avait définitivement fini de convaincre le jeune homme. Le simple fait qu’elle puisse donner le nom de sa contrée sans qu’il eu même dit son nom, pire qu’elle connaisse son nom sans qu’il connaisse le sien, faisait d’elle qu’elle de suffisamment intéressantes pour qu’il s’y intéresse. C’était certes vraiment bizarre mais quand on est maudit, plus rien ne vous surprend. Il la regarda alors pour la première fois comme son égale et lui promis:

    « Je ne la sors plus, c’est promis » Le jeune Nielsen rangea sa baguette dans sa poche. Il n’en avait pas besoin pour tuer, mais il supposait que si la jeune femme en savait aussi long sur lui, elle devait également savoir ça. Ce fut à son tour de parler de ce qui dérange :
    « Comment t’appelles-tu et comment diable sais- tu tout cela ? »

    Pour une fois, le jeune Prince Danois fit fi des convenances et mit la politesse au placard. Ce n’était pas vraiment le moment de faire son snob. Car oui, la jeune femme était intéressante, mais elle pouvait devenir dangereuse pour lui si elle parlait trop. Lui faire confiance ou non, tout se jouerait dans les prochaines minutes. Il espérait qu’il n’aurait pas à regretter le fait de ne pas être armé. Une fois la réponse de la jeune femme donnée, il jugea plus opportun de continuer cette conversation autour d’un bon repas. Offrant son bras à Kat’, il lui proposa :

    «  Nous serions mieux à l’interieur »

    Quand il sentit le contact du bras de la jeune femme contre le sien, il commença à avancer vers le chaudron baveur. Une fois à l’intérieur, il se dirigea vers la table qu’il s’était lui-même attribuée au fil du temps. Il tira la chaise afin que la jeune fille puisse s’assoir avant d’intimer d’un geste au directeur de l’endroit de les servir rapidement.


[Désolée, c'est nuul]









Katarina J. Mckenzie

Katarina J. Mckenzie


► MESSAGES : 116
He won't bother you anymore [Kat'] #Mer 27 Avr - 1:51


    Katarina aurait très bien pu fuir lorsqu’elle entendit le statu de l’homme qui se tenait devant elle. Il était un prince. Un petit prince horrible en sachant très bien qu’il aurait très bien pu la laisser mourir aux mains de ses bandits. Elle était une pauvre demoiselle sans abris qui n’avait aucunement de famille. Personne n’aurait peur de ne pas blesser une fille dans son genre. Personne ne faisait attention, parce qu’elle était un déchet de la société sorcière. Qu’avait-il d’autre à dire ? Personne ne se souciait d’une sans-abri. Personne ne prenait la peine de se demander pourquoi était-elle dans la rue à un aussi jeune âge. À dix-neuf ans, il était rare de voir une jeune femme de son âge dans la rue. Il était triste de la voir se promener avec la peur toujours au ventre. Elle ne savait jamais si quelqu’un lui voudrait du mal. C’était une bonne chose que les gens veuillent la blesser parce qu’ils avaient envie de voir quel sentiment ressentait-on lorsqu’on violentait un autre être humain. Elle avait subi. Elle subissait encore. Katarina avait appris à courir vite pour se défaire des agresseurs puisque c’était la seule façon qu’elle avait pour sauver sa peau. Elle était laissée à elle-même dans ce monde de brute. Elle n’était pas une brute. Elle était loin d’être une méchante fille. Elle était tout ce qu’il y avait de plus doux. Elle savait tant de choses qui pouvaient être dangereux pour quiconque, mais si elle parlait trop… ceci pouvait lui être fatale. Voulait-elle mourir ? Non. Bien sûre que non. Elle voulait vivre la vie qu’elle n’avait pas eu la chance de vivre totalement. La jeune femme voulait absolument pouvoir grandir face au monde. Elle ne voulait pas être le témoin de la vie, de sa vie. Elle voulait être cette fille qui vit cette vie. Bref, vous comprendriez qu’elle avait un désir de vivre plus que tout au monde. Katarina était effrayée et demanda au prince de rangée sa baguette pour ne pas mourir d’un sort sortit de ce foutu bout de bois. Il le fit. Elle en fut presque soulagée. « Je ne la sors plus, c’est promis » Elle fit un petit hochement comme si elle le remerciait sans dire un mot. « Comment t’appelles-tu et comment diable sais- tu tout cela ? » Elle fit un petit sourire. « Je m’appelle Katarina Judith Mckenzie. Je suis … une genre de médium. Mon don n’est pas don. Je le décrirais plutôt comme une malédiction. » elle fit une moue. « Nous serions mieux à l’interieur » Elle le regarda. Elle était hésitante de prendre le bras qu’il lui présentait. Elle finit par le prendre délicatement. « Je vais t'expliquer à l’intérieur. » Elle était pauvre. Elle était au bras d’un riche héritier d’un trône. Ils entrèrent dans un restaurant. Elle regarda Andreas quand leur table fut donnée. « Si tu me le permets, je vais changer de vêtement… me faire une mini-beauté… c’est plutôt gênant d’être habillée comme une sans-abri avec un prince. » Elle baissa la tête par politesse. Elle prit son sac et partit donc aux toilettes avant de revenir… légèrement moins crasseuse, même si elle avait tenté de se frotter les cheveux et les tâches de sables et de boues sur sa peau. Elle avait des vêtements longs de marque. Étrange pour une sans-abri. Pourtant, elle avait une explication à lui donner. « Donc je reprends où j’en étais plutôt. Je m’appele Katarina. Je ne suis médium, mais aussi une attrape fantôme. Je les attire. Je les attire à moi. Pendant près de seize ans, je fus sous l’effluence de trois fantômes qui prenaient possession de mon corps. J’ai vécu en témoin. » Elle pointa le collier dans son coup qu’elle finit par le prendre dans sa main sans le décrocher de son coup. « Grâce à ça, j’arrive à rester moi-même. Je les entends. J’entends tous les fantômes qui m’approchent. Plusieurs se plaignent. J’entends des choses que je ne devrais pas savoir. Sais-tu ce que s’est d’entendre des voix toujours ? Sais-tu ce que s’est de ne pouvoir vivre librement parce que j’suis pauvre et je ne peux vivre une partie de ma vie. Heureusement que j’ai de l’aide. Un homme m’aide. C’est lui qui m’a donnée les vêtements que je porte… Je ne les porte pas quand je parcours le pays. » elle prit une pause. « des question ? Je répondrai. Tu m’as sauvée la vie… » Elle tendit la main vers lui pour toucher sa main. C’était son truc à elle. Elle aimait le contact avec les gens, mais elle n’avait pas cette chance de le faire avec n’importe qui. Les préjugés par rapport à sa pauvreté.










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