« Ben justement t’aurais pu faire attention ! Tu n’es pas toute seule princesse. » P rincesse ? Le ton que la serpy avait employé n’était pas très aimable. Je savais bien, mais je pus m’empêchais de la provoquer. « Princesse. C’est un beau surnom. Je serais m’en souvenir. » Je lui lâchai un petit sourire, un sourire provoquant. J’avais horreur de me laisser marcher sur les pieds, et ça n’allait pas être cette Serpillière qui me faisait penser à ma sœur qui allait m’en empêcher. Attendez. Attendez une minute. Cette Serpentarde se nommait donc aussi McAdams ? Non. C’était une plaisanterie ? Qui puis est ce prénom. Ce prénom lui disait quelque chose. C’ était un prénom qui était enfouis au plus profond de sa mémoire.

Flash
-Back ;

« Némésis tu viens jouer à côté d’la rivière avec moi ?
- Mais Elaïna ; on va encore se faire gronder par papa et maman.
- Bun c’est sa qu’est marrant nan ? »

Némésis lâcha un sourire à la jeune Elaïna. Après tout elle avait raison. Si on ne prenait pas de risque à quoi cela servait de vivre ? C’est ainsi qu’elles se dirigèrent vers l’eau. Une d’entre elle sortit une baguette. « HAN ! Nemy ; où à tu pris ça ? » La jeune sorcière rigola en guise de réponse, l’autre fillette pris la baguette et jeta quelques sorts très simples que la petite avait entendu de la bouche de ses parents. Une demi-heure était passé, leur parents étaient venu les chercher ; lorsqu’ils virent Némésis prise en flagrant délit. Elaïna s’interposa. « Maman c’est moi qui est pris votre baguette et c’est moi qui est lancé les sorts. » Les parents interloquaient punirent la jeune fille. Pour être plus précise Elaïna défendait toujours la jeune Némésis. Elle faisait toujours croire que c’était elle qui faisait les bêtises. Alors que c’était faux. Pleurant à chaude larme Némésis ne sut quoi dire. La seule chose qu’elle sut faire était de se défiler.

fin du flash
-Back ;

Interloquais de ce souvenir. Mon regard ne savait plus où donner. Je ne savais plus quoi dire non plus. J’avais enfin compris pourquoi elle me disait quelque chose, et surtout qui elle était. Allais-je faire semblant de ne pas la connaitre ou lui dévoilais qui j’étais pour elle ? Je ne savais pas comment réagir. Allez ! Allez Némésis poses une question ! N’importe laquelle du moment qu’elle peut comprendre. « Qu’elle âge à tu ? » Suis-je sotte ou j’le fais exprès. Levant les yeux au ciel je priai Dieu pour qu’elle ne me croie pas folle. Après tout c’était une question comme toutes les autres. Mais mon comportement laissé croire que j’étais bizarre d’un seul coup. J’avais envie. L’envie de lui dire ‘tu es ma sœur.’ L’envie de la serrer contre moi et de lui demander pardon. L’envie de lui dire ‘Elaïna, tu n’es pas morte !’ Tout simplement l’envie de lui parler comme autrefois. L’envie d’avoir la même complicité qu’autrefois… Les larmes coulaient sur mon visage. Je ne m’étais même pas rendu compte de ses chaudes larmes de bonheur.

C’était bête. J’étais en larme devant une Serpentarde, mais le pire. C’est que j’m’en étais pas rendu compte avant que son ami lâche un commentaire, accompagné d’un petit ton moqueur. C’est à partir de ce moment-là que je me rendis compte de ses stupides larmes. C’est pourquoi j’accrochai ma main sur mon visage pour les essuyaient brutalement. Accompagné d’un regard vaseux Joshua me fixai comme une étrangère.

« Heu … Bun j’te r’joins plus tard.
- Ouais. » Dis-je d’un ton las.

En réalité je n’avais pas tout à fait suivis la phrase de mon ami. Il partit sans dire un autre mot. Et s’ensuivit l’ami d’Elaïna. Ma camarade me fixait ; elle devait être en train de m’imaginer dans un asile ou autre. Oui, elle devait pensée que j’étais folle. Pas étonnant. Plus aucun doute, c’était ma sœur. La date le confirmait. 19 septembre disait-elle. Comme moi. Elaïna m’emportait avec elle. Dans un autre couloir, loin de tout ce brouhaha. Ensuite elle me demanda pourquoi j’étais en larme. Je ne sus quoi répondre. Mais en y réfléchissant je décidais de lui faire comprendre tout en douceur.

« Tu as eu seize ans le dix-neuf septembre dernier. Comme moi. Les McAdams ; ils sont très rare maintenant. Ceux que je connais sont des grands-parents. Je croyais être la plus jeune. Jusqu’à maintenant. »

J’avais repris mon calme. Ma sœur me fixait . Je n’serais vous dire si elle comprenait ce que j’essayais désespérément de lui faire comprendre. Je préférais passer par les quatre chemins. Je n’voulais pas qu’elle me prenne pour folle. Ou qu’elle ne me croie pas tout simplement. Ont se trouvaient toutes deux devant un banc de pierre qui menait à un lac. Celui-ci était gelé par le froid. Je me mis à l’admirer. Il scintillait de mille feux. Il était magnifique à contempler. Sans même regarder cette dernière, je lui posai une question. « Te rappelles tu de ton enfance ; Elaïna ? » Ce que je trouvais louche, c’est qu’Elaïna ne se rappelait plus de mon prénom. Après tout elle aurait dû s’en souvenir. Cela remontait certainement à douze ans plus loin, mais cela aurait dû la marquer. Un évènement comme celui-ci sa reste encré à tout jamais dans la mémoire. Même si on essai de l’oublier, jamais on y arriverait. On était certainement des sorciers, mais on restait tout d’même des humains. La Serpy la regardait soupçonneusement. Je semblais certainement louche à ses yeux. Je devais certainement être un détraquait pour elle. Ou peut-être réfléchissait-elle au pourquoi de cet interrogatoire. Je ne semblais pas l’embêtais. Etrangement, elle m’écoutait et réfléchissait certainement aux réponses. Des questions comme celles-ci on y répond facilement, mais elle semblait … Comment dire. Elle semblait réfléchir à une réponse en bêton. Réfléchir ; réfléchir et encore réfléchir. Moi je n’voulais pas qu’elle réfléchisse. Je voulais simplement des réponses claires. Si elles étaient courte, je m’en contre fichais. De toute évidence, je savais que c’était elle. Seulement, elle s’emblait avoir légèrement changer. Bien sûr, comme tout l’monde elle avait changé physiquement. En ayant gardé les traits de leur père. Mais son caractère semblait être plus dur qu’autrefois. Une question qu’elle se posait : ‘Etait-elle toujours aussi manipulatrice ?’ Elaïna en avait manipulé du monde lorsqu’elle était jeune. Même ses parents. La seule à qui elle ne le l’avait pas fait. C’était moi. Non ; moi elle ne me manipulait pas. Elle n’avait pas besoin de le faire. J’étais toujours en train de l’écouter. J’admirais son côté rebelle. Moi, à l’époque je n’étais que la petite fille à papa. Elle, c’était autre chose. Elle grandissait d’elle-même. Sans d’mander d’aide. C’est ça que j’admirais chez elle. Ce caractère si … garçon manqué.