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| Si je te laisse, que feras-tu ? ( pv ) | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Mar 7 Sep - 2:04 |
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| © White Rabbit Ça faisait près de deux semaines qu’il avait kidnappé Maëlys. Elle n’avait jamais rien manqué. Il ne lui avait fait plus de peur que de mal. Adonis ne lui avait plus jamais fait de mal dans un sens. Il ne l’avait jamais agressé physiquement sans que ça soit un viol pour ce qu’on entend de l’agression. Il ne l’avait plus frappé. Il l’avait traité comme une princesse lui laissant sa chambre comme lit. Il dormait depuis sur le divan sans dire un mot. Il se levait toujours avant elle pour lui faire à déjeuner avant de partir travailler s’assurant d’emmener les deux baguettes au cas où elle tenterait de s’enfuir. Il lui ramenait toujours des livres pour s’occuper à chaque deux jours. Il n’était pas une méchante personne avec cette fille. Il prenait vraiment soin d’elle sans oublier quoique ce soit apprenant à la connaître le plus qu’elle lui permettait d’en connaître. Elle était moins effrayée par lui. C’était déjà ça de gagner. Il était amoureux et croyez-moi pas à moitié. Il voyait en elle Avril, depuis le premier jour. Il remarquait les différences bien sur entre les deux femmes, mais ça ne s’arrêtait pas là pour les sentiments. Pourtant, il sentait qu’il avait quelques sentiments pour l’autre. L’autre qui était bien sur Avril Adler. L’autre appartenait dans un sens à son frère. Il avait recommencé à prendre contact avec sa famille racontant à Jude qu’il était con. Il avait kidnappé une fille qu’il tenait prisonnière chez lui. Il racontait à sa sœur à quel point qu’elle était jolie et qu’elle était gentille. Il voulait le lui la présenter si un jour la chance se présentait. Il parlait à sa sœur et l’un de ses frères, car il les aimait tout de même, même s’il leur avait fait endurer bien des choses aux cours des dernières années. Adonis était un beau salaud, mais il se la jouait ainsi pour s’auto-protéger des attaques des autres et de l’amour. Mais l’amour finissait toujours par frapper à sa porte. Il avait toujours réagi bizarre à la suite de la première fois qu’il s’était fait laisser par une fille qu’il avait véritablement aimé. Il revenait donc du travail avec deux livres en main et un magazine où il parlait de cette fille disparue qui était bien Maëlys en question. Il passa par un supermarché où il acheta quelques provisions pour nourrir lui et son otage. Bien sur, il avait appris les aliments qu’elle aimait et n’aimait pas. Il veillait à lui donner ce qu’elle voulait. Il pensait de plus en plus à la laisser partir, car il avait appris à la connaître… pourtant il avait toujours une crainte. Il ne voulait pas la voir disparaître. Il ne voulait pas se retrouver en prison pour ce qu’il avait fait. Il était amoureux. Il avait peur qu’elle lui brise le cœur, comme la première Avril et comme l’autre qui l’avait monté contre son unique sœur. Il emmena tous ses sacs jusqu’à l’appartement où il poussa la porte. Il rentra et verrouilla les portes magiquement. « Maëlys ? Maëlys ? J’ai un urgent besoin qu’on discute. SI tu veux bien me parler… aujourd’hui. » Il la trouva assise dans le petit salon. « Regarde, ça, c’est pour toi. Il te recherche partout… Je… je…. » il fit une moue. « J’ai peur de te laisser partir » dit-il en allant droit au but. | |
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InvitéInvité
Jeu 16 Sep - 19:30 |
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| En deux semaines Maëlys n'avait pas trouvé le moyen de dire à Adonis qu'elle n'aimait pas les livres et qu'elle préférait les magazines. C'était un point de détail mais elle gardait toujours à l'esprit qu'il ne valait mieux pas contrarier son ravisseur. Et pourtant Merlin savait qu'il l'avait traité comme une princesse si l'on faisait omission du fait qu'il la séquestrait et qu'il lui avait confisqué sa baguette. Il avait même appris à satisfaire ses moindres désirs en matière de cuisine même si son seul véritable désir était tout simplement de pouvoir partir et de reprendre sa vie normale. Ses amies lui manquaient. Elle s'ennuyait de son travail. Pour ne pas parler du reste... Deux semaines c'était long.
En entendant la porte s'ouvrir, elle se releva d'un bond, comme avec un petit espoir de pouvoir s'échapper puis finalement elle alla l'aider avec les courses sachant très bien que ce n'était même pas la peine d'y penser.
« Regarde, ça, c’est pour toi. Il te recherche partout… Je… je…J’ai peur de te laisser partir »
Elle jeta un coup d'oeil au journal avant de répondre.
« J'ai déjà promis de ne rien dire si tu me laissais partir je ne peux rien faire de plus... »
Et c'était vrai. Qu'aurait-elle pu lui dire de plus que "je promets" avec ce regard sincère qu'elle avait. Elle avait déjà promis cent fois et ça n'y avait rien changé. Que faire alors...? | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 19 Sep - 23:45 |
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| Adonis n’était pas finalement aussi méchant qu’on pouvait le croire. Il y avait un cœur au fond de son être, mais il était idiot d’une manière. Il agissait sur un coup de tête qui pouvait le rattraper littéralement. La pauvre Maëlys vivait captive depuis déjà deux semaines. Elle n’avait jamais manqué de rien. Il l’avait traité comme une princesse ne voulant pas l’effrayer non plus. Il n’était pas un homme très difficile à vivre lorsqu’il était doux et délicat. Il ne lui faisait jamais du mal, même si lui en faisait en la gardant ici enfermer. C’était par amour. Elle devait comprendre ce geste, même si ce n’était pas simple à comprendre lorsqu’on était la victime. Peut-être un jour qui sait… elle comprendra. Pour l’instant, il était presque impossible qu’elle se rende compte qu’il mourrait d’amour pour elle. Si elle partait, reviendrait-elle ? L’aimait-elle ? Avait-il la chance de la revoir un jour ? L’idée de devoir la laisser partir au risque de la perdre pour toujours lui faisait mal. Sa deuxième Avril égalait aussi une deuxième échec dans le cœur glacial des Avril de ce monde ainsi que ses sosies. Pourtant, une petite voix lui disait de la laisser partir. Quelques choses lui disaient au fond qu’elle reviendrait. Il ne l’avait jamais maltraité. C’était vrai de plus. Elle n’avait jamais été blessée, sauf lorsqu’il avait décidé de la kidnapper. Combien de fois s’était-il excusé envers Maëlys d’avoir mal agi. Bref, il était entré dans la maison avec les courses, mais aussi quelques bouquins et un journal. Elle vint à sa rencontre. Il lui sourit tendrement un instant avant de prendre un air un abattu. Il ne voulait pas la voir partir. « J'ai déjà promis de ne rien dire si tu me laissais partir je ne peux rien faire de plus... » Il baissa la tête. Il partit dans la cuisine. Il déposa la nourriture avant de revenir dans le salon. Il réfléchissait et ça paraissait. « Si je te laisse partir, rien ne me garantit que tu ne diras rien Maëlys. Puis, je veux te revoir… tu ne voudras plus me revoir. Je t’ai quand même kidnappé et séquestré… mais je n’ai jamais été méchant avec toi… » il baissa son regard. Il était un peu gêné pour la suite des choses. Il soupira un instant. « J’ai eu le coup de foudre pour toi… depuis la première fois que je t’ai vu. Je ne veux pas te voir partir… je t’aime… c’est tout et je ne sais pas ce que tu penses de moi autre que je suis un méchant qui te garde, ici, chez moi. Je pourrai même mettre ma main au feu que tu ne ressens rien pour moi que du dégoût et de la haine pour t’avoir gardé ici. Je suis égoïste. Je suis fou… » Il rebaissa ses yeux avant de tourner les talons et se déplacer dans son appartement pour aller s’asseoir sur son lit pour réfléchir. Si elle avait envie de lui parler. Elle n’avait qu’à le rejoindre. Il ne la forcerait pas à lui adresser la parole. Il pensait au comment la revoir s’il la laissait partir, mais aussi comment ne pas finir ses jours en prison. Il n’en avait pas envie d’être enfermé dans une cage pour perdre de précieuses années de sa vie. Il réalisa qu’il avait enfermé Maëlys dans une boîte de bois pendant deux semaines lui faisant perdre son temps… Il était égoïste, mais il l’aimait. Il ne voulait pas souffrir par son départ. Il n’avait pas envie de la regarder par l’une de ses fenêtres la voir s’enfuir en courant vers il ne savait où … loin de lui. | |
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InvitéInvité
Ven 8 Oct - 16:07 |
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| « Si je te laisse partir, rien ne me garantit que tu ne diras rien Maëlys. Puis, je veux te revoir… tu ne voudras plus me revoir. Je t’ai quand même kidnappé et séquestré… mais je n’ai jamais été méchant avec toi… »
Maëlys détourna le regard. Elle n'était plus ni effrayée, ni en colère... ç'aurait été gaspiller de l'énergie pour rien, elle avait fini par le comprendre. Mais elle était embêtée. Évidemment que s'il la laissait partir elle s'arrangerait pour ne plus jamais avoir à le revoir. Quoi de plus naturel? On ne pouvait pas vraiment l'en blâmer. Comme il le faisait lui même remarqué, elle avait été kidnappée et séquestrée, il n'y avait vraiment pas de quoi avoir envie d'y revenir un jour. En sortir ça aurait déjà été tellement bien. Mais elle ressentait presque une petite pointe de... culpabilité. C'était un ensemble de choses. Le ton qu'il prenait. L'expression sur son visage. Et c'était vrai quelque part il n'avait jamais été méchant mais...
« Mais ce n'est pas comme ça qu'on se lie à quelqu'un Adonis, pas en l'enlevant et en le retenant de force… je sais bien que tu ne m'as pas maltraitée mais... si tu me laissais partir je ne crois pas que je reviendrai. J'ai pas envie de te mentir, c'est pas contre toi tu sais, t'es même un chouette garçon quand on fait abstraction de... tout ça. »
Mais elle n'arrivait pas à se défaire du sentiment de culpabilité malgré tous ses efforts. Et ce qu'il ajouta ensuite ne l'aida en rien. Elle avait clairement la sensation de se laisser manipuler et pourtant...
« J’ai eu le coup de foudre pour toi… depuis la première fois que je t’ai vu. Je ne veux pas te voir partir… je t’aime… c’est tout et je ne sais pas ce que tu penses de moi autre que je suis un méchant qui te garde, ici, chez moi. Je pourrai même mettre ma main au feu que tu ne ressens rien pour moi que du dégoût et de la haine pour t’avoir gardé ici. Je suis égoïste. Je suis fou… »
Elle ouvrit la bouche mais pas un mot n'en sortit. Ses grands yeux de biche le suivirent alors qu'il se dirigeait vers sa chambre, l'air abattu. Elle soupira. Non, ce n'était pas elle qui était en tord, elle n'avait pas à se sentir coupable de vouloir retrouver sa liberté. Elle aurait dû lui jeter à la figure toute cette rancoeur qu'elle n'avait même pas finalement, elle aurait du l'enfoncer et lui dire qu'il n'était effectivement qu'un égoïste, que les choses ne fonctionnaient pas comme ça, qu'elle le détestait et que c'était bien s'il souffrait, s'il regrettait. Mais allez savoir pourquoi, elle n'avait rien de cette animosité en elle. Rien qu'un peu de... compassion. Il passait clairement pour un fou à changer d'avis comme de chemise et d'ailleurs, si elle avait été méchante elle lui aurait dit qu'elle n'était pas du tout attirée par les garçons qui s'apitoyaient sur leur sort mais au lieu de ça, elle alla frapper trois petits coups à la porte de sa chambre (où elle n'était jamais entrée d'ailleurs) et attendit qu'il la regarde pour oser parler:
« Adonis... si tu m'aimes laisse moi partir. Je ne dirais rien tu as ma parole. Pour le reste... »
Il savait très bien ce qu'il en était du reste. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 10 Oct - 3:29 |
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| Le pauvre Maëlys devait bien s’ennuyer à force d’être ici loin de ses amis et de sa famille. Au fond, elle était prisonnière d’un égoïste qui avait agi comme un impulsif. Il était le pire idiot de la terre. Comment avait-il pu croire qu’un jour elle l’aimerait avec ce qu’il lui avait fait ? Décidemment, il vivait dans un autre monde. Il se croyait dans un conte de fée, mais les vilains dans son genre ne gagnaient jamais. Il était le méchant ogre que personne ne voulait. Ce pervers de roi qui se faisait souvent tuer à la fin du conte, par le prince charmant de la demoiselle en détresse. Il allait finir par mourir de la main du saveur de Maëlys. Pour tout dire, il s’attendait à voir les détraqueurs débarqués du jour au lendemain chez lui pour lui faire subir le baiser de l’amour. Paranoïaque ? Légèrement beaucoup, mais il faut bien comprend qu’il était dans une très mauvaise posture, puisqu’elle faisait la une des journaux. Tout le monde cherchait Maëlys. Il avait oublié ce petit détail, les avis de recherche. Elle était recherchée. Les gens pensaient à elle. Les gens lançaient des messages qui lui étaient destinés. Ses messages étaient destinés à faire relâcher la jeune femme. Au fond, il adorait la compagnie de cette femme, même s’il ne lui avait jamais fait de mal. Au fond, il se comportait, comme un égoïste rien de plus, rien de moins. Il était un petit égoïste qui ne pensait décidemment qu’à lui. Il gardait son regard sur elle lui sortant toute sorte de chose. Il venait de s’ouvrir à cette fille qui était depuis deux semaines sa compagne par force. Il devait la laisser partir au risque de finir en prison, malgré tout il la croyait. Il avait pourtant une deuxième crainte, c’était celle de ne jamais plus la revoir. Il devait prendre ce risque. Il pourrait toujours trouver le moyen de la revoir au fond. Il partit réfléchir dans sa chambre l’abandonnant sur le coup pour aller relaxer, se détendre sentant au fond la colère monter en lui. Il était assis sur son lit entendant trois petits cognés à sa porte. Il tourna la tête en direction de Maëlys qui restait dans l’encadrement de la porte. « Adonis... si tu m'aimes laisse moi partir. Je ne dirais rien tu as ma parole. Pour le reste...» Il se leva d’un bon. Il se déplaça jusqu’à elle. Il lui prit la main et la força à rentrer dans sa chambre. Par habitude, il ferma l a porte derrière lui. Il emmena Maëlys jusqu’à son lit décidant de lui caresser le visage avec le dos de sa main. « Tu sais que tu es si belle Maëlys. Mais je n’ai pas envie de te laisser partir. C’est si difficile de me dire que si je t’aime je dois te laisser partir sans te revoir. Je vais agir, comme méchant. Un salaud. Je te veux Maëlys. Je te veux complètement. J’ai été trop gentil pendant ses deux semaines… » il eut un petit sourire bizarre. Il tenta le coup en déposant ses lèvres contre sa joue, descendit tout doucement vers sa gorge l’embrassant dans le coup et un peu partout dans son visage sans toutefois touché ses lèvres. Pour l’instant, c’était le fruit défendu. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Mer 3 Nov - 17:47 |
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| Elle n'eut pas le temps de s'échapper en le voyant se rapprocher d'elle. Il l'avait déjà attrapée par le poignet. Elle eut un mouvement de recul brusque mais Adonis tira dans l'autre sens pour finalement la jeter sur le lit. Jusque là, il ne c'était jamais rien passé de bien méchant et, quoiqu'elle avait toujours soigneusement évité de se rapprocher de la chambre de son ravisseur. Elle regrettait maintenant d'avoir fait une entorse à cette règle mais dans le même temps, le sursaut d'adrénaline lui vrillait l'estomac d'une façon qui n'était pas trop désagréable. Elle ne s'en rendit pas compte sur le coup, trop occupée à se débattre.
« Tu sais que tu es si belle Maëlys. Mais je n’ai pas envie de te laisser partir. C’est si difficile de me dire que si je t’aime je dois te laisser partir sans te revoir. Je vais agir, comme méchant. Un salaud. Je te veux Maëlys. Je te veux complètement. J’ai été trop gentil pendant ses deux semaines… »
Elle restait une seconde tétanisée, envisageant le pire. Mais à la seconde où les lèvres d'Adonis essayèrent de se poser sur sa joue, elle tenta de se dérober et de le repousser. Elle ne faisait pas semblant loin de là, et dans le feu de l'action, elle lui cria des mots qu'une autre fille avait déjà jeté à la figure d'Adonis, mais ça, Maëlys ne s'en serait pas douté une seconde:
« Je t'interdis de me toucher Adonis! Ma promesse de ne pas te dénoncer tu n'auras jamais rien d'autre! Laisse moi!!»
Si elle avait su qu'il y avait sur terre une autre fille. Une fille qui était la cause de tout... si Maëlys avait pu remonter quelques mois dans le passé, alors sans doute aurait-elle trouvé le moyen de ne pas jeter ces mots-là à la figure d'Adonis. Mais elle ne savait rien de tout ça. Tout juste qu'elle lui rappelait une fille qu'il avait connue. Mais c'était tout. Elle était loin de se douter que peut-être elle venait de se le mettre à dos pour de bon. Si elle avait de la chance, il se mettrait à pleurer comme un enfant -chose qu'elle détestait le voir faire et qu'elle trouvait carrément insuportable quoiqu'elle ne se soit jamais risqué à le faire remarquer - et si elle n'en avait pas alors... elle passerait probablement un très sale quart d'heure. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Jeu 4 Nov - 21:02 |
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| Il était complètement fou d’Avril, mais aussi de Maëlys. Il était fou des femmes. Ah oui ! ses créatures indomptables qui faisaient parti de ses rêves, mais aussi de ses cauchemars. Ses femmes qui répétaient de ne pas les toucher. Le fruit interdit. Il semblait ne pouvoir toucher aux filles qui venaient le chercher dans ses tripes. Il s’approchait d’elle sans pouvoir faire ce qu’il désirait. Il désirait plus que tout, mais elles semblaient s’avoir fait passer le mot pour le rendre complètement fou. Toujours plus fou, même. Il avait peu de chance dans ses relations amoureuses ou amoureuses inexistantes. Il se frustrait de plus en plus devenant ce qu’il était aujourd’hui. Un idiot qui attendait l’amour sans l’attendre, mais en le provoquant de force, en le hurlant ou en kidnappant autrui parce qu’elle ressemblait à celle qui faisait battre son cœur depuis plusieurs mois, mais qu’il ne pouvait toucher sans se faire tuer par les mains d’un frère qui était supposé le comprendre. Personne ne pouvait comprendre la profonde blessure qui lézardait le cœur du cher Serdaigle qui gardait à peu près tout secret. Il n’était pas totalement, mais ne dit-on pas qu’avec les expériences et en vieillissant on forge son caractère. Eh bien, c’était ce qui arrivait à Adonis qui supportait mal le fait de se faire supporter peu importe le comportement qu’il prenait vis-à-vis chaque personne. Avec Avril, il était passé par tous les comportements possibles et, puis, Maëlys c’était bien pire puisqu’il avait étalé cela sur plus de deux semaines. Maëlys ressemblait tellement à Avril. Elle agissait de façon pratiquement pareille, sauf qu’elle était totalement différente physiquement. Elle était magnifique, même plus aux yeux d’Adonis qui avait eu l’impression de vivre quelques choses avec elle, même si ce n’était rien. Elle ne ressentait rien que peut-être du dégout envers lui. Il le remarquait dès maintenant. Il était assis sur son lit avant de venir la kidnapper pour tenter de l’embrasser espérant au fond de l’obtenir pour une dernière fois, car il avait décidé de la laisser partir… pourtant, elle n’agit pas comme il le voudrait vraiment. Malheureusement pour elle… elle allait provoquer quelques choses qu’elle ne pouvait se douter. Elle se débattait lorsqu’il la kidnappa de la porte pour l’emmener dans l’entre du méchant prédateur. Elle ne le ménageait pas. « Je t'interdis de me toucher Adonis! Ma promesse de ne pas te dénoncer tu n'auras jamais rien d'autre! Laisse moi!! » Son cœur s’arrêta tout d’un coup. Son visage changea du tout au tout. Il s’était arrêté. Il fronça les sourcils. Rien n’annonçait un évènement heureux. Il était fâché. C’était la première fois qu’il ne souriait pas ou qu’il n’avait pas ses expressions tout douce. « Ahahaha fais-moi rire, Maëlys. Avant que je te laisse partir, tu vas me supplier de te tuer. Tu ne sortiras pas. Tu veux que je te traite, comme une chienne. Je vais te montrer comment je les traite les chiennes. » il la poussa au sol, donc en bas du lit. Il n’était pas gentil, comme il lui avait dit deux semaines plutôt, mais en même temps, elle tomba que quelques centimètres, mais il avait tout de même fait le geste. Il eut un sourire pervers, méchant et extrêmement déplacé. L’Adonis que Poudlard connaissait était bien là. Il était présent devant cette fille qui avait osé lui répéter les pires mots à ses yeux. Il avait mal au fond, mais sa colère avait pris le dessus sur le mal qu’il ressentait. « Tu ne serais certainement pas la première fille que je fais pleurer. Oh non. Tu sais ce que je fais aux filles de ton genre ? » sourire mauvais. Ah oui, le méchant Adonis pouvait être cruel avec les belles filles. Il ne réfléchissait pas toujours ce qu’il pouvait faire. Il se leva pour se retrouver debout devant elle. Il ferma la porte d'un coup de pied empoignant sa baguette dans le fond de sa poche. « Je sens que ce soir... je vais m'amuser » des paroles en l'air, mais... on s'en fout. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Lun 8 Nov - 16:51 |
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| Elle le vit changer radicalement sous ses yeux. Le Adonis presque trop doux qu'elle connaissait venait de se volatiliser sous les quelques mots qu'elle lui avait jetés à la figure plus par réflexe qu'avec préméditation:
« Ahahaha fais-moi rire, Maëlys. Avant que je te laisse partir, tu vas me supplier de te tuer. Tu ne sortiras pas. Tu veux que je te traite, comme une chienne. Je vais te montrer comment je les traite les chiennes. »
Quand il la poussa son premier réflexe fut de se protéger le visage de peur qu'il ne la frappe.
« J'te demande pardon. », supplia-t-elle effectivement. Les menaces du jeune homme n'était pas tombées dans l'oreille d'un sourd et elle l'imaginait même capable du pire puis que lui même laissait entendre qu'il n'y aurait pas d'issue heureuse pour elle. Il allait donc la tuer en prolongeant un maximum ses souffrances à moins que peut-être elle ne se plie. A moins qu'elle se montre docile. « Tu ne serais certainement pas la première fille que je fais pleurer. Oh non. Tu sais ce que je fais aux filles de ton genre ? »
Elle se releva d'un bond cherchant à le fuir mais la porte se ferma d'un grand coup sec devant son nez. Elle n'avait bien sûr pas de baguette qui aurait pu lui permettre d'ouvrir et de s'échapper alors elle vit volte-face, touchante dans cette expression de peur panique qui se peignait sur son visage. De la vraie peur. Rationnelle pourtant. D'ailleurs le voir sortir sa baguette ne faisait rien pour l'apaiser. Elle avait peur, réellement peur de ce qu'il pourrait lui faire aussi.
« Je sens que ce soir... je vais m'amuser » « Je...je ferais ce que tu voudras... ne me fais pas de mal! »
C'était plus un cri de détresse qu'autre chose mais ça avait le mérite d'être sincère. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Ven 19 Nov - 19:49 |
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| La colère d’Adonis pouvait être si grande et si violente que Maëlys devait se méfier totalement de lui et de ses gestes. Il ne se contrôlait plus lorsqu’il pétait un câble, comme à présent. On pouvait comparer la colère des dieux à celle du beau Adonis qui ne cherchait que le trouble pour finir aussi en pétard que maintenant. Maëlys s’était défendu bien sur en lui disant de le lâcher, mais il ne voyait que dans cette phrase que du Avril. Elle se disait différente et avait vu la différence, mais maintenant. Il ne voyait Maëlys et Avril comme une seule personne. Il voulait se venger de son frère, il voulait faire mal à Avril qui se trouvait être Maëlys. Il en était amoureux, mais il se sentait ridicule d’être amoureux de cette Avril et de l’autre Avril d’ailleurs. Ô combien il voudrait la voir pleurer et la supplier. Ses pensées le faisaient frissonner de plaisir. C’était presque jouissif pour lui. Il voulait se venger de ce qu’elle venait de lui dire. Elle ne méritait rien du tout venant de lui sauf des coups et peut-être des souffrances psychologiques. Il en avait rien à foutre qu’il lui brise ou non le cœur. Elle venait de le faire, mais il ne réagissait pas de façon normale, lorsqu’on se faisait briser le cœur. C’était un Dashwood. On pouvait peut-être mettre la faute sur ses gènes ultra étrange. Peu importait vraiment. Le fait qu’est que Maëlys allait passer un sale quart d’heure en compagnie d’un fou qui ne cherchait qu’à lui faire du mal plus qu’elle ne pouvait le croire. Il était fou de rage. Il était fou d’elle et Avril, mais il préférait lui faire du mal à présent puisqu’elle ne méritait que cela. Elle avait dit ce qu’elle ne devait pas dire. Malheureusement pour elle, elle devait subir une chose qu’elle ne savait pas. Cette phrase qu’on ne devait jamais lui dire lorsqu’on tombait dans l’œil du cher serdaigle. C’était alors qu’il l’avait poussé en bas du lit où il l’avait pris, il y a quelques minutes dans ses bras. Il avait fermé la porte avec l’aide de sa baguette magique. Elle était prise dans cette chambre avec Adonis. Elle le suppliait, mais pour lui ce n’était que plus jouissif. Ne se rendait-elle pas compte ? C’était le but de la manœuvre. Tant mieux, se disait-il, elle comprend enfin qui qui est le maître de ses lieux. Il lui avait déjà dit qu’il n’était pas un garçon très gentil. Elle pouvait le voir de ses yeux. Il était le même petit connard de Poudlard qui avait semé la merde un peu partout après son passage. Il avait pointé sa baguette sur la jeune femme. Elle était prise au piège. Il ne savait pas trop ce qu’il pouvait bien lui faire ayant bien trop d’idée pour la torture physique et mentale. Peut-être pouvait-il la forcer à coucher avec elle ? Peut-être pouvait-il la faire un peu valser dans la chambre ? Cela allait certainement mal finir. «Je...je ferais ce que tu voudras... ne me fais pas de mal! » Il eut un petit rire qui n’annonçait rien. «tout ce que j’ai envie de te faire te fera du mal… » il s’approcha d’elle. «Déshabille-toi ! » Il ne déconnait vraiment pas. Enfonçant sa baguette dans les côtes de Maëlys pour lui faire comprendre qu’il décidait ce qu’elle ferait. « Vaut mieux s’amuser… avant que tu perdes ce si jolie visage. » Il la poussa dans le lit, il attendait qu’elle se déshabille. « Dépêches-toi ! Je n’ai pas que ça à faire... d’attendre après toi. » Il était extrêmement impatient, mais il avait une petite idée derrière la tête. Elle savait certainement ce qui se préparait pour elle… la pauvre. | |
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Avril L. AdlerETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.
► MESSAGES : 298 Mer 15 Déc - 10:39 |
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| On disait toujours que face à un fou, il ne fallait surtout pas cesser de parler mais Maëlys avait largement épuisé la méthode, et en vain. Adonis n'avait rien fait de plus que lui laisser entendre que peut-être, il pourrait penser à lui rendre sa liberté. La vérité, c'était qu'il ne le ferait pas. Que si elle voulait revoir le monde extérieur, il faudrait s'armer de patience et fuir. Mais pour l'heure, sa priorité était de survivre. Survivre un jour, deux de plus. L'instinct ne lui laissait pas le choix. Elle n'avait jamais eu un comportement suicidaire, jamais d'idées vraiment noires que celles que les filles on parfois quand elles se font piquer le garçon qu'elles auraient voulu. Là il n'était même pas question de séduction, ni même d'amour. Juste de sa propre survie. Ce fut sa docilité morbide plus que le désir qui n'y était vraiment pas, qui obtempéra pour elle. Elle se défit de ses vêtements un à un sans jamais lever le regard sur Adonis. Ses beaux yeux, grands yeux bleus auraient pu verser des rivières de larmes, mais elle s'était déjà repliée sur elle même, partiellement. Juste ce qu'il lui fallait pour oublier qu'elle n'avait pas le choix. Elle aurait pu en avoir envie s'il ne l'avait pas menacée, mais c'était trop tard pour ça. Il ne lui restait plus qu'à faire semblant d'en avoir envie, à se faire douce et docile, pour s'éviter le pire. Plus qu'à rayer un mot sur deux de ce qu'il avait dit pour ne pas intégrer les menaces, la violence. Du moins ne garder que le moindre, car honnêtement, il n'y avait pas une once d'amour là dedans. Dévêtue, elle n'avait plus rien d'Avril Adler. Quand la Serdaigle était frêle et plutôt petite, Maëlys avait un corps sculptural, plus généreux. La peau plus dorée peut-être. Là où Avril avait une petite bouche fine aux lèvres scellées de sévérité, Maëlys avait une bouche pulpeuse qui appelait le baiser irrésistiblement même quand son visage était marqué par l'empreinte de la peur. Les cheveux épars sur l'oreiller étaient plus châtains foncés que noirs. A sa manière, elle était plus belle, mais hélas aussi plus mal aimée qu'Avril Adler.
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181 Dim 26 Déc - 18:50 |
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| Il l’avait aimé autant qu’Avril Adler, mais elle avait eu le don de dire de mauvaises choses qui se répercutaient encore dans sa tête. La colère était devenue maître dans l’esprit troublé de notre Serdaigle. Maëlys avait été à la hauteur jusqu’à ce jour, mais tout c’était envolé en une seule parole. Elle avait brisé les chances de la laisser partir. Elle avait brisé tout l’amour qu’il portait pour elle. Il voulait lui faire mal. L’humilier aussi de le faire sentir ridicule. Était-ce normal qu’il change aussi rapidement ? Non. Il avait certainement un problème dans sa tête, mais il vivait des déceptions chaque jour de sa vie. Croyez-moi en ce moment il était loin de se lamenter sur son sort. Il voulait plutôt faire payer au monde entier d’être un mal-aimée et un incompris. Maëlys se foutait sûrement de ce qu’il avait bien pu ressentir pendant près de trois semaines, même plus qui sait. Il l’avait aimé, comme un fou, parce qu’il avait vu Avril dans la jeune femme. Pourtant, il avait aussi vu les différences qu’il avait aimées sur le coup. Maintenant, il la haïssait. Elle le dégoutait plus qu’elle ne pouvait le penser. Il n’avait qu’envie de la salir, lui faire mal, la détruire et la faire pleurer. Il voulait qu’elle souffre autant qu’il souffrait pour tout ce qui se passait dans sa misérable vie de fugitif non-recherché. Il faisait le mort, parce qu’il manquait de courage d’affronter les membres de sa famille, mais aussi les gens qui aimaient Avril plus que tout. Des proches qui voulaient protéger la pauvre Serdaigle. Avril était loin de faire pitié. Croyez-moi, elle était assez grande et forte pour se défendre. Elle avait un sale caractère, Adonis le savait. Il n’était pas con. Il ne lui avait jamais fait la vie facile. Pourtant, Maëlys était mal-aimée en ce moment. Autant qu’Adonis l’était dans la prestigieuse école. Comme je l’ai dit plutôt, il avait aimé Maëlys autant qu’il avait pu aimer, qu’il aimait toujours, Avril. Elle avait fait une grave erreur. Elle subissait la colère du beau Serdaigle. Il ne pouvait plus rester calme. Il avait eu d’énorme problème. Il devait évacuer. Elle était la seule ici à être le « pushing-bag ». Elle était prise au piège avec un Adonis fou. Il lui avait ordonné de se déshabiller. Il ne lui laissait aucun choix. Il la regardait se déshabiller. Il vint se coucher sur le lit à ses côtés. Il la regardait passant un doigt sur le corps de Maëlys. Il se dégoutait en même temps. Il n’y avait pas que cette femme qui pouvait le penser. Il voulait que lui faire du mal, mais Adonis n’était pas un violeur. Il ne l’avait jamais été. Bon d’accord, il avait fait boire des gens, mais ceux-ci avaient fini par craquer, même s’ils n’avaient pas toute leur tête. On s’en foutait d’ailleurs. Il se dévêtit à son tour. Il n’y avait rien de beau. Maëlys faisait la planche tandis que lui se rinçait l’œil sur le corps de cette dernière. Il n’y avait aucun amour. Il l’embrassa dans le coup, mais après quelques secondes se tanna. Il n’était pas un violeur. Il n’en avait pas envie. Pas avec elle. Elle l’avait dégouté. Il ne pouvait pas lui faire cela, même s’il la haïssait. Pourtant, il devait lui faire peur. Il devait lui montrer qui était le maître. Il touchait à son corps caressant, même s’il n’y avait peut-être que lui qui s’amusait. Rien ne se produisait. Il n’en avait pas envie. Rare qu’un Dashwood n’ait pas au bout de l’acte… il était dégouté et il pensait à Avril. Boire serait las meilleure des choses. Ce n’était pas nécessairement elle, mais il n’allait pas bien. Elle lui avait fait rappeler des choses dont il avait essayé d’oublier. Adonis la regarda un instant cessant de la caresser. Il fit non de la tête, comme s’il se rendait compte de quelques choses. Il dit : « Tu n’en vaux même pas la peine. » Il soupira. Adonis se leva et prit son boxer. « vraiment, tu n’en vaux pas la peine. Tu me dégoutes ! » dit-il, comme s’il avait à faire à une prostituée. Il s’habilla. Vraiment, il devait se calmer. Il devait absolument changer ses plans. Il devait fuir une autre fois. Peut-être passé la nuit ailleurs. Pas ici. Partir pour revenir demain ayant des idées en tête pour lui faire du mal, mais pas de cette façon. Autrement. Adonis réfléchissait en s’étant assis sur le sofa. | |
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