Directorat: Les Patriarches de Vienne au nombre de 13. Ils sont représentés par le Grand Patriarche, lui-même nommé par cooptation pour une durée de 10 ans. L’actuel représentant des Patriarches de Vienne est Karl N. Ustaz, élu en 2009.
Localisation: Autriche, Vienne. Sous l’Église des Augustins.
Devise: Sic Itur Ad Astra (C’est ainsi que l’on s’élève vers les étoiles)
Division: Par année essentiellement, pour les six premières années d’étude. Pour les quatre restantes, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé.

Le Collège des Magiciens de Vienne se trouve sous l’Église des Augustins qui fut fondée par la famille impériale d’Autriche, les Habsbourgs, en 1327. Le Collège en lui-même fut fondé quelques années plus tard par l’élite de l’aristocratie sorcière d’Autriche. Les fondateurs avaient choisi l’Eglise des Augustins comme pied de nez à "ces impérialistes moldus". L’entrée principale du Collège se trouve à l’intérieur de l’Église, chaque sorcier touchant du bout des doigts l’eau du bénitier de droite se trouvera aspirer quelques mètres sous terre. Le Collège est entièrement sous-terrain et s’étend sur des kilomètres de galeries et esplanades. La Bibliothèque est réputée pour contenir le plus grand nombre d’ouvrages relatifs à la magie jamais réunis dans un seul endroit. Tout est richement décoré et mis en œuvre pour que l’on puisse y vivre en autarcie totale et dans le plus grand confort.

La scolarité au Collège des Magiciens de Vienne s’effectue en 10 ans. Les élèves en fin d’étude ont généralement 22 ans. L’entrée s’effectue après entretien devant le Conseil des Patriarches au grand complet. L’aspirant élève fait face au groupe de Professeurs, ces derniers lui posant des questions, mettant à l’épreuve ses capacités, se renseignant sur ses intérêts et a fortiori sa personnalité. Il est indéniable que, le Collège étant une institution élitiste au possible, le milieu social de l’élève est minutieusement inspecté. Pas tant un niveau du sang de sa famille, mais plutôt sur le plan de sa fortune et de son positionnement sur l’échelle sociale. Les élèves acceptés ont tous une faculté spéciale, qu'elle soit magique, artistique, sportive, intellectuelle ou physique.

Les six premières années sont généralistes et constituées d’un tronc commun à tous les élèves. Il n’y a pas de matière optionnelle, tout y est obligatoire. Le Collège est réputé pour ses semaines lourdes en heures de cours : du lundi au samedi, de 8H à 20H sans interruption ou presque. Les quatre années restantes permettent aux étudiants de se spécialiser en réduisant petit à petit leur champ d’étude. Si lors du premier cycle les élèves sont quasiment assurés de passer en année supérieure, le passage lors de ces quatre dernières années est sujet à des examens d’une difficulté draconienne. Les élèves mettent en moyenne six ans pour effectuer ces quatre années d’enseignement avec succès. La scolarité est finalement sanctionnée par une thèse qui, si elle est bien menée, s’avère être un véritable passe-droit pour la future carrière de l’élève.

Programme Indigentis : Depuis quelques années, les Patriarches semblent essayer d’aller dénicher des apprenti-sorciers dans les milieux sociaux défavorisés. Sans doute pour pallier l’incapacité intellectuelle de certains élèves issus de bonne famille qui pourrait porter atteinte à l’image et au prestige du Collège. Néanmoins ces élèves issus de la discrimination positive sont peu nombreux, la sélection étant très pointue ; en revanche ils s’avèrent généralement très talentueux. En outre ils sont souvent dénigrés, calomniés et violentés par les élèves issus de bonne famille. Afin de les fondre dans la masse, le Collège les prend totalement en charge sur le plan financier.

Programme Filia : Le rapport fille/garçon étant de une pour trois, les Patriarches ont lancé le programme Filia en 2004 afin d’augmenter la proportion d’élèves de sexe féminin. Ils ne l’ont pas fait pour des raisons de parité mais parce qu’ils s’étaient rendu compte que le peu de jeunes filles présentes au Collège était régulièrement la cible des pulsions pubères des élèves du sexe opposé. Elles étaient devenues des trophées de chasse extrêmement convoités. Après un vote très serré, les Patriarches ont mis en vigueur le programme Filia au détriment de l’autre solution qui avait été envisagée : le renvoi des élèves de sexe féminin du Collège.

Les Patriarches : Les Patriarches, au nombre de treize, sont tout d’abord les éminences des grandes familles aristocratiques d’Autriche. Ils ont un rôle social et politique qui, conjointement à leur statut de Professeur de Magie au Collège des Magiciens de Vienne, leur donne à la fois les clefs du pouvoir et du savoir. Cela en fait des sorciers puissants et respectés. Le Patriarcat est héréditaire de père en fils, ce qui fait de cette société, une organisation ouvertement machiste. Les Patriarches ont tous étudié au Collège, puis sont devenus Liseurs jusqu’à ce que leur père soit décédé ou n'ait abdiqué de son poste, le cas échéant ils devinrent à leur tour Patriarche. Ils sont généralement capables d’enseigner toute sorte de magie, mais ont néanmoins des spécialités. En cas d’absence de descendance chez un Patriarche, une nouvelle lignée est élue par les douze autres à travers le choix d’une nouvelle famille patriarcale.

Les Liseurs : Les Liseurs sont des sorciers ayant achevé leur thèse au Collège en dix ans maximum (sans redoublement donc), laquelle a été sanctionnée par les félicitations de chaque Patriarche sans exception et publiée sur ordre du Grand Patriarche. Dans ces très rares cas, l’élève en question est accepté en tant que Liseur au sein du Collège des Magiciens. Il endosse la toge noire et partage son temps entre recherche et enseignement. Il assiste les Professeurs, encadre des élèves et continue d’élargir son savoir dans sa spécialité. Les Liseurs résidents n’ont jamais dépassé le nombre de vingt-neuf au total. On dit des Liseurs qu’ils sont en Lecture durant cette période. Cette formation est apparentée à un cursus universitaire bien qu’elle puisse s’étendre sur des dizaines d’années ; en pratique la Lecture prend fin lorsque le Liseur change de profession. On conserve néanmoins le titre de Liseur du Collège des Magiciens de Vienne à vie, ce qui implique également la conservation d’une loge au sein de l’école ad vitam æternam.

- les filières : Toutes les filières y sont enseignées.
- nombres d'élèves : Entre 300 et 400.
- uniformes : Toge blanche pour les élèves. Toge noire pour les Liseurs. Toge rouge pour les Patriarches.

ECOLE DÃ

Directorat: cette école si particulière n'a pas de chef connu, ceux qui enseignent se considèrent en égaux qu'ils soient rivaux ou non. Chacun se retrouve une fois l'an sous le grand arbre des palabres.
Localisation: le Royaume de Dahomey au coeur du pays Dogon.
Devise: /
Division: pas de division. Chaque maître a au plus deux disciples.

Les sorciers qui détiennent la magie de Dã, vont et viennent à travers l'Empire Mandingue ( royaume magique situé en Afrique de l'Ouest). On dit qu'ils ne survivent à la rigueur du pays que par leur magie et par la générosité des gens.
C'est au cours de ces pérégrinations que les maîtres choisissent leur disciple et non le contraire. Nombreux sont ceux qui rêveraient d'être choisis mais cela reste l'exception, la plupart des sorciers apprendront tout simplement de leurs parents et de leurs anciens.

On ne reconnait pas toujours les maîtres dã mais ils peuvent être confondus car chacun porte le crâne d'un Empereur Mandingue tracé d'un étrange blason et du serpent qui symbolise la puissance magique et le savoir de Dahomey. Quand un maître meure son disciple le plus instruit l'enterre avec son crâne dã. Il héritera de son propre crâne dès lors qu'il aura pu rendre l'Empereur ou un membre de sa famille redevable, ce qui ne tardera pas à arriver.

- les filières:
- nombres d'élèves: impossible à dire précisément mais sans doute pas plus d'une vingtaine.

Directorat: Salamandzar Midnight et Padma Jaswinder Midnight.
Localisation: l'archipel des Lakshadweep.
Devise: uc.
Division: par niveau de compétence.

l'école des Dhaarmika est, dit-on, protégée par les plus fabuleux enchantements. Elle se trouverait peut-être sur l'une des cent mille îles désertes de l'archipel des Lakshadweep. C'est là que sont scolarisées bon nombre de jeunes sorciers issus des provinces indiennes mais aussi thaïlandais, laosiennes, birmanes, népalaises, ect... On y entre entre 6 et 7 ans généralement pour se retrouver plus tard face à des examens réputés très difficiles, malgré qu'à Dhaarmika, les cours s'arrêtent à 13h30. On se lève pour commencer à 7h. Ce sont plus de 4000 langues différentes que vous pouvez entendre dans les couloirs dit-on mais en cours, seul l'anglais. On propose beaucoup de matière, d'abord les Ecritures (car beaucoup d'élèves ne sont pas ou pas assez lettrés en arrivant et de plus les textes anciens auraient d'étranges pouvoir dit-on, notamment ceux que l'on appelle les Samhitâ et les Brâhmana ); ensuite il y a ce qu'on appelle couramment Smriti , cela s'apparente à l'histoire de la Magie. Au début se sont les deux matières privilégiées de l'enseignement des jeunes sorciers. Il y a ensuite le Yoga (qui vaudrait si l'on veut le Quidditch et les cours de vol, sauf que ce cours se corse de plus en plus au fil des années), on y étudie aussi le Culte des Danes (en simplifiant on rapprocherait cette matière de la divination voir de la nécromancie mais il s'agit plus d'un devoir de mémoire et de respect envers les morts et d'apprendre à regarder au travers du voile entre la vie et la mort avec respect et sans rien perturber). L'astronomie, et les Sortilèges (Khatvanga) sont des matières que l'on retrouve bien évidemment mais en revanche, pas de cours de DCFM. Pustaka enfin est le cours qui se rapproche le plus de la botanique et des potions.
Et aucun de ces enseignements n'est optionnels car chacun est le nécessaire d'un tout harmonieux.

On dit que Dhaarmika est un immense lotus entouré de sept lac sacré, habités par les Dieux eux même sous la forme de sirènes et autres créatures magiques merveilleuses et qu'il serait gardé par mille soldats de sable.

On dit que certaines personnes étudient aux Dhaarmika toute leur vie. En moyenne on en sort entre 22 et 26 ans.

- les filières
- nombres d'élèves: environs 5000.

Localisation: France.
Directorat: Clarence de Bellecour.
Division: école mixte.
Dans les livres: «Durant le banquet célébrant l'arrivée des délégations pour le Tournoi des Trois Sorciers, JK Rowling choisi de servir de la bouillabaisse. Comme certains le savent, c'est un plat typique du sud-est de la France mais qui n'est pas un plat très commun ailleurs. On pourrait alors supposer que Beauxbâtons se situe sur la côte méditerranéenne, ce qui expliquerait pourquoi les élèves de Beaubâtons ont si froid à Poudlard et portent des robes aussi légères. »
Devise : Excellence, Elégance, Grâce.