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 « One day, your father told me » (ec)

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PROFIL & INFORMATIONS









Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Jeu 29 Oct - 9:55




OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.


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    NOM : Fergesson, un nom typiquement anglais qui lui vient en ligne direct de son père, lui-même Anglais pur-souche. Remarquez, cela aurait été à peu près la même chose de la part de sa mère vu que celle-ci est elle aussi une anglaise.

    PRENOM(S) : Chez la jeune femme, plus on a de noms, mieux c’est. Qui plus est lorsque chacun à une connotation bien particulière et une signification propre à la famille Fergesson. Ainsi, son premier nom, est Ethel. Qui est présentement le prénom de l’arrière arrière grand-mère de la jeune femme. Puis en second vient Jacob, un nom certes masculin mais qui dénote par son originalité et que par conséquent, la jeune femme porte fièrement. Accessoirement, ce nom est celui d’un de ses aïeul. Et pour finir, Vesper qui lui n’a d’autre signification que d’être le prénom d’une ancienne femme de politique très puissante et avide. Au final, vous avez donc ; Fergesson, Ethel Jacob Vesper.

    AGE : A l’aube de l’année 2009, Ethel entre dans sa 24ème année. Née le 23 juin 1985, à très exactement 00 heures 01, elle porte pour l’instant haut et fier ses 23 ans et demi.

    ORIGINE(S) : Avec un nom tel que Fergesson du côté de son père et Carter du côté de sa mère, il est clair que la jeune femme est un minimum Anglaise. Pour être plus précise, il faut dire que la demoiselle est une Anglaise pure souche, sortant d’une famille 100% certifiée et ce, depuis des siècles.

    PROFESSION : Secrétaire du Ministre de la Magie ( plus grâce aux pots-de-vin de ses parents qu'à ses réelles capacités qui sont pourtant élevées mais qui n'ont pas eu la chance de pouvoir s'exprimer, voilà pourquoi la jeune femme travaille d'arrache-pied )

    ETAT CIVIL : Anciennement fiancée, la jeune femme a promis que l'on ne l'y reprendrais plus. Un peu désabusé sur l'amour, c'est juste bon à pistonner une carrière au yeux d'Ethel.










Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Jeu 29 Oct - 9:55


OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.


    Quelle forme prend votre Épouvantard ? Comme beaucoup d’autre élève de Poudlard, la jeune femme est elle aussi passé par l’épreuve de l’Épouvantard. Et sans vraiment savoir pourquoi c’est une simple feuille blanche qui volette devant elle, accompagnée d’un cliquetis de chaîne de prisonnier. La jeune femme n’a jamais vraiment su pourquoi et ne chercher pas plus que cela à le savoir. A ses yeux et sur ce sujet, moins elle en sait, mieux elle se porte.
    Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Juste elle sur le seuil d’une porte, entouré d’un mari et d’enfants jouant dans le jardin. Mais la chose la plus flagrante, c’est la douce lueur qu’il y a dans ses yeux. Elle est entièrement satisfaite de sa condition. Heureusement qu’elle n’a jamais mit le nez devant le miroir de Risèd sinon Ethel lâcherait certainement sa carrière pour se mettre en quête d’un petit cottage où prendre sa retraite avant l’heure …
    Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Certainement dans la maison de son enfance, dans la profonde Angleterre où elle a grandi et où elle a vécut ses années les plus heureuses. Et si c’était possible, Ethel ferrait certainement en bond en arrière pour redevenir une enfant insouciante et pleine de vie.
    Quelle forme prend votre Patronus ? Le Patronus de la jeune femme est une Pie-grièche écorcheuse. Petit oiseau très vif et alerte, elle volette à droite et à gauche d’Ethel lorsque celle-ci fait appel à celle-ci.
    Quel est votre sortilège favori ? Tous ceux de soin globalement.
    Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Le sortilège de l’Impérium comme beaucoup de monde. Mais de part son poste au Ministère et de part les dossiers qui lui passe parfois entre les mains, la jeune femme sait pertinemment bien que tous les sortilèges peuvent être dangereux, si on les utilise avec de mauvaises intentions.
    Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Elle était si petite. A peine la dizaine passé et lorsqu’Ethel a franchit le seuil de Poudlard, c’est juste une immense fierté et une immense joie qu’elle a ressentie. Mais plus encore, c’est un drôle de sentiment de liberté, le sentiment de pouvoir choisir pour elle et de ne plus laisser les autres décider à sa place ( notamment ses parents ).
    Quelle forme de magie vous attire le plus ? La blanche, la pure. Celle qui soigne les maux et guérie les esprits. Voilà pourquoi la jeune femme fréquente quelques cours du soir après son travail de secrétaire pour tenter d’en apprendre un maximum sur ces sortilèges. Autrement, les sorts de rangement. C’est certes un peu prosaïque mais très efficace pour ranger les montagnes de dossiers qui traînent parfois sur son bureau.
    Appréciez-vous la discipline ? Tout dépend du contexte mais globalement, elle est utile. Surtout celle que l’on s’inflige à soi-même. Car il faut savoir être droit et savoir tenir une ligne de conduite coûte que coûte et qu’importe ce qui peut advenir.
    Quelle est la pureté de votre sang ? Descendant d’une famille pur souche anglaise et pour le moins riche et aisée, Ethel ne fut vraiment pas surprise d’apprendre qu’elle était de sang pur. Car après tout, avec le soucis d’apparence de ses parents, comment aurait il put en être autrement ?


OO4. Vous ! Oui, vous !


    PSEUDONYME, PRENOM : Alix
    AGE : 16 ans
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? De par ma soeur
    LE MOT DE LA FIN ? ♪♫











Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Jeu 29 Oct - 9:56


OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.






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    Your Father is your God, You obey Him in all circumstances, And disobedience will be punished. It is one you will follow all your life, He is the one that you dictate your life, and He is the one who sublimate it. You swear to obey Him, and want His happiness. You shoed his pride. You defend its case and you should embrace what it costs you. Until your last breath, you follow his teachings. Such is the law of Fergesson.

    Fergesson, Clark Emey Dicton
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    Your mother is sweetness incarnate, Your confidant in all circumstances, Take care not to disappoint her. Let it be so proud of you, darling it all occasions and fills it from all possible gifts. But remember who is the head, do not forget that despite all the love that you wear your mother, the chef here is your father. Whether it remains etched in your memory. Such is the law of Fergesson.


    Carter, Margret Amante Edith


ENFANCE & DEBOIRE


« How much deception can you take ?
How many lies will you create ?
How much longer until you break ?
You mind’s about to fall. »


    23 juin, 1985, 00 heures 03 précise


      Dr Herunth – « Félicitation, c’est une fille ! »


    Point d’exclamation de bonheur dans le Clan Fergesson rassemblé en masse devant la porte de la salle de travail de la maternité de l’Hôpital de Gray Home. Non, seuls quelques petits regards désappointés et déçus, un soupir de ça et là puis une haute silhouette sombre s’approche du Docteur et tends les bras. Celui-ci, étonné par le manque de réaction de la famille hésite. Mais un seul regard de l’homme suffit à le décider. Il dépose donc un petit paquet dans les bras de l’homme brun. Celui-ci fronce les sourcils devant la figure angélique et féminine au possible de sa fille. Lui qui attendait un garçon, le voilà bien déçu. Mais il fera avec. Déjà, le regard qu’il pose sur sa fille est calculateur et il échafaude nombre plans qui amènera sa descendance ( le voilà qui répugne à dire sa fille ), sur la plus haute marche de l’échelle sociale. Que le monde sorcier entier sache que le nom Fergesson mérite le respect. Un peu mégalomane ? Certainement. Mais c’est alors le cas depuis si longtemps que plus personne n’y fait attention et que peu à peu, toute sa famille s’est ralliée à ses rêves de gloire. Famille de mégalomane prétentieux mais pourtant doué et talentueux. On ne peut pas tout avoir. Et la réussite a sa partie de folie. Pour l’instant, le père ferma un instant les yeux, inspira à fond avant de se retourner et de présenter sa fille aux autres membres de sa famille. Il n’eut pas une pensée pour sa femme, pas pour l’instant. Elle n’avait pas été capable de lui donner un fils, elle méritait donc bien une punition. Et Clark savait bien que l’ignorance était la pire des punitions pour Margret. Et il était bien décidé a jouer sur cela. Mais pour l’instant, la bienséance voulait qu’il se préoccupe de sa fille. Ce qu’il fit rapidement. Il choisit avec soin les gens a qui il présentait la petite chose qui était sa descendance. Un avenir se prépare dès la naissance. Ainsi, il oublié malencontreusement de présenter la petite fille au vieil oncle fou pourtant débordant de tendresse. Out aussi le lointain cousin médecin fauché et sans le sous qui continue cependant à soigner les pauvres. Idem pour le couple de grand oncle et grande tante qui n’aspirent car voir un petit bout-de-chou courir dans le jardin immense et vide de leur propriété. Mais bonjour bonjour à la cousine glaciale mais riche, bonjour bonjour à la grand-mère politicienne et tout aussi riche, bonjour bonjour au beau-frère siégeant au Mangenmagot. La vie de la petite fille qui ouvrait à peine les yeux semblait déjà toute tracée. Mais est-ce réellement le cas ? Les froides et cupides lois de son père allaient-elles arriver à éteindre la petite flamme qui brillait déjà dans ses yeux de nouveau-né ?


    04 Septembre , 1990, 19 heures 05 précises


    Comme tous les jours, la lourde porte en bois sombre de l’immense demeure des Fergesson s’ouvre lentement sans que personne ne l’ait actionné. Et comme chaque jour à 19 heures 05 précises, Sieur Fergesson père entre dans l’obscur manoir. Ses pas résonnent dans l’immense hall, brisant le silence, tandis qu’il se dirige vers le grand escalier principal pour monter à l’étage et rejoindre son bureau d’où il ne sortira pas avant 20 heures précises. Mais pour une fois, son rituel quasiment monacal est brisé par une première série de pas, discret mais très rapide, poursuivie par d’autre pas, sec, caractéristique de chaussures à talon et plus ample. S’arrêtant, Fergesson Père tourna la tête vers un couloir d’où provenait le bruit et d’où une petite silhouette humaine jaillie brusquement avant d’obliquer vers lui. Cette petite silhouette, c’est sa fille. Sieur Fergesson retint à grand peine un soupire puis attendit patiemment de savoir ce qui se passait, fronçant les sourcils et posant un regard mauvais et interrogateur sur Fergesson Mère qui venait de jaillir à la suite de l’enfant. Mais bien avant qu’elle ne puisse rattraper sa fille, celle-ci c’était jetée dans les jambes de son père et gazouillait de sa jolie voix avant de lâcher des mots en vrac tant elle était contente. Le froncement de sourcil de son père la fit revenir à l’ordre et, levant la tête vers celle de son paternel, elle débita à une vitesse pour le moins rapide.

      Ethel – « C’était trop bien la classe Papa ! Je me suis fait des amies et Ida est dans ma classe ! Et puis tu sais … »
      Clark – « J’ai du travail Ethel, tu en parleras à table ou raconte donc cela à ta mère, je n’ais pas le temps. »
      Ethel – « Mais papa … »


    Nouveau froncement de sourcil, la petite fille acquiesce et recule, relâchant sa faible étreint et libérant les jambes de son père qui s’engouffre dans l’escalier après un dernier regard noir à sa mère. La petite fille renifle doucement. Elle sait bien que son papa a du travail, on le lui a déjà dit des centaines de fois mais elle aimerait tant lui raconter cette merveilleuse journée ! Sa mère coupe cependant court aux lamentations de la fillette et l’entraîne vers le salon où elles reprennent les devoirs d’Ethel. Clark Senior quant à lui a du mal à se concentrer. Ida ? Qui diable est cette fillette ? Une fille de négociant, de rigolo, d’amateur, de pouilleux ? Ah non, il n’est pas dit que sa fille traînera dans cette école de quartier bouseux plus longtemps. Attrapant une plume et un parchemin vierge, l’homme brun se met à écrire d’une main ferme et assurée. Son écriture est déliée et sa plume glisse sur le parchemin. Tandis qu’il écrit, Fergesson Senior réfléchit. Il pourrait peut-être organiser une réception avec quelques convives choisis, histoire que sa fille est de meilleures fréquentations.


    24 Décembre, 1995, 20 heures 33 précises


    Un sublime sapin de Noël brillait dans le salon des Fergesson. Et, quelques mètres plus loin, attablés à une immense table en chêne verni, un petit groupe de personne. Siégeant au bout de la table, présidant donc la tablée, Fergesson Senior. A sa droite, sa femme, à sa gauche, l’un de ses invités, un politicien plutôt en vogue ces temps-ci. A la droite de sa femme Margret, leur fille, Ethel. Celle-ci avait plaqué sur ses lèvres un sourire avenant mais on voyait bien dans son regard ( pour peu qu’on prenne la peine de s’y plonger ), que la fillette s’ennuyait. Déjà, elle rêvait de liberté. Elle pensait à toutes ses amies d’avant qui devaient fêter Noël comme tout le monde, en famille, avec de jolis cadeaux, une buche de Noël faîte par la grand-mère et plein de joie et de gaieté partout. Pas comme elle qui passait Noël avec des invités de son père, avec comme cadeaux des cahiers et des tableaux de grands peintres, avec un repas commandé chez le meilleur traiteur de luxe et avec une atmosphère froide et guindée. D’autant plus qu’on lui demandait de sourire à tout le monde et de répondre gentiment. Qui plus est, il fallait qu’elle veille à ce que les enfants des invités, qui avaient à peu près le même âge qu’elle, ne s’ennuient pas. Non vraiment, c’était un mauvais Noël pour la petite fillette de dix ans. Pourtant, alors que le dessert fut servie à 20 heures 33 précises et que la petite fille prétexta une envie pressente pour sortir momentanément de table, la gouvernante du manoir, et certainement sa seule réelle amie au sein de la maison, l’appela discrètement. Alors que la petite fille se glissait silencieusement à ses côtés, Mme Cardish tira de dessous son tablier deux paquets joliment décorés qu’elle lui tendit en chuchotant.

      Mme Cardish – « Le rouge c’est le mien. Le bleu nuit avec les étoiles, c’est celui qu’un lointain Oncle t’envoie. Je le connais bien et il me l’a remit pour que tes parents ne puissent pas l’en empêcher. Aussi, en passant aux toilettes, dépose ses deux paquets sous ton matelas, ta mère n’ira pas voir là-dessous. »


    S’éloignant avec un clin d’œil, la gouvernante disparut dans la cuisine pour remotiver ses troupes de cuisinières. La petite fillette, quant à elle, fila à l’étage pour cacher ses cadeaux et revint le plus qu’elle put dans la salle à manger, le cœur battant la chamade et un véritable sourire sur les lèvres. Même les odieux enfants des invités ne firent retomber sa bonne humeur et après avoir souhaité bonne nuit à tout le monde, elle remonta rapidement dans sa chambre, fit comme de rien en se changeant pour se mettre en pyjama, se brossa les dents comme chaque soirs, se peigna puis fila dans sa chambre. Là, assise sur son lit, elle ouvrit ses deux cadeaux, ne jetant même pas un regard à la montagne de livre d’histoire de la magie et autre qu’elle avait reçu pour Noël et encore moins à ces manuels de maintien dans la bonne société. Non, son regard brilla cependant lorsqu’elle découvrit dans le paquet rouge une fine chaîne en or avec comme pendentif un phénix finement ciselé dans de l’or fin. La passant rapidement et remerciant mentalement Mme Cardish, elle camoufla avec soin sa chaîne dans ses hauts cols. Au moins, ils serviraient une fois à autre chose qu’à lui gratter le cou et à faire de sa vie un enfer. Ethel ouvrit ensuite l’autre paquet, celui du vieil oncle lointain. Elle pensait savoir qui il était. Après tout, elle avait réussit à chaparder quelques vieux albums photos chez sa grand-mère paternel qui pourrissaient là depuis des années. Et elle avait tout de suite aimé le visage buriné mais franc et doux d’un certain Otto Daleau. Et ce, même si quelqu’un ( sa grand-mère très certainement ) avait gribouillé sa photo au stylo rouge. Pour en revenir au cadeau Ethel découvrit en premier un parchemin plié en quatre. Non point un roman mais juste quelques mots tracés rapidement et d’une jolie écriture. « Pour que l’année prochaine, dans le grand château, tu ais une pensée pour ceux qui veille sur toi. » Et, au fond du paquet, un superbe bracelet en or lui aussi mais fait d’une dizaine de maille qui s’entrelacées les unes aux autres. Et, encastré dans ce filet d’or, un sublime rubis. Heureuse au possible, la petite fille camoufla rapidement les paquets cadeaux et s’endormit rapidement, pressant sur son cœur le bracelet et le pendentif.


    02 Septembre, 1996, 8 heures 50 précises


    Malgré l’heure plutôt matinale, le quai est déjà bondé de monde. Partout, la fumée du train rouge emplie l’atmosphère, troublant les silhouette humaines qui s’active dans la grisaille du petit jour. Et l’une de ces silhouettes, plus plutôt petite pour son jeune âge, tenait serré contre elle une petite valise. Un peu perdue aux côtés de sa mère vêtue d’un tailleur strict et sombre, silencieuse, Ethel n’osait pas demander ce qu’elle devait faire. Elle préféra attendre quelques minutes, le temps que son père apparaisse, sortant de la brume avant de s’avancer vers le couple fille et mère. S’arrêtant devant sa fille, il la fixa d’un visage neutre et sans expression. Consultant sa montre une première fois puis l’horloge de la gare, il eut une petite moue de satisfaction. Parfaitement à l’heure. Abaissant la tête pour fixer sa fille, sans un mot ni un regard pour sa femme, il s’adressa à la petite fillette âgée de onze ans.

      Clark – « 8 heures 50 précises. Le train va partir dans dix minutes. Donne-moi ta valise, je la laisserais à un portier. Tu as bien la cage de ton chat ? Oui, elle est bien là. Parfait, parfait. N’oublie pas Ethel, tu es invitée dans le compartiment de Priam Fistcher. Sois bien élevée et fait toi des amis. Et travaille bien surtout, tu joue ton avenir. »


    Pourquoi diable lui rappeler cela ? Pourquoi diable prévoir à l’avance l’avenir d’une petite fille, pourquoi diable Senior Clark Fergesson veut il l’excellence pour sa fille ? Certainement pas dans un souci d’amour paternel. Ah ça non, c’est plutôt un souci de reconnaissance. C’est plutôt car ce père voudrait tellement qu’elle soit célèbre et que cette célébrité rejaillisse sur lui ( et accessoirement sur sa famille ). Lubie de mégalomane. Cours petite fillette, tu t’engouffre dans le train et tu semble perdue. Puis une petite fille de ton âge accourt vers toi. Ida ! Ethel resta immobile, comme soudainement pétrifiée. Ida ?! Puis le visage de la petite fillette s’éclaira d’un large sourire ; ne venait elle pas après tout de retomber sur sa meilleur amie d’enfance. Celle avec qui elle partageait tout, d’abord officiellement puis officieusement quand son père l’avait changé d’école ? Et puis, les années passant, elles s’étaient perdues de vue. Mais maintenant, alors qu’elles partaient toutes les deux vers Poudlard, plus rien ne les empêchait d’être à nouveau meilleures amies. Tout, sauf une autre fillette, blonde comme les blés et ressemblant à un mannequin, apparut derrière Ida, la moue dédaigneuse et possessive. Ethel s’arrêta et préféra laisser Ida s’approcher jusqu’à elle, voulant mettre le plus de distance entre elle et cette fille qu’elle détestait déjà. Cela dit, oublié le compartiment de machin Fistcher, Ida était là. Ida elle, semblait n’avoir rien remarqué ; elle tomba dans les bras de son ancienne meilleure amie et lui fit la bise comme si elles ne s’étaient jamais quittées. Alors qu’Ethel commençait à se détendre, l’autre fillette passa sa tête par-dessus l’épaule d’Ida pour fixer méchamment Ethel. Ida, toujours in-soupçonneuse de ce qui se passait, recula et se mit à parler à Ethel.

      Ida – « Ethel ! C’est génial de te revoir ! Tu va à Poudlard toi aussi c’est ça hein ? C’est super. Au fait, voilà Violette. Elle est Française et c’est ma correspondante. Ces parents ont des problèmes donc elle est venue s’installer chez moi. Je suis sûr qu’on va super bien s’entendre toutes les trois ! »


    Pauvre petite Ida … Si tu savais à quel point ces quelques mots allaient créer la polémique. Si tu savais comme tu allais t’éloigner de ses deux filles car tu sais déjà que tu ne pourras pas choisir l’une d’entre elle au détriment de l’autre. Pauvre, pauvre Ida.


    15 Septembre, 1996, 10 heures 27 précises


      Violette – « Madame ! Ethel triche, elle a utilisé de l’extrait de Poussicote pour accélérer sa potion alors qu’on n’en avait pas le droit ! »


    Gros stupeur dans la classe lorsque le cri perçant de Violette avait retenti. Tout le monde s’était retourné vers l’accusé pour fixer la petite fille d’un regard à la fois mauvais mais surtout très curieux. Seule une personne était gênée et avait détourné le regard ; Ida. Qui, préparant sa potion à côté d’Ethel, avait bien vu qu’elle n’y avait pas mit d’extrait de Poussicote. Mais elle n’osait rien dire de peur de contrarier Violette qui était très susceptible. Elle avait peur que celle-ci ne veuille plus être son amie si elle démentait ses propos. Et Ethel ? Ida la savait particulièrement gentille, et elle pensait que la petite fille comprendrait. A vrai dire, la petite fille brune se contenta de relever la tête, de fusiller la Française du regard, maudissant le sourire triomphant qu’elle avait affiché sur ses lèvres. Quant à la professeur et à l’éventuelle sanction, elle ne fut pas longue à venir. Une heure de colle. Aurais-je oublié de préciser que Violette avait su se faire aimer de tous les profs et était devenue la coqueluche de ceux-ci, leur chouchou principal à un point tel, qu’ils disaient pratiquement toujours amen à tout ce que la fillette disait. Avouons qu’elle était pour le moins gentille cette petite Française et que pratiquement tout le monde l’appréciait bien, d’autant plus qu’elle savait jouer de son histoire tragique avec ses parents qui ne s’entendait plus et qui se hurlaient toujours dessus à un point qu’elle avait du fuir en Angleterre. Bien entendu dans ces cas là, lorsqu’elle racontait son histoire, elle oublié de dire que c’était ces mêmes parents qui l’avaient envoyés en Angleterre car elle faisait trop de caprices et que cela alimentait encore plus leur dispute. Mais comme personne ne le savait, elle était apprécié de tous et était gentille avec tous. Sauf avec Ethel. Lorsque Violette avait rencontré Ethel dans le Poudlard Express, elle s’était tout de suite dit qu’elle n’aimerait pas cette fille. Elle pensait qu’Ethel allait lui « voler » Ida qui était sa principale amie et qui disait elle aussi amen à tout ce qu’elle pouvait dire. Bref, une amie parfaite dans le sens qu’elle mettait sans cesse Violette en valeur et qu’elle faisait tout ce que Violette lui disait. Une amie bien pratique que Violette ne voulait pas perdre. Aussi c’était elle mit en tête de pourrir l’existence d’Ethel. En mentant par exemple délibérément à une professeur juste pour avoir le plaisir de voir Ethel se faire punir et de voir Ida qui n’osait rien dire. Ethel pour sa part, bouillait littéralement de rage mais n’en voulait pas à Ida, elle pouvait comprendre que celle-ci ne veuille pas se mêler d’histoire qui finirait de tout manière mal.


    24 Octobre, 1996, 12 heures 12 précises


    La grande Salle. Un petit groupe de jeune fille s’avance doucement vers le petit coin de table qui est le leur. Une fille brune et une autre, rousse, discutaient d’un ton enflammé du dernier match de Quidditch auquel elles avaient assisté. Elles avaient trouvé cela génial et n’attendait plus qu’une chose, y retourner. Entourées de trois autres filles, elles s’assirent sur les bancs, rejoignant une fillette blonde et superbe qui les attendait avec un grand sourire étrange. Devant chaque place, un verre fraîchement servie en jus de citrouille. Tout le monde s’assoit et commence à boire, tout en continuant à parler. La petite fille brune est plus longue, elle finit de décrire une action de son joueur préféré. Et, tout à son récit, elle ne vit pas que la blonde la fixait d’un drôle d’air. Si bien qu’elle but sans se méfier son verre. De suite, son visage devint extrêmement pâle et elle se sentit très mal. Quelques boutons firent leur apparition sur son visage d’ange et elle fut prise de nausées. Ses amies, se tournant vers elles, lui demandèrent ce qui se passait mais Ethel n’en savait pas plus que les autres. A moins que. Plongeant le regard dans son verre, elle vit bien des particules blanches flotter à la surface, non-identifiées. Relevant la tête, elle fixa d’un regard noir Violette qui sourit doucement et discrètement. Bien sûr que c’est elle. Mais si Ethel fait un esclandre, personne ne la croira. Tout le monde aime trop Violette. Ida, qui vient de capter l’échange de regard, a bien comprit le problème mais encore une fois, elle n’osa pas se mêler de l’histoire. Ethel se leva alors et fila vers l’infirmerie sous les rires des Serpentards qu’elle croisa. Pourquoi diable fallait-il qu’elle se soit mise Violette à dos ? Et d’autant plus que celle-ci soit tombée dans la même maison qu’elle, Serdaigle ? Violette n’avait rien de courageux et de noble. Mais elle était douée. Infiniment plus douée qu’Ethel. Mais, allongée dans son lit à l’infirmerie, la petite serra les poings. Elle leur montrerait à tous qu’elle peut être meilleure que Violette. Et surtout, elle rabattrait le caquet de cette pimbêche. Et ce, quitte à suivre les cours de son père en matière de magie, bien qu’elle sache déjà qu’elle n’allait pas aimer cela vu qu’il prenait aussi des fils de ministres et autre.


    22 Décembre, 1996, 20 heures 09 précises


      Ethel – « Père, Mère ? C’est Ethel, je suis rentré de Poudlard pour les vacances, je voudrais … »
      Margret – « Ethel ? Que diable fais-tu là ? Enfin, tu pourras peut-être te rendre utile. »


    La voix qui vient ainsi de couper l’élan de la fillette de onze ans qui vient de pénétrer dans l’antique et sombre manoir n’est autre que celle de sa mère. Sa mère qui était en train de descendre d’un geste nonchalant et passif mais à la fois excessivement fière et noble, le menton haut et la démarche assurée, une main négligemment posée sur la rambarde en fer forgé et poli. Ses talons claquaient contre le marbre des marches et elle posait un regard dédaigneux sur sa fille. Ethel, quant à elle, remarqua bien qu’un contour de l’un des yeux de sa mère était plus sombre que l’autre, chose que son maquillage camouflait à merveille. Folie démagogique et anthropophage. Que diable c’était il passé ici tandis qu’elle était partie quelques mois à Poudlard. Et certes, Ethel n’était pas censée rentrer pour les vacances de Noël mais jamais sa mère ne l’avait accueillie d’une manière aussi froide et coupante. Aussi, lorsque Margret se dirigea d’un pas ferme et rapide vers le salon, Ethel lâcha ses bagages pour la suivre en trombe. Elle arriva dans le salon juste à temps pour voir sa mère se verser un verre de vin blanc. Il n’était pas rare lorsqu’Ethel était encore à la maison que sa mère fasse cela mais à cet instant, la fillette remarqua que quelque chose clochait ; la main de sa mère tremblait. Chose qui n’était jamais arrivé. Alors qu’elle allait s’avancer pour l’aider, une main s’abattu sur son épaule, la clouant sur place tandis que la voix de son père s’élevait.

      Clark – « Ainsi tu es tout de même rentré pour Noël ? »
      Margret – « Ne t’avais-je pas prévenue ? Cette petite sotte n’en fait qu’à sa tête. »
      Clark – « Il suffit Margret, tu n’es pas lucide. Quant à toi Ethel j’ai a te parler. Suis-moi. »


    Bien entendu, la voix ne supportait aucunes contradictions. La petite fille suivit donc son père silencieusement jusqu’à son bureau. En entrant dans celui-ci, elle frissonna, cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas pénétré dans cette pièce … Lorsque son père s’assit toujours en silence derrière la grosse console d’ébène et consulta l’heure, Ethel se tint droite comme un I devant le bureau et suivit discrètement le regard de son père.20 heures 09 précises. Ce qui voulait dire que le repas avait déjà était servi. Tant pis, elle en serait quitte pour un dîner de sauté. Pour l’instant, elle voulait juste savoir ce qui arrivait à cette maisonnée. Son père l’inquiétait ; il avait posé ses mains sur son bureau et avait fermé les yeux, silencieux, il inspirait profondément comme s’il essayait de se calmer. Peu à peu, le silence s’installa jusqu’à ce que son père bouge enfin. Il se redressa, dardant sur Ethel un regard mauvais, souleva son poing pour l’abattre de toutes ses forces sur le bois du bureau qui trembla dans ses fondations. Puis vint la tempête ; Sir Fergesson Senior se mit à hurler après Ethel.

      Clark – « Par la Barbe de Merlin Ethel, que t’es-il passé par la tête ?! Puis-je savoir pourquoi tu n’as pas fait ce que je t’avais dit ? Pourquoi tu n’as pas simplement rejoins le compartiment de Fistcher lorsque tu es partie ? C’était pourtant simple non, tu devais y aller, te faire des amis, préparer ton avenir, avoir des relations. Mais non, tu m’as tellement déçu Ethel, tu es retourné avec cette fille, Ida n’est-ce pas ? Cette petite moins que rien … Ecoute moi bien Ethel, tu ne voudrais pas que je te retire de Poudlard n’est-ce pas ? Alors tu vas me faire le plaisir de laisser tomber cette fille et de ne plus côtoyer que les gens que je te dirais. Et prends garde si tu désobéis, tu connais nos règles et nos lois Ethel Jacob Vesper Fergesson ! Je ne voudrais pas avoir à te les rappeler une deuxième fois. Maintenant va. Dans ta chambre. Demain, tu suivras mes cours. Avec les gens que j’aurais choisis. Je ne te laisserais plus jamais saboter tout ce que j’ai fais pour toi, je ne te laisserais pas tout démolir. Tu deviendras quelqu’un, j’en fais le serment Ethel. Maintenant file. »









Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Jeu 29 Oct - 9:56




    « One day, your father told me » (ec) 4515996b224dbc1ed1ca35bb3d78b0e939e4cc
    For you were my true friend for many years you reconciled me with the blonde, we spent wonderful moments together and until now you always had a place in my heart. I hope this will continue even though our paths are separated because of our desire and our purpose, our work and our future. But small Deborah, every saucy as you are, you will remain a small heart that replaces mine broke.

    Mailler, Déborah Alice
    « One day, your father told me » (ec) 366997496950jamfra3
    I do not know what to think of you, even two years later. You're friends with my worst enemy. And yet you watch rider and considerate. But do not delude mast futile, I will never love you. Both our lives have only nearer approach, I digress already. You have sullied the memory of the man I loved, I could forgive you. You know it and yet you persist. You're doing the same on Orson, you are vile and evil. Recoils off Satan and do not come near me. I do not want to be guilty for having loved a traitor and a monster power. And even if we were engaged one day, it was only a touch.

    Jonhson, Ethan Resistance
    « One day, your father told me » (ec) 119518091102022703539894768587
    You were my guardian. Whoever made sure I walked in the footsteps well that my father had drawn for me. I're disappointed, for sure. But what, you're a nuisance. I hate you and you know it. All is clear between us then why do you pursue? I want to see you die, perish by fire. You made me so hard. You killed the person who should not. I know who you are and what you did. And for that I hate more than anything else. You have made me a woman hard and cold. In cold heart.

    McDowell, Orson Damien
    « One day, your father told me » (ec) 767293cae392b7ab1b271300bd4ef1415c83d9
    My Alexander. He has healed all my wounds, one who understood me and who accompanied me against all odds. We often had to hide, obscure tracks to meet and be together, but these moments are wonderful. You will be forever in my heart. I remember fondly all our moments. I hope one day we reconvened to shake you and me. Until this joru blessed, I must keep moving. But even if I lose, you'll always have your place in my heart.

    Porter, Alexander Eniaque


ADULTE ET CHOIX


«The paranoia is in bloom, the PR,
The transmissions will resume,
They’ll try to push drugs,
Keep us all dumbed down and hope that,
We will never see the truth around. »


    02 Septembre, 2007, 18 heures 45 précise


      Clark – « Je suis heureux de voir que tu t’es enfin rangé à mes souhaits. Tu es une bonne fille. Et quand célèbrera-t-on ton mariage ? »
      Ethel – « Père je … Je ne sais pas encore. Il faut voir avec Ethan, c’est lui qui s’occupe de tout. »


    La porte claqua violement lorsque la jeune femme s’enfuit littéralement du bureau de son père. L’atmosphère était étouffante dans cette pièce et elle voulait prendre l’air. Elle attrapa son manteau, descendit en cavalant les escaliers et accéléra le pas pour s’esquiver avant que son fiancé n’arrive pour voir qui faisait ce raffut. Son fiancé. Elle allait se fiancer. Malheureusement pour elle, Ethan n’était pas l’homme qu’elle aimait. Loin de là. C’était un monstre sanguinaire qui adorait faire souffrir les gens. Mais personne ne le savait, elle était la seule à savoir. Car elle était la seule à l’avoir vu tel qu’il est vraiment. Ces éclairs … Cette façon de tuer ; ville et indigne. Et ce plaisir sur sa face. Ethel réprima un frisson de dégoût et inspira à fond l’air frais du soir. Elle n’aimait pas se rappeler mais il lui fallait se donner du cœur et de la volonté pour pouvoir s’opposer à son père. Après tout, elle ne se marierait jamais avec cet homme, elle le savait. Après tout, n’avait il pas aidé un autre monstre à tuer celui qu’elle aimait.


    Qui aurait cru que sa vie tournerait ainsi au drame ? Depuis qu’elle était revenue chez elle cette année 1996 pour Noël, elle n’avait plus était la même. Elle s’était éloignée de tous les gens qu’elle aimait pour satisfaire les désirs de gloire de son père. Elle était devenue douée et elle était talentueuse certes, mais ses fréquentations laissées à désirer. Certes elle voyait du beau monde, elle était l’ami du fils du Ministre, elle tutoyait la plupart des fils de noble et d’aisé et était rentré sans soucis dans leur petit cercle, sa beauté et son sang pur aidant, mais elle n’était pas heureuse. Néanmoins, elle n’avait rien dit jusqu’à quelques mois. Elle n’avait rien dit lorsque son père lui avait présenté Ethan avec un grand sourire. Elle n’avait rien dit lorsque son père lui avait imposé Orson en tant que tuteur. Non, elle n’avait pas bronché alors que son père prenait le contrôle de sa vie. Et ce, jusqu’à ce qu’elle rencontre Déborah et Alexander dans une soirée à laquelle Ethan l’avait traînée. Si elle avait tout de suite accroché avec Déborah, elle avait ressentit quelque chose d’étrange pour Alexander. Pas si étrange que cela car deux semaines et quelques rendez vous plus tard ( avec Déborah qui la poussait à y aller ), les deux jeunes gens étaient ensemble et filaient le parfait bonheur. Bonheur qui ne devait malheureusement pas durer.

    Il semble qu’à cette époque, bien qu’Ethel n’en sache rien, son père avait déjà décidé pour elle qu’elle épouserait Ethan. Et celui-ci semblait très heureux de ce choix. Aussi, cet être excessivement susceptible n’apprécia vraiment pas d’apprendre par la bouche de cette petite traînée délurée de Déborah que sa future épouse était avec cet emmerdeur d’Alexander. Il faut avouer que le jeune homme n’aimait pas son collègue Alexander. Ethan et lui travaillaient au même post, en tant qu’Auror au Ministère de la Magie et ils étaient tout deux connus pour leur talent et leur courage. Mais des deux, c’était toujours Alexander qu’on récompensait le plus, c’était toujours à lui qu’on donnait tout les mérites. Les compliments n’étaient que pour lui. Tout ça parce qu’il était gentil. Gentil. Rien que ce mot faisait grincer des dents Ethan. Comment diable pouvait il laisser cet homme lui volait son bonheur futur en plus de sa carrière ? Non vraiment se n’était pas possible. Voilà peut-être pourquoi Ethan monta un plan impardonnable et surtout complètement fou avec l’aide d’Orson. Cet homme fondamentalement mauvais. A croire que l’entourage d’Ethel était un peu fou, ils décidèrent de tuer Alexander.

    Le père d’Ethel fut mis au courant et il ne les en empêchant pas. Sombrant chaque jour un peu plus dans sa folie mégalomane, il n’aimait pas du tout voir qu’un moins que rien pouvait mettre en l’air tant d’années d’éducation, de préparatifs et d’attentes. Car maintenant qu’elle était avec ce nul, Ethel délaissait les soirées mondaines pour se faire des amis. Des amis ! Et elle étudiait les soins. Les soins ! Où diable avait il raté son éducation pour voir ainsi sa fille se retourner contre lui ? Ces questions tournoyaient dans l’esprit de Sir Fergesson qui ne trouva au final qu’un seul coupable ; Alexander. Et un complice ; cette petite Déborah qui dépravait totalement sa fille. Il fallait agir d’urgence. Voilà peut-être pourquoi, lorsqu’Orson et Ethan lui exposèrent leur plan, il se contenta de sourire pensivement et de regarder dans le vague. La vengeance était en marche …



    Dans la rue, Ethel bascule et se retient à un poteau. La plaie dans son cœur n’est pas cicatriser, loin de là. Elle se rappelle bien, trop bien, les deux éclairs verts qui jaillirent de l’ombre pour frapper Alexander alors qu’il aidait une veille grand-mère a traverser la rue. Le plan d’Ethan et d’Orson, leur magouille et leur entrevu avec son père, Ethel apprit tout sa de sa gouvernante qui était catastrophée de n’avoir pas put prévenir le couple plus tôt. Elle ne pensait pas que les deux hommes allaient mettre leur plan à exécution si vite. Cela s’était passé deux mois plus tôt. Et aujourd’hui, elle allait se marier avec un assassin. Rien qu’à cette idée, Ethel avait la nausée. Il fallait qu’elle s’enfuie, qu’elle parte loin de ce manoir. Mais où aller ? Orson avait brutalisé Déborah au point de l’envoyer à St Mangouste. Ethel avait vu sa vie de déliter en quelques mois pour voir s’imposer ( UC )









Avril L. Adler

Avril L. Adler
ETUDIANTE. ► 1e année de DROIT.

► MESSAGES : 298
« One day, your father told me » (ec) #Jeu 29 Oct - 21:14


Bienvenue =)









Matthias J. de Salamine

Matthias J. de Salamine
MAGISTER. ► ès HDLM.

► MESSAGES : 171
« One day, your father told me » (ec) #Ven 30 Oct - 10:38



Helloooow! =3









Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Ven 30 Oct - 17:13


    Merci bien M'sieurs Dame ! « One day, your father told me » (ec) 21588









Anonymous

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« One day, your father told me » (ec) #Ven 30 Oct - 19:21


    Bienvenue a toi. Ta fiche fait plaisir a voir. J'ai pas le courage de la lire de ce soir mais elle a l'air super bien construite. J'aime beaucoup les vava qu'tu a mis dedans.









Anonymous

Invité
Invité

« One day, your father told me » (ec) #Sam 31 Oct - 11:18


    Rhooo merci bien =D
    Les vavas je trouvais qu'ils allaient bien avec la personnalité un peu précieuse mais provoc' de la miss Ethel Razz. Et les parents sont tout simplement beaux ♥️. Enfin, merci bien !










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
« One day, your father told me » (ec) #Lun 14 Déc - 0:57




Aucune nouvelle depuis le 31 oct.
Si d'ici une semaine nous n'avons toujours aucunes nouvelles, nous aviserons. =)









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
« One day, your father told me » (ec) #Lun 1 Fév - 13:56


Je déplace cette fiche. Si toute fois elle était toujours d'actualité n'hésite pas à m'envoyer un MP.










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