Un beau matin, Aleksander, qui signalons le, c'était levé de bonne humeur, ce qui n'arrive pas régulièrement, avait recu une lettre, ce ui, a par celles de ca maman, n'arrivait pas régulièrement non plus. Celle-ci écrite sur un parchemin qui semblait de qualité avec une encre émeraude avait l'air des plus officielles. Quand le jeune rouge et or l'eut retourné, il vit le sceau du ministère. Cela le laissa légèrement circonspect. Il y avait deux options : soit la mission de son père était fini soit il était tout simplement mort. Tout simplement? Non, pour Alex la mort de son père ne serait jamais simple a accepter.

Le jeune Hallen avait donc ouvert l'enveloppe fatidique d'une main tramblante et en avait sortit une liasse de parchemin. Elle contenait un billet pour Londres, un plan pour aller au ministère, comme si il n'y avait jamais été avant, et une lettre.


Quoiqu'il se passe, il fallait qu'il aille voit ce dont il s'agissait. Il se garda cependant bien d'en informer sa mère, au cas ou ... Voila donc ce qui avait amené Aleksander un beau matin de mai au deuxième étage du ministère. Tout ca pour apprendre qu'il 'agissait d'une erreur de la part du secrétaire que c'était une autre famille qu'il aurait fallu contacter et que le secrétaire en question allait passer un sale quart d'heure.

Au sortir de ce bureau, Aleksander se sentit dévaté. Oui, son père lui manquait. Trop. Il ne l'avait pas vu depuis 10 ans, depuis qu'il avait été enrolé dans une mission d'infiltration chez les Mangemorts. Le jeune homme éspérait simplement que tout allais bien pour lui, qu'il était en bonne santé. C'était un sorcier très doué, un animagus de surcroits. Le jeune Gryffondor sentit les larmes perler au coin de ses yeux. Puis le flot de ses larmes se déverssa sur ses joues, comme si un barrage venait de s'effondrer.

Ne pouvant plus mettre un pied devant l'autre, le jeune Alk se laissa glisser le long d'un mur dur et glacé et s'assis sur le sol de pierre. Non, il n'était pas aussi courageux qu'il l'aurait voulu, mais du heut de ses quinze ans, il pensait avoir déja trop enduré. Tout ca a cause du minstère et uniquement. Il s'enfouit le visage entre les bars quand une voix résonna dans le couloir glacial.

" Qu'est ce que tu fabrique la tout seul ? "

Aleksander n'aurait su dire si la voix était amicale ou tout le contraire. Il releva la tete, essuyant ses larmes d'un coup de manche rageur mais il avait encore la gorge trop sérée pour répondre quoi que ce soit.

« Eh bien quoi, tu as perdu ta langue ? »

Non, son père mais ca revient plus ou moins au meme non ? Il ne pouvais par répondre, ne vulais pas répondre. Il aurait aimé etre assez courageux pour crier au monde que, oui, il n'avait pas vu son père depuis dix ans et qu'il risquait de ne plus jamais le revoir. Mais a chaque fois, il avait répondu aux questions avec un sourire, une petite plaisanterie quand il pouvait se le permettre. Peut etre le temps de changer ses petites habitudes ? Non, je ne pense pas. Il init d'essuyer ses larmes et se releva pour aire face a la jeune femme dans le couloir.

« Je t’en prie, j’ai un bureau qui serait beaucoup plus agréable que ce simple couloir pour parler. »

Mais qui te dit que j'ai envie de parler avec toi, un sous-fifre du ministère. Voilà ce qu'il aurait aimé pouvoir répondre. Mais il n'en fit rien et se plaqua un sourire sur le visage. Le jeune Hallen emboita ensuite le pas à la jeune femme. Avait-il un autre choix en meme temps ? Pas sur. Il passa le seuil de la porte et s'assit sur un des sièges en face du bureau. Pour sur, il n'avait aucune envie de se trouver là. Il aurait préféré prendre son temps pour pleurer dans son coin dans un endroit où personne ne pourrait le voir et hurler sa colère. Ce n'était vraiment pas l'endroit.
Voyant que la jeune femme attendait qu'il prenne la parole et libère toute sa misère, il déclara simplement :

"Une erreur ... ici c'est tout ce que vous savez faire non ? "

Il n'avait pas voulu etre aussi impoli et provocateur mais il détestait cet endroit plus que tout au monde. Et ceux qui travaillaient ici était a ses yeux tous responsables du départ de son père. Il pensait aussi a sa mère qui n'était depuis que l'ombre d'elle meme. Tout ca pour une mission qui allait peut etre ne servir à rien avec tous les évennements récents. Il y avait de quoi etre en colère non ?