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 We rode on horses made of sticks (pv)

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PROFIL & INFORMATIONS









Anonymous

Invité
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We rode on horses made of sticks (pv) #Lun 16 Aoû - 16:34


C'était le retour de vacances. Enfin pour les quatre filles qui papotaient devant le portauloin de l'angle de la rue ça n'avait aucune importance. Il y avait Lessie, Kaya, Jenny et Maëlys, la seule brune du groupe d'ailleurs. Maëlys qui avec son rire éclatant se faisait remarquer malgré elle, mais elle n'y prêtait pas attention. Après tout, les trois autres filles aussi riaient, quelle différence cela faisait-il?
C'était leur petit rituel que de faire un bout de chemin tous les soirs. Exactement le même chemin. D'abord elles se retrouvaient en bas dans le hall. Puis elles remontaient le long du chemin de traverse, les trois blondes et la brune, toutes plus jolies les unes que les autres avec leurs accessoires de mode, leurs ongles parfaitement manucurés, et la courbe délicate de leurs cils. Maëlys avait que son maquillage soit discret, sauf peut-être sur les yeux qu'elle avait grands et bleus et qu'elle se plaisait à faire ressortir encore d'avantage avec le bon mascara et le bon liner. Du noir bien sûr. Le bleu aurait fait vulgaire.

Après avoir tourné à l'angle de Gringotts, elles s'arrêtaient toujours prendre un café, puis elles repartaient, direction le portauloin de l'angle de la rue puisque le ministère ne pouvait pas garantir que toutes les rues étaient sûres par les temps qui courraient.

« Je crois que j'en ai croisé un l'autre jour devant chez Fleurie & Botts? »
« Lessie t'es sûre? Même avec les nouvelles lois sur les loups garous je crois pas que... »
« Mais si, en armure et tout c'était tellement kitsch mais en même temps ça lui allait vachement bien »
« Il t'as tapé dans l'oeil avoue? »
« Oh non les filles c'est abusé! »
« Tu dis ça parce que tu ne l'a pas vu Mel, franchement il valait bien deux ou trois fois Emett. »
« Tss pourquoi Emett revient toujours sur le tapis? Je vous dis qu'il s'est rien passé avec lui. »
« Ben voyons, en tout cas lui il aurait bien aimé qu'il se passe quelque chose... »

En gros c'était toujours un peu les mêmes sujets de conversation typiquement féminins mais c'était leur moment à elles et elles adoraient ça. Puis Kaya partait, venait ensuite le tour de Lessie, puis de Jen et ne restait plus que Maëlys qui elle ne prenait pas le portauloin parce que son appartement se trouvait à moins de cinq minutes de leur point de chute. Alors absolument comme tous les soirs, pas vraiment rassurée, la jolie jeune femme pressait le pas vers chez elle, empruntant encore une fois exactement le même chemin, refaisant exactement le même cheminement de pensée... et si...









Adonis X. Dashwood

Adonis X. Dashwood


► MESSAGES : 181
We rode on horses made of sticks (pv) #Mer 25 Aoû - 21:15


    Délaissé. Abandonné. Il était seul dans les rues de Londres. En fait, il se sentait si seul au monde. Il avait quitté Poudlard pour se sauver de son frère et de Avril. Ô la belle Avril. Il aurait tout fait pour elle, mais elle ne voulait pas de lui. Elle voulait Maëlan. Il avait compris. Il savait que quitter Poudlard c’était complètement lâche, mais il avait besoin de partir très loin pour ne pas avoir l’impression d’être pris au piège entre sa famille qui lui lançait des regards sombres, mise à part Indiana qui semblait inquiète de tout ça. Elle semblait avoir beaucoup de peine pour lui en même temps. Elle était sa petite-sœur adorée, après tout. Elle n’avait jamais eu la chance d’avoir eu un Adonis compréhensif auprès d’elle. C’était toujours la faute d’une fille pour ce qui arrivait. La première fois qu’il avait été amoureux, il s’était séparé de sa sœur. Il s’était tellement éloigné d’elle qu’il n’était pas logique qu’Indiana puisse comprendre le pourquoi de la chose. Il l’avait délaissé… abandonné, comme le sentiment qu’il l’habitait depuis son départ. Il avait réussi à se trouver un appartement à bas prix. Il travaillait aussi dans une librairie pour réussir à se nourrir ou encore à se loger. Il devait bien travailler depuis qu’il n’était plus à poudlard. Ça faisait peu de temps. Il n’y avait pas grand-chose dans son appartement pour tout dire. Il y avait un grand lit, un grand sofa et une petite table minable. Il n’avait pas la chance d’avoir tout l’argent qu’il désirait. Il devait travailler si fort. Tellement fort qu’il restait des heures dans la boutique à vendre des livres. Pourtant, il aperçut une fille dans à travers la vitrine. Plusieurs fois par jour. Plusieurs fois il avait tourné la tête en direction de sa silhouette fine qui traversait la rue. Il avait qu’une envie de la connaître, mais il avait l’impression de voir Avril en image. Il croyait rêver à chaque fois. Ce soir, il fermait la boutique. Il la vit passer. Il avait tourné la tête encore une fois vers cette jolie fille. Il se dépêcha à tout fermer en oubliant de passer le balai. Il s’en foutait. Il devait rattraper cette fille. Sa baguette était dans sa poche de son pantalon. Il ne savait pas quoi faire pour l’aborder, mais il avait peur qu’elle se sauve lorsqu’il allait l’aborder ou se faire dire dégage tu ne m’intéresse pas. La deuxième Avril n’avait pas le droit de lui dire ce genre de chose. Non. Elle n’avait pas le droit de lui faire du mal à nouveau. Elle n’avait pas le droit de la faire souffrir à nouveau. C’était interdit. Elle ne pouvait pas lui crever le cœur à nouveau en moins de une semaine. Non. Il s’approcha donc rapidement l’assomma. « Excuse moi » avait-il dit lorsqu’il la mit sur son épaule. Il ne lui avait laissé aucun temps pour lui laisser dire quelques choses. Il avait trop peur. Peur d’être blessé. Il l’avait emmené ni vu, ni connu dans son appartement minable. Il la fouilla sur le coup. Il tomba sur son sac-à-main qu’il prit pour chercher ses cartes d’identité. Il voulait connaître son nom. Elle s’appelait Maëlys. Mon dieu. Il eut une pensée pour son père. Décidemment, c’était le monde à l’envers. Il avait pris la baguette de la jeune femme en la cachant et utilisant la sienne pour verrouiller les fenêtres et les portes de l’appartement. Il s’assit, finalement, en attendant qu’elle se réveille. Elle ouvrit finalement un œil. « Pardon… je… je »









Anonymous

Invité
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We rode on horses made of sticks (pv) #Mer 25 Aoû - 22:14


Elle n'avait rien vu venir. A peine avait-elle sentit un peu de chaleur humaine, elle avait voulu se retourner mais l'instant d'après c'était le noir complète. Lorsqu'elle revint à elle, il lui fallut quelques minutes avant d'ouvrir les yeux. Elle avait tellement mal au crâne. Une petite grimace douloureuse passa sur son joli minois puis elle se redressa tout doucement portant une main à sa tempe.

« Je... qu'est-ce que... où est-ce que...? »

Elle fronça les sourcils une fois de plus. Regardant autour d'elle. Elle ne se rappelait pas être venue jusqu'à cet endroit. Et d'ailleurs elle ne reconnaissait même pas les lieux. Elle savait qu'elle n'aurait jamais bu à en perdre la mémoire. Elle savait qu'elle n'aurait jamais suivi un ou une inconnue surtout pas par des temps pareils.

« Pardon… je… je »

Elle sursauta. Dans la demi-obscurité elle n'avait même pas remarqué qu'il y avait quelqu'un. Sa tête la lança de plus belle, elle passa sa main à l'arrière de son crâne, constatant que sous ses longs cheveux sombres il y avait une bosse plutôt volumineuse. Elle se mit à paniquer, se redressant d'un bond, et comme elle portait la main à son côté pour attraper sa baguette, elle se rendit compte qu'elle n'avait plus son sac à main.

« Qui êtes vous? Où est-ce que je suis?! C'est... vous avez pris mon sac!»

Elle avait littéralement bondi, se retrouvant d'emblée debout derrière le canapé. Elle avait clairement l'air sur la défensive et quand elle fronçait les sourcils comme ça, ses yeux bleus jetaient des éclairs de mort. Elle entendait bien avoir toutes les réponses qu'elle demandait et elle espérait bien que l'explication c'était: vous vous êtes évanouie dans la rue et j'ai cru bon de vous ramener. Mais curieusement elle n'y croyait pas trop, voire pas du tout. Pourquoi se serait-elle évanouie?
Elle avait la tête haute et quelque chose de particulièrement fier mais de farouche à la fois. Quelque chose de très joli aussi.









Adonis X. Dashwood

Adonis X. Dashwood


► MESSAGES : 181
We rode on horses made of sticks (pv) #Jeu 26 Aoû - 0:51


    Pourquoi avait-il cru bon et justifiable de kidnapper quelqu’un pour ne pas souffrir à nouveau d’un non d’une Avril qui portait le même prénom de son père, mais au féminin ? Pourquoi devait-il agir comme ceci et croire justifiable ses actes complètement fou ? Était-il aussi désespéré pour agir comme un idiot à ce point? Qu’allait-il faire de cette jolie fille qui dormait de force par un coup trop fort ? L’avait-il tué ? Il n’espérait pas. Il n’avait pas besoin d’une morte sur sa conscience surtout la mort d’une deuxième Avril. Pourquoi avait-il remarqué cette fille au loin ? Vous voulez vraiment savoir le pourquoi de la chose ? Eh bien, il se trouvait que cette fille s’appelant Maëlys ressemblait à Avril Adler. Cette fille qui l’avait rendu plus que fou jusqu’au point de faire des recherches importantes sur elle, découvrant qu’elle avait honte d’être une orpheline, même s’il ne comprenait pas cette honte. Il n’y avait aucune honte d’être une orpheline. Il n’avait pas de mère. Il n’avait pas honte de cette chose. Pourtant, il aurait aimé la connaître. Il aurait aimé avoir une mère qui le consolerait lors des moments difficiles. Il y avait Indiana qui pouvait la remplacer, mais ce n’était pas pareille surtout lorsqu’il était un peu en froid avec cette dernière sans le vouloir vraiment, mais c’était tout de même sa faute à cause de sa première petite-amie qui lui a littéralement brisé le cœur et détruit la plus belle des relations sur terre et la plus saine… Sa sœur l’avait perdu. Il était perdu. Il avait encore exagéré. Il avait que regarder les papiers de la demoiselle pour ne pas l’appeler femme tout le long. Il ne l’avait pas volé, même s’il aurait pu le faire puisqu’il avait de la difficulté, mais il ne voulait pas lui faire mal. Déjà qu’il regrettait de l’avoir frappé. Pourtant, s’il l’avait emmené sans la frapper. Elle aurait crié. Et si elle criait, il aurait été remarqué. De plus, il l’avait kidnappé sur un coup de tête. C’était trop intense à quel point il avait agi comme un petit con sur ce coup… Qu’est-ce qu’il lui avait pris ? Il était sérieux. Il se trouvait con. Totalement con. La jeune femme s’était réveillée. Adonis avait écarquillé les yeux. Qu’allait-il faire ? Que pouvait-il faire ? Il tenta une réponse en bégayant plus qu’il ne voulait. Il était un peu gêné par ce qu’il avait fait. Pourquoi ? Parce qu’il était un con. Voila tout. Il agissait sur des coups de tête comme à l’habitude. Il agissait comme il ne devait pas agir. Il aurait du aller voir cette fille et tenter de la draguer pour avoir un premier rendez-vous. Il ne pouvait pas la laisser partir, parce qu’elle allait l’accuser de choses qui étaient vrais, mais aussi des fausses dans le genre qu’il avait voulu la violer. Elle était bien jolie et il ne lui dirait pas non, mais il ne voulait pas la violer ou la forcé de quoique ce soit. Il la regardait sans vraiment quoi faire. Elle était incroyablement belle. Elle avait ce visage si parfait. Ses yeux si bleus. Il était amoureux de la deuxième Avril, car c’était la deuxième Avril qui était différente, mais elle était… parfaite déjà à ses yeux. « Qui êtes vous? Où est-ce que je suis?! C'est... vous avez pris mon sac! » Adonis lui tendit son sac à main. « Je suis désolé. Je voulais… regarder si vous aviez vos papiers pour connaître votre nom. » Il se tint la tête un instant. Il avait honte de ce qu’il avait fait. Il venait de kidnapper cette fille pour la connaître. « Je suis Adonis Dashwood. Vous êtes chez moi… » Il continuait à la regarder. Il n’osait pas l’approcher par peur de lui faire peur. « Je suis désolé de vous avoir fait ce que je viens de vous faire. Je ne voulais pas. J’ai agi par une pulsion. Vous me rappelez quelqu’un… et je me suis un peu emportée. Je voulais vous connaître, mais j’avais peur… Mais c’est con. Je peux vous l’accordez. Je suis con. »









Anonymous

Invité
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We rode on horses made of sticks (pv) #Jeu 26 Aoû - 21:41


Comme elle l'exigeait à demi-mot, il lui tendit son sac. Maëlys hésita une seconde, se demandant s'il l'allait pas en profiter pour l'attraper par le poignet et l'obliger à se rapprocher mais l'instant d'après, elle se disait déjà qu'elle était tout simplement parano. Peut-être qu'il n'avait vraiment fait que l'aider et qu'il allait tout expliquer. La preuve: il s'excusait, et poliment avec ça.

« Je suis désolé. Je voulais… regarder si vous aviez vos papiers pour connaître votre nom. »

Maëlys eut une drôle d'expression. Ce n'était quand même pas des manières mais enfin, mettons ça sur le compte de... enfin bref. Et puis l'air gêné du jeune homme lui faisait un bon avocat. On avait pas vraiment envie de lui reprocher quoique ce soit ou de l'engueuler. Il avait l'air sincèrement désolé. Alors peut-être que cette bosse elle se l'était faite en tombant. Elle ne se rappelait vraiment de rien après le moment où ses copines l'avaient laissée...

« Je suis Adonis Dashwood. Vous êtes chez moi… »

Elle aurait bien dit et moi Maëlys Di Amore mais... il le savait déjà alors, elle se contenta de sourire. Malheureusement le sourire s'envola à la seconde où il poursuivit:

« Je suis désolé de vous avoir fait ce que je viens de vous faire. Je ne voulais pas. J’ai agi par une pulsion. Vous me rappelez quelqu’un… et je me suis un peu emportée. Je voulais vous connaître, mais j’avais peur… Mais c’est con. Je peux vous l’accordez. Je suis con. »


Elle recula nettement de trois pas.

« Ce que vous venez de me faire? Est-ce que... Je dois comprendre que c'est vous qui... Vous m'avez... enlevée! », sa voix trahissait qu'elle perdait ses moyens quoiqu'elle faisait de son mieux pour ne pas perdre la face. Sans doute lui rappellerait-elle encore un peu plus cette autre personne dont elle ne savait rien en faisant ça,
« Ecoutez je ne sais pas qui vous êtes, ce que vous voulez, ça m'est égal en fait. Tout ce que j'veux c'est rentrer chez moi. Alors euuh... disons que je vous pardonne ce que vous m'avez fait... », en disant cela, elle passa la bandoulière de son sac à main à son épaule et commença à prendre la direction de la porte, « Après tout ça peut arriver à tout le monde de se laisser emporter. C'est rien du tout. Je... vais rentrer chez moi main...tenant. La porte est verrouillée... vous voulez bien m'ouvrir? », demanda-t-elle véritablement nerveuse cette fois.

Sa main tremblait sur la poignée de la porte, elle n'osait même pas regarder en arrière. Surtout pour ne pas lui montrer qu'elle commençait à avoir vraiment peur. Pourquoi cette porte était-elle verrouillée?









Adonis X. Dashwood

Adonis X. Dashwood


► MESSAGES : 181
We rode on horses made of sticks (pv) #Sam 28 Aoû - 2:32


    Adonis étai un idiot. Il venait de le découvrir contre son gré. Cette réponse l’avait frappé de plein fouet. Il venait de kidnapper une fille qui ressemblait à une fille qui venait de lui briser le cœur en restant avec son frère. Maëlan. Le plus féroce des Dashwood, mais aussi impulsif l’un que l’autre. Adonis était un con d’avoir cru que peut-être Avril finirait par l’aimer lui et non l’autre. Il avait été con d’ouvrir sa grande gueule au lieu de continuer à la faire souffrir pour l’éternité. Elle avait détruit le peu de relation qu’il lui restait avec ses frères et sa sœur. En particulier, Maëlan. Ils s’étaient éloignés, finalement, à des kilomètres pour ne plus se prendre la tête et aussi pour ne plus avoir le poing de ce dernier contre sa mâchoire. Il avait toujours des blessures du mal. Quelques bleus, mais ça c’était tout à fait normal. Il avait eu mal quelques temps à la mâchoire, mais tout allait mieu. Pourtant, il venait de battre un record personnel de stupidité et d’idiotie total ayant un lien avec l’impulsivité puisqu’il agissait comme un idiot à cause de ce qu’il était. Bref, il regardait la jeune femme avec cet air inquiet qui prouvait totalement que le jeune Dashwood s’inquiétait un minimum de l’état de la jeune femme. Il avait continué à la regarder, même lorsqu’elle avait ouvert les yeux lui rendant son sac à main après avoir vérifié quelques trucs. Il ne la lâchait pas des yeux. Elle ressemblait tellement à Avril. Elle avait ce petit quelque chose qui l’attirait totalement. Elle était si jolie. Elle avait cette peau lisse qu’il avait envie de caresser. Elle semblait si douce, mais ses yeux effrayés lui faisaient aussi peur qu’elle pouvait avoir peur. Il n’était pas un monstre, mais ce qu’il avait fait était mal. Elle semblait le croire si innocent. Il le voyait dans son regard, mais il était coupable. Il était totalement désolé. Elle devait le croire. Il aurait aimé se faire des films avec un prince et une princesse et que cette princesse – elle – veut bien d’un prince totalement perdu dans un monde étrange. Malheureusement, ses histoires étaient impossibles. Il avait brûlé déjà toutes les étapes sur cette terre qu’il n’y avait plus de conte de fée. Devait-il la tuer pour ne pas finir à Askaban ? Devait-il la garder encore pendant des jours des jours ? Il ne savait pas encore, mais il attendrait encore un peu pour voir ce qu’il allait devoir faire. Elle s’éloigna de luis lorsqu’elle comprit certainement qu’il l’avait frappé et qu’elle reculait. Ce fut une claque pour lui. La deuxième Avril le détestait. Aouch ! Il fit un regard qui aurait fait tomber des cœurs, mais il avait bien l’impression qu’il ne gagnerait pas avec elle, car il ne pouvait pas faire pitié envers une inconnue qu’il venait à peine de kidnapper. « Ce que vous venez de me faire? Est-ce que... Je dois comprendre que c'est vous qui... Vous m'avez... enlevée! » Il restait où il était en la regardant avec ce regard si triste. « Je suis désolé. » Avait-il répété encore. Il était sérieux, mais il ne pouvait concevoir de la laisser partir maintenant. Il avait bien caché la baguette de Maëlys pour que jamais elle ne la retrouve sans son aide. Il ne voulait pas et ne pouvait pas la laisser partir. « Ecoutez je ne sais pas qui vous êtes, ce que vous voulez, ça m'est égal en fait. Tout ce que j'veux c'est rentrer chez moi. Alors euuh... disons que je vous pardonne ce que vous m'avez fait... » Il hocha légèrement la tête en ne disant rien pour l’instant. «Après tout ça peut arriver à tout le monde de se laisser emporter. C'est rien du tout. Je... vais rentrer chez moi main...tenant. La porte est verrouillée... vous voulez bien m'ouvrir? » Il la regarda sérieusement ce qui disait long sur ce qu’il allait lui dire. « Je suis désolé Maëlys, mais je ne peux te laisser partir. Je dois réfléchir. Je n’ai pas confiance en personne. Tu vas rester ici le temps que je vais me décider. Fais comme chez toi. Ça ne me gêne pas, mais ne tente pas de t’enfuir, j’irai te chercher où que tu sois. Je suis assez dingue pour devenir très méchant, très très méchant. » Ce n’était que pour lui faire peur pour ne pas qu’elle tente de s’enfuir. Il restait assis au sol la fixant. « Mais je n’ai pas l’Intention de faire du mal, mais comprends-moi un instant, si tu sors… tu pourras m’accuser de tout ce que tu veux. Je ne veux pas que ça arrive, mais je te jure que tu ne dois pas avoir peur de moi. Je te le promet que je ne te ferai pas de mal… »









Anonymous

Invité
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We rode on horses made of sticks (pv) #Lun 30 Aoû - 19:52


Il n'arrêtait pas de s'excuser et à la fin elle allait finir par se sentir encore un peu plus mal à l'aise si c'était encore possible. Elle ne pouvait pas lui dire de but en blanc que ce qu'elle croyait vraiment c'était qu'il n'était rien d'autre qu'une espèce de barjo et qu'elle n'avait qu'une envie : le frapper et se tirer vite d'ici... ce qu'elle aurait sans doute fait si la porte n'avait pas été verrouillée.

« Je suis désolé Maëlys, mais je ne peux te laisser partir. Je dois réfléchir. Je n’ai pas confiance en personne. Tu vas rester ici le temps que je vais me décider. Fais comme chez toi. Ça ne me gêne pas, mais ne tente pas de t’enfuir, j’irai te chercher où que tu sois. Je suis assez dingue pour devenir très méchant, très très méchant. »

Elle eut un petit rire nerveux et avança discrètement sa main vers son sac. Elle lui aurait bien demandé s'il se foutait de sa gueule mais l'idée lui vint qu'il ne fallait peut-être pas l'énerver de peur d'avoir à découvrir qu'il savait faire autre chose que de ramener des inconnues chez lui pour s'excuser. D'ailleurs il le laissait entendre lui même. Elle pâlit un peu en sentant qu'elle n'avait évidemment plus sa baguette.

« Mais vous ne pouvez pas me garder ici indéfiniment... »
« Mais je n’ai pas l’Intention de faire du mal, mais comprends-moi un instant, si tu sors… tu pourras m’accuser de tout ce que tu veux. Je ne veux pas que ça arrive, mais je te jure que tu ne dois pas avoir peur de moi. Je te le promet que je ne te ferai pas de mal… »
« Je n'irais pas me plaindre, à qui que ce soit... laissez moi partir... s'il vous plait. »

Ses grands yeux bleus étaient plongés dans les siens, elle était convainquant et elle avait l'air sincère. Elle l'était d'ailleurs.










Adonis X. Dashwood

Adonis X. Dashwood


► MESSAGES : 181
We rode on horses made of sticks (pv) #Mer 1 Sep - 2:10


    La malchance s’était abattu sur Maëlys puisqu’elle était prise avec un fou furieux qui voulait d’elle ce qu’il n’avait jamais eu de la part de l’autre femme qui faisait battre son cœur à toute vitesse. La jeune femme était incroyablement belle, mais il y avait au fond cette ressemblance frappante avec Avril qui détruisait un peu le pseudo-coup de foudre qu’il venait d’avoir pour cette inconnue qui avait un prénom semblable à son frère. Elle était terriblement belle. Une beauté qu’il ne serait capable de décrire, autant que la beauté d’Avril. Il y avait ses détails dans leur visage respectif, mais aussi leurs yeux qui le faisaient littéralement fondre. Peut-être qu’au fond Maëlys lui faisait plus d’effet. Avec le peut de temps qu’il a pris pour s’amouracher de lui. C’est fou, non ? Il était amoureux d’une inconnue qui ressemblait à cette Avril qu’il n’avait pas. Cette fille qui appartenait à son frère depuis trop longtemps. Il avait laissé cette fille merveilleuse à son frère. Il avait mérité un peu d’amour lui aussi. Non ? Il n’avait pas mérité l’amour d’une fille ? N’avait-il pas mérité l’amour de quelqu’un peu importe le sexe qui importait tout simplement peu à Adonis qui ne faisait aucune différence entre les deux. Il aimait ce qu’il obtenait, malgré tout il avait une préférence pour le sexe féminin. Il gardait cette fille complètement inoffensive depuis quelques minutes dans son petit appartement. Il ne voulait pas lui faire du mal, mais elle était effrayée par ce qu’il était. Il devait l’avouer qu’il était normal qu’elle soit effrayé par un type qui venait de la frapper et l’avait kidnappé pour l’enfermer chez lui. « Mais vous ne pouvez pas me garder ici indéfiniment... » Il hocha négativement de la tête encore une fois avant d’enchaîner avec de longue phrase qui disait bien des choses et qui déterminait l’état mental à l’instant de Adonis. « Mais je n’ai pas l’Intention de faire du mal, mais comprends-moi un instant, si tu sors… tu pourras m’accuser de tout ce que tu veux. Je ne veux pas que ça arrive, mais je te jure que tu ne dois pas avoir peur de moi. Je te le promet que je ne te ferai pas de mal… » Il la regardait avec ce petit regard désolé, car il l’était vraiment. Sérieusement, il n’était pas méchant au fond avec cette fille. Il ne voulait pas faire du mal à Maëlys. Il s’en voulait de l’avoir frappé. Il avait agi sur un coup de tête. Il était un con après tout. « Je n'irais pas me plaindre, à qui que ce soit... laissez moi partir... s'il vous plait. » Il se leva et s’approcha d’elle, mais il resta à une distance raisonnable n’étant pas trop près d’elle pour ne pas qu’elle panique. « Je suis désolé… Je ne voulais pas. Je suis un peu fou, mais je n’ai pas confiance en personne. Je suis désolé, Maëlys, mais je crois que je dois apprendre à te connaître pour te laisser partir. » Adonis s’éloigna un peu. « Tu resteras un moment. Je ne veux pas te faire de mal. Ne soit pas gêné. Tu peux me parler. Je ne mords pas. Je te jure que je ne te ferai jamais de mal. »









Anonymous

Invité
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We rode on horses made of sticks (pv) #Sam 4 Sep - 19:13


Il pouvait jurer tout ce qu'il voulait elle n'avait aucune confiance en lui. Tout simplement parce que l'homme qui était en face d'elle était complètement irrationnel. Quand on était assez fou pour frapper une inconnue dans la rue et la ramener chez soi en lui annonçant qu'elle ne ressortirait probablement pas, on était sans doute aussi assez dangereux pour avoir un geste dangereusement déplacé. Et Maëlys n'avait pas envie de mourir.

Son regard fit le tour de la pièce une fois encore. Elle ne lui répondit pas et s'écarta de lui bien vite. Elle ne voulait pas rester près de lui. Il fallait qu'elle retrouve sa baguette. Un mouvement de panique la prit et elle se rua vers le premier tiroir, avant de se mettre à les ouvrir tous un à un comme une démente. Ses mains tremblaient, elle soulevait des liasse de papiers sans les lire. Puis elle se rua dans la cuisine, ouvrant chaque placard dans l'espoir de voir sa baguette. Il fallait qu'elle la retrouve à tout prix sinon elle n'aurait rien pour ce défendre contre ce type. Pourtant après avoir vérifié les moindres recoins qui lui étaient accessible elle était toujours aussi démunie. Alors elle prit la première chose qui était à portée: une lampe. C'était mieux que rien du tout même si c'était dérisoire.

« Ne m'approchez pas! »

Elle ne le quittait pas des yeux. Parler avec lui n'avait mené à rien. Il n'avait fait que s'excuser. S'excuser pour rien au final puisqu'il ne la laissait pas partir. Elle ne savait pas ce qu'elle avait fait pour mériter ça, pourquoi ça lui tombait dessus. Il n'y avait aucune raison. Aucune raison logique en tout cas. Collée contre un mur, à l'extrême opposé de lui, elle était prête à se défendre s'il fallait.










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