Les LOCKWOOD,Sont une des familles les plus influentes du monde de la sorcellerie sur bien des points. De façon officielles, ceux sont d'importants donateurs pour quelques infrastructures comme l'hôpital Ste. Mangouste ou quelques associations du genre pour se faire bien voir aux yeux de la société. Tant est si bien que le petit sorcier moyen pense que ceux sont donc, des gens biens. A la tête de certains postes clés à Gringott's comme à la rédaction de la Gazette du Sorcier, ou encore au ministère de la magie, ils dégagent un truc de la famille qui a tout réussi, qui est reconnue, et que l'on apprécie à tous les grands galas mondains de la sorcellerie à travers les pays nordiques.
Officieusement, c'est une famille pro-sang pur, aux idées biens arrêtés sur les moldus. Mangemorts, et fiers de l'être, il n'y a pas une personne (excepté Darell) qui ne se ballade pas la marque sur le bras. Les femmes sont également aux services du Lord Noir, bien que quelques unes comme la belle-soeur de Darell n'en fassent pas partit. Le patriarche de cette famille n'est autre que Sherman Lockwood, l'un des plus fidèles partisans des ténèbres. C'est pourtant, un homme d'un goût raffiné, et d'une présence totalement agréable.
■ Les Lockwood possèdent l'un des plus grands Manoirs du Royaume-Uni. Il se situe dans le sud de l'Écosse. (ils sont nobles. Sherman possédant le titre de Baron.)
■ C'est une grande famille. Qu'on se le dise : Pour une famille de Sorciers au sang-pur. Il ne faut pas oublier qu'il n'existe que très peu de sorcier dit purs depuis déjà bien des générations. Ils doivent comporter une quarantaine de membres.
■ Famille divisée sur deux continents : Une branche Américaine (elle vit du côté de Salem), et une branche Anglaise (dans les Lowlands écossais). Les relations sont très bonnes. Ils partagent les mêmes idées et il n'est pas rare de les voir débarquer chez l'un ou chez l'autre.
■ Une famille qui réussit tout. On entretient la bonne image, c'est vitale.
■ Les femmes ont du mal à percer, à s'asseoir à la même table que les hommes dirons-nous. Mais lorsqu'elles y parviennent, elles n'ont plus aucun soucis d'autorité.
■ Lorsque Sherman dit quelque chose, on lui obéit.
■ Je m'octroie le droit de rajouter des choses dans un futur proche !