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| De longue vacances {Karly & Will} | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Mer 7 Juil - 7:04 |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Mer 7 Juil - 7:05 |
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| Bienvenue chez moi... Ou pas ! Willam & Willara 12 Avril
William – « C’est une blague ?!? Non sérieux… Willara… C’est une BLAGUE ???? » Lara – « Non ce n’est pas une blague, Karly va BIEN passer les quinze jour des vacances d'Avril à la maison » affirmant-t-elle en soupirant agacer par son frère. Will – « Oh non ! Putain, Merlin achevez moi !! » Lara - « Et tu a intérêt d’être gentil » rajouta-elle sans se soucier des protestations de son jumeaux en pointant un index accusateur vers lui. « Sinon j’te préviens c’est moi qui vais t’achever ! » Will – « Mais je suis TOUJOURS gentil » affirma-t-il avec un large sourire hypocrite.
Willara poussa un soupir et n’y prêta pas attention, remontant dans sa chambre pour sortir le matelas de dessous de son lit pour préparé la venue de son ami alors son frère se remettait de la nouvelle. Cruella d’Enfer chez lui pendant quinze ! Super ! Génial ! On pouvait déjà prévenir le prêtre qu’il y allait avoir un mort, ça c’était certain. William n’avait jamais pût voir la rouge et or en peinture. Peut-être parce qu’elle n’avait jamais voulu rejoindre son lit. Pourtant c’était l’inviter pas faute de l’avoir invité à le rejoindre dedans mainte et mainte ou fois. Ou alors c’était parce que le jour de leurs rencontre elle lui avait versé un pot de jus de citrouille sur la tête a ses avances. Ou alors tout simplement parce qu’il trouvait qu’elle avait un horrible caractère et qu’elle ne savait pas s’amuser. C’était peut-être ça. Allez savoir… Quoiqu’il en soit la dernière chose dont il avait envie pour ses vacances, c’était de les passer avec sa meilleure ennemie. En plus il pouvait même pas immigré chez Kivar, ce lâcheur était en Espagne jusqu’a la rentrée. Non malheureusement il allait devoir supporter Karly… Bon il avait bien besoin de se détendre avant que l’horrible dragon débarque alors un Souaffle dans la main, son balai dans l’autre, direction le jardin pour un petit entrainement au Quidditch. Le printemp commençait timidemant à pointer le bout de son nez et le soleil était bien haut dans le ciel, tant et si bien qu’au bout d’une demi heure, William était tout suant, dégoulinant de transpiration. Il enleva alors son tee-shirt au moment même où Karly arrivait, bien qu’il ne l’ait pas encore remarqué…
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194 Mer 7 Juil - 20:37 |
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| Tourbillon de couleurs et sensation désagréable au fond du ventre. Oui, Karly aurait du manger un petit quelque chose comme le lui avait conseillé son frère. Heureusement, la sensation allait bien finir par passer. Transplaner lui faisait toujours cet effet. Posant une main sur la petite barrière blanche, la jeune écossaise finit par se relever doucement. Plissant les yeux, la luminosité du soleil lui laissa entrevoir quelque chose à laquelle elle ne s’attendait pas. Etrangement, elle mit plusieurs minutes à reprendre ses esprits avant qu’une grimace ne se forme aux coins de ses lèvres. C’est à ce moment précis que son frère intervient. - « Ca va ? Tu tiens le choc ? » demanda Matthew en époussetant la poussière qui s’était accumulée sur son épaule durant le voyage. - « J’ai envie de vomir. » lui annonça-t-elle en grimaçant, haussant un peu la voix afin de faire apercevoir sa présence. Ne comprenant pas vraiment pourquoi sa sœur devenait subitement malade alors qu’ordinaire, elle supportait le transplanage, il haussa un sourcil et se tourna vers le point qu’elle fixait avec une grimace qu’on n’aurait pas su décrire. Y avait-il réellement que du dégoût ? C’est alors qu’il comprit. Devant leurs yeux, à quelques mètres du sol, une silhouette stagnait dans les airs, assit sur un balai. Bien que Matthew ne connaissait pas vraiment le jeune homme, il était comme de notoriété publique que lui et sa sœur se vouaient une haine féroce. Jusqu’ici, il n’avait jamais vu quelqu’un mettre sa sœur autant en rogne. Ce qui l’amusait beaucoup. Le pire de l’histoire était qu’elle ne pouvait pas l’éviter vu que sa meilleure amie était la sœur de son propre ennemi. Haaa, Karly avait vraiment le don de se mettre dans des situations complexes. Parfois, il en serait venu à regretter d’être son frère aîné mais, il n’y pouvait rien : il aimait les situations piquantes. Surtout celles à regarder. Tandis que Matthew commençait à jubiler intérieurement, pensant au spectacle à venir, sa sœur ne partageait pas son avis. Et dire qu’elle avait oublié la présence de ce grand dadet arrogant et imbécile. A cette vue, la perspective d’un séjour de quinze jours chez les Slayers était moins alléchante. D’ordinaire, il n’était jamais là. Ou rarement. Il aurait pu faire un effort tout de même. Comment une famille si gentille et adorable pouvait-elle comportant un parfait crétin ? Bah, toutes les familles ont leur vilain petit canard. Remarquant que son frère venait de s’adosser à la barrière, elle s’adressa à lui avec ce petit air exaspéré comme elle l’avait souvent en présence de Slayers. - « Tu ne rentres pas ? » - « Oh si ! » dit-il d’un air détaché afin de ne pas trop la contrarier. « Il n’est pas bon de faire deux transplanages trop rapprochées. Un peu de repos et je retourne à A' Chananaich Deich. Ou je passe à Londres voir Mary. » L’air amusé de son frère l’énerva. Elle avait bien compris que ce dernier voulait assister à la joute mais, il ne voulait pas non plus le paraître. Tsss, ses McGregor. Attrapant son sac qu’elle tient au bout de son bras, elle poussa la petite barrière afin d’entrer véritablement chez les Slayers. Elle ne sourit pas à William. Après tout, elle n’était pas spécialement contente de le voir. Mais, comme le lui disait souvent sa défunte mère : il faut toujours se montrer polie et courtoise, surtout envers ses ennemis. La poisse. Un sourire narquois naquit alors sur ses lèvres. C’était le mieux qu’elle pouvait lui offrir. Notons l’effort. - « C’est étrange, j’ai plus l’impression que tu as envie de parfaire ton bronzage que de t’entrainer sérieusement. C’est pas comme çà qu’ils te reprendront. » Toujours d’un sourire narquois, Karly ne pouvait s’empêcher d’ennuyer Slayers. C’était une sorte de manie chez eux. Plus je te déteste et plus je t’emmerde. Qui ne connaît pas cette règle primordiale ?! Commençant à reculer de deux pas, elle continua son chemin en direction de la maison, hâte de retrouver de véritables personnes civilisées et qu’elle appréciait. Après tout, elle était venue pour passer du temps avec Lara. Mais, la tentation était trop grande. Elle venait quand même de sortir d’un long transplanage avec son frère, autant dire qu’il n’était pas de tout repos lorsqu’on connaît Matthew. Se retournant une fois de plus vers William, elle ajouta avant de continuer : - « Oh et une petite douche ne serait pas de refus. Avec beaucoup de déodorant par la suite. » mais elle rajouta de nouveau « Demande à ta sœur, elle a de biens meilleurs goûts. » | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Sam 10 Juil - 12:25 |
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| William enleva son tee-shirt, non pour attiré le regard de Karly dont il n’avait même pas encore remarqué la présence mais parce qu’il avait trop chaud. Des gouttes de sueur ruisselait d’ailleurs sur son torse musclé qui aurait donné envie à plus d’une. Assis sur son balai dans les airs, il se sentait libre et pouvait parfois passait des heures entières en vol lorsqu’il était énervé. Rien de mieux que frappé quelque cognard pour redevenir soit même et évacuer la pression. Hors là il était plutôt calme et l’idée que Karly n’allait pas tarder à s’incruster d’avantage dans sa vie ne l’agaçait plus autant que quelque minute auparavant. Enfin jusqu'à ce qu’il pose sans le vouloir son regard sur elle, ce rendant compte qu’elle l’observait d’en bas et qu’elle était déjà arrivé. Il esquiva un sourire moqueur et fier avant de descendre en piquer et de faire un dérapage contrôlé juste devant elle, lui barrant la route, juste histoire de lui rappelait à quel point il était doué en Quidditch et figure. Contrairement à elle… Et oui parce que non seulement il devait la supporter parce que c’était la meilleure amie de sa sœur – a coup sûre Willara l’avait fait exprès – mais aussi parce qu’il était dans la même équipe de Quidditch. D’ailleurs en tant que batteur, William avait une certaine tendance à envoyer des cognards sur sa coéquipière. Semble erreur de trajectoire et difficulté à visé bien évidemment. Ce n’était en aucun cas une revanche personnelle. Bien évidemment… Quoiqu’il en soit William s’était relever, suffisant, et débordant d’arrogance et se mit à la hauteur de Karly alors qu’elle passait devant lui sans un sourire, ce qui l’amusa au plus haut point.
Karly - « C’est étrange, j’ai plus l’impression que tu as envie de parfaire ton bronzage que de t’entrainer sérieusement. C’est pas comme çà qu’ils te reprendront.
Il ne comprit pas de suite pourquoi elle lui disait ceci, et baissa alors le regard vers son torse nu en apercevant la trajectoire du regard de Karly. Un autre sourire amusait et fier naquit sur ses lèvre, avant qu’il observe de nouveau la jeun fille.
William – « Oh je vois » déclara-t-il avec un léger rire bref et moqueur tandis qu’il réalisait qu’elle le mater sans vergogne. « Tu sais c’est pas en m’insultant que tu va réduite ta culpabilité. » Elle ne semblait pas comprendre... « Tu t’en veux d’aimer ce que tu vois. Alors tu m’attaque mais je ne te ferais la joie de te répondre. Je vaux mieux que ça. » Fit-il avec suffisance. « Puis j’ai promis à Lara d’être sympa » avoua-t-il a regret avec un certain air bougon. « Donc… Bonjour Karly. Quel joie de te voir » rajouta-il avec un large sourire hypocrite en insistant bien sur le mots joie.
Elle le dépassa pour se dirigeait vers la maison et il leva légèrement les yeux au ciel avec un léger rire tellement il trouvait son attitude ridicule. Ce n’était pas en marchant devant qu’elle allait prouvait sa supériorité sur lui, une supériorité qui n’existait pas. Jamais elle ne serait à sa hauteur et il était persuadé que c’est ce qui l’énervé le plus. Ça et le fait qu’il était tout simplement parfait et beau comme un dieu. Elle se retourna alors vers lui et ne pût s’empêcher de lui lancer un pique qui le ravie plus qu’elle ne l’agaça.
Karly - « Oh et une petite douche ne serait pas de refus. Avec beaucoup de déodorant par la suite. Demande à ta sœur, elle a de biens meilleurs goûts. »
William – « Doit-je en conclure que tu as déjà sentit mon Parfum ? » demanda-t-il malicieux et provocateur. « Hum… je note. Et après tu iras encore me faire croire que je ne te plais pas. Qu’est-ce que tu peux être hypocrite ! » Déclara-t-il faussement indigner avant de dépasser Karly pour rejoindre Matthew. « Hey Salut » fit-il avec enthousiasme. « J’ai vu ton match mardi dernier contre les Ogres de Normandie. C’était… Waw ! Franchement la figure que t’a fait pour envoyer ce cognard et marquait ce panier à deux seconde de la fin… Waw ! C’était carrément du grand art ! »
Karly pouvait bien penser que William le faisait exprès pour l’agacer, il n’en était rien. La terre ne tournait quand même pas autour de Miss Princesse McGregor. Malheureusement pour elle bien évidemment. Le jeune Slayers était fan de Matthew et cela depuis un moment mais il n’avait pas eut l’occasion de lui parler, le jeune homme n’étant plus à Poudlard et ayant une diablesse pour sœur.
Ariane, la mère de William, avait aperçut son invité et son accompagnateur par la fenêtre de la cuisine et sortit donc pour les accueillir alors que Willara terminer le lit en haut et que Mélusine et Nymphadora jouait de l’autre côté du jardin. Quand à Orphée, la plus jeune, elle s’élança vers Karly en souriant, ravie d’avoir une invitée à la maison. C’était la plus spontané des Slayers et toujours prompt à vous prendre dans ses bras.
Trésor – « Bienvenue à la maison » dit-elle avec un sourire sincère. William – « … ou pas ! » rajouta-t-il alors qu’il passait devant les deux jeunes filles en compagnie de Matthews et continua de se diriger vers la maison comme si de rien n’était.
Les vacances promettaient d’être longues ! Et vous savez quoi ? Ce n’était que le début… | |
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194 Lun 12 Juil - 7:02 |
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| Reculant d’un pas, Karly soupira de lassitude. Et voilà, cinq secondes. Il avait seulement fallu cinq secondes pour qu’il l’agace. Pourquoi fallait-il qu’il lui coupe la route, hein ? Quelle attitude puérile. Merlin, heureusement que toute la famille n’était pas comme lui. Mais, malheureusement, William l’était bien assez pour tout un état. La suite le prouvait en image et en couleur.
- « Oh je vois. Tu sais c’est pas en m’insultant que tu va réduite ta culpabilité. » - « Ma quoi ? » Surprise, Karly venait de s’arrêter. En fronçant les sourcils, elle s’était tournée vers lui, ne comprenant pas en quoi sa culpabilité entrait en jeu. - « Tu t’en veux d’aimer ce que tu vois. Alors tu m’attaque mais je ne te ferais la joie de te répondre. Je vaux mieux que ça. Puis j’ai promis à Lara d’être sympa »
Non mais, elle ne le croyait pas là. C’était quoi cette histoire ? Comme si elle allait le relooker alors qu’elle venait d’arriver. Comme si il lui avait manqué. Pouah, finalement ce n’était pas le transplanage qui la rendait malade mais, lui. Cet être insignifiant qui pensait avoir tant d’importance dans sa vie. La seule place qu’il tenait était celle du chieur de servir. Il ne savait faire que çà. Aucune parole sympathique. Non, il n’y avait que cette arrogance suffisante qui prenait la place même au soleil. Comment pouvait-il être ainsi alors que toute sa famille était si adorable ? Il l’énervait tant. En réalité, elle ne comprenait comment autant de suffisance pouvait entrer dans une personne. C’était vrai quoi, il devait avoir la suffisance de trente personnes réunis. Finalement, elle avait pris la décision de passer son chemin. Elle n’était pas venue pour lui mais pour sa meilleure amie. Il suffisait tout simplement qu’elle l’évite pendant tout le long de son séjour. Quinze jours. Finalement, ca n’allait pas être un peu long ?!
- « Donc… Bonjour Karly. Quel joie de te voir » rajouta-t-il de cette voix si suffisante que finalement, elle ne pouvait pas partir comme çà, même en tentant de garder la tête haute. Faisant demi-tour, elle finit par affronter William de toute sa superbe. Non, les combats Slayers/McGregor n’étaient pas terminés et n’attendaient pas la rentrée. - « Oh et une petite douche ne serait pas de refus. Avec beaucoup de déodorant par la suite. Demande à ta sœur, elle a de biens meilleurs goûts. » - « Doit-je en conclure que tu as déjà sentit mon Parfum ? » demanda-t-il malicieux et provocateur. « Hum… je note. Et après tu iras encore me faire croire que je ne te plais pas. Qu’est-ce que tu peux être hypocrite ! » - « Rien de tout ceci. Il faut juste que tu arrêtes de croire que tu fais tomber toutes les filles seulement par ton parfum. Ca oui, elles tombent… mais plutôt d’asphyxie. Les pauvres… »
Non mais ce n’est pas vrai ?! Dites-lui qu’elle rêvait. Pire, qu’elle hallucine ?! Il l’a traitait d’hypocrite. Il osait la traiter de ce terme si odieux qu’elle pouvait autant haïr. Jalouse ? Parfois, bon d’accord elle l’était. Orgueilleuse ? Carrément. Têtue ? Assurément et malheureusement. Mais, c’était-il regardé cet idiot ? Pourquoi est-ce qu’il s’amusait autant à la faire sortir de ses gonds ? Elle avait vraiment due être odieuse dans une autre vie pour avoir mérité la présence de Slayers dans la sienne. Et le pire maintenant ? C’est qu’il se casait vers son frère comme si de rien n’était, en pavanant comme un paon. Fan ou non, cela avait le don de l’exaspérer. Encore plus que lorsque des groupies sans cervelle venaient le harceler en la regardant comme une intruse de bas étage. Hey pét****, je suis sa sœur ><’. Ne voulant pas observer ce spectacle navrant – après tout, Matthew restait son frère – Karly fit demi-tour en se dirigeant vers le pas de la porte tout en roulant des yeux. Ce type allait la tuer à force de jouer avec ses nerfs. Bouddha ou Merlin n’était pas suffisant ici. Seul un mauvais sortilège semblait la meilleure solution mais Karly n’avait pas vraiment envie de devenir une meurtrière à cause de cet imbécile. Heureusement, un petit ange passa. Une petite Orphée qui courait vers elle, les bras grands ouvert.
« Bienvenue à la maison » lui dit le petit bébé Slayers avec un immense sourire qui la fit fondre. Ce petit bout de chou était un ange. Un énorme sourire éclatant naquit alors sur ses lèvres. L’incident venait de partir en fumée de ses souvenirs. « Ouh, merci la puce ! » L’attrapant par la taille, elle tenta de la soulever mais n’arriva pas à la lever plus d’un mètre. « Ah, finalement un vrai câlin me ferait amplement plaisir ! Allez, viens dans mes bras. » La prenant dans ses bras, Karly lui fit un grand câlin en terminant par de menus chatouilles qui eurent le loisir de faire rire la petite Orphée. Oui, ainsi, elle se sentait vraiment la bienvenue malgré les mois d’enfer qu’elle avait fait vivre à ses proches et à elle-même en cure de désintox’ « … ou pas ! » répondit une voix désagréable près de son oreille. Non, décidément, le bonheur était bien loin. En tout cas, il venait sans aucun doute de s’envoler au loin tant que le seul mâle Slayers resterait dans le coin. Grand sourire hypocrite en direction de William. Alors, il voulait jouer ? Autant jouer à deux. Tout seul, c’est si ennuyeux. Afin de démarrer les hostilités, Karly entra une minute dans son jeu, passant auprès de lui, elle murmura à son tour : « Heureusement, c’est réciproque ! » Continuant sa route, elle arriva aux pieds des marches qui menaient à la maison, là où se trouvait la maitresse de maison, Ariane. Véritable sourire aux lèvres, Karly embrassa la mère de sa meilleure amie sur les joues tout en la saluant. « Bonjour Madame Slayers. Comment allez-vous ? »
Pendant ce temps, Matthew avait salué chaleureusement William d’une tape sur l’épaule en le remerciant pour ses compliments et lui promettant de l’amener au prochain match de Quidditch qui avait lieu d’ici une semaine. Arrivant près de la petite Orphée, il ébouriffa ses cheveux avec le sourire en lui disant bonjour. S’abaissant à sa hauteur, il prit un air étonné tout en passant sa main derrière son oreille et faisant apparaître une pièce. Bon d’accord, ce tour est fait et refait par bon nombre de personnes mais, il fait toujours naitre ce petit sourire en coin. Autant envers la personne a qui on jouait le tour que les personnes qui regardaient. Une fois le tour accompli, il déposa la pièce dans la petite main d’Orphée et un magnifique papillon éphémère apparut à la place. Ayant réussi à faire sourire la petite, il entreprit de saluer la mère des enfants Slayers de façon poli et aussi agréable que pour les autres, tour de magie en moins. « Bonjour Madame Slayers. Merci d’accueillir ma jeune sœur parmi vous. Je vous souhaite bien du courage. » lui dit-il avec un ton jonglant avec humour, bien qu’un brin d’honnêteté s’y trouvait. Prenant sur elle pour ne pas pincer le bras de son frère face à ce petit affront, Karly finit par poser la question primordiale : « Willara n’est pas là ? » Non parce que c’était quand même pour passer un peu de temps avec elle qu’elle était là. Et certainement pas pour ce crétin de William qui prenait un air si suffisant qu’on se demandait comment il pouvait sourire autant sans en avoir mal aux mâchoires. Les crampes ne devaient surement pas être loin. Ohh oui, les vacances promettaient d’être longues. Et dire qu’elle pensait que c’était bien plus relaxant et amusant de venir chez les Slayers (comme chaque année) que de rester chez elle, claustrée entre les règles de conduite et les anciens. Mais surtout, avec leurs regards abasourdis, voire limite honteux que leur petite fille soit descendue si bas dans leurs estimes qu’il serait difficile pour elle d’y remédier. Vivement la rentrée… quoique, elle n’avait pas encore affrontée Miss Grey, la directrice… | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Mar 13 Juil - 14:19 |
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| Ariane - Orphée - Willara - Melusine D’ordinaire c’était dans les bras de William qu’Orphée était toujours blotti. Le bébé de la maison comme tout le monde l’appeler, était sa préféré tout simplement parce qu’il voyait à sa façon de le regarder toute l’admiration qu’elle lui portait. Pour Orphée il n’était pas l’égoïste de Will qui l’empêcher de vivre sa vie et fréquenter des garçons comme pour Willara, mais le héro qui la protéger de ses imbécile de garçon même pas drôle, pour citer les mots de la petite fille. Aujourd’hui pourtant c’était dans les bras de Karly qu’elle riait, amusait par ses chatouilles. Elle aimait bien Karly malgré les histoires que Will lui racontait parfois sur son sujet pour l’endormir. Car oui malgré ses onze ans, son grand frère lui compter toujours des récits sortit de son imagination quand elle allait se coucher, un rituel qu’il gardait secret et il n’était pas rare que la vilaine Sorcière prenne le nom de Karly, pour le plus grand amusement de la petite.
Kaka - « Heureusement, c’est réciproque ! »
Il s’apprêtait à répliquer en la traitant de menteuse quand il aperçut sa mère guère loin de là et préféra s’abstenir, se contentant d’observer Karly la saluait.
Kaka - « Bonjour Madame Slayers. Comment allez-vous ? » Ariane - « Très bien Karly, c’est gentil. Et toi ? Tu as fait bon voyage j’espère ? »
Matthew était toujours aux côté de William et le remercia de ses compliments avec une tape amicale qu’il apprécia. De même que la promesse de l’emmener au prochain match. Il s’en réjouissait d’avance. Le jeune McGregor effectua ensuite un tour de magie qui amusait Orphée et William leva un léger sourcil suspect en apercevant une once de fascination dans le regard de sa petite sœur. Hum…moais… Il se promit se surveiller son journal de près. Elle était encore jeune mais sait-on jamais. Un coup de cœur est si vite arrivé…
Matt - « Bonjour Madame Slayers. Merci d’accueillir ma jeune sœur parmi vous. Je vous souhaite bien du courage. »
En réponse, la mère de famille eut un sourire amusé. A côté des chamailleries de Will et Lara, de l’indépendance de Nymphe ou encore des bêtises d’enfant d’Orphée, Willara allait sans doute lui faire pensée à un ange.
Ariane – « Bonjour Matthew. Il n’y a pas de quoi voyons. C’est toujours un plaisir et ne t’inquiète pas, j’ai une bonne expérience derrière moi, je ne pense pas à avoir à me faire du soucis avec Karly. Mais j’vous en prie rentrait. » Fit-elle avec un sourire accueillant.
Tout le monde se retrouva alors dans le hall d’entrée. Enfin tout le monde sauf Nymphadora et Mélusine qui étaient en haut avec Willara pour terminer de ranger la chambre. D’ailleurs…
Kaka - « Willara n’est pas là ? » Ariane – « Si bien sûr, elle… » Elle s’interrompus en voyant la tête de sa fille en haut de l’escalier qui affichait un air ravie. « Quand on parle du loup… »
Willara descendit alors les marches de l’escalier à la va vite en apercevant sa meilleure amie, et s’empressa de la prendre avec enthousiasme dans ses bras juste après avoir prononcé un « ooooooooooh tu es là !!!! » enjoué. Bien évidemment William ne pût s’empêcher de mimer Willara juste derrière elle, en articulant ses mots et secoua les mains d’un air qui se voulait nier. L’accolade des deux jeunes filles terminer, il fit évidemment comme si de rien n’était et afficha un sourire hypocrite quand sa sœur se retourna vers lui.
Lara – « Pourquoi tu m’as pas prévenu qu’elle était là ? » maugréa-t-elle en lui donna une légère tape sur l’épaule en pestant. Will – « Est-ce que j’ai l’air d’un hibou ? » grimaça-t-il comme si c’était évident. Ariane – « William soit gentil avec ta sœur. »
En réponse il poussa un léger grognement alors que Willara affichait un large sourire ravie de petite peste, satisfaite d’avoir le dessus.
« Oui m’man. » fit William avec un léger soupir et un demi sourire. « Bon j’monte. » rajouta-t-il en montant les marches quatre à quatre. « Ne cour pas dans l’escalier Will » « Woé woé » pût-on entendre d’en bas. Madame Slayers adressa un sourire à Karly. « Ne prête pas attention à William. Tu sais comme il est. Ça lui passera. »
Le jeune Slayers quand à lui s’était dirigé dans sa chambre non sans claquer la porte, au plus agacement de Willara qui avait poussé un soupir en entendant cela. Un vrai gamin, pensa-t-elle. Attrapant une BD sur son bureau, il s’allongea sur son lit et commença à la regardait. La porte de sa chambre s’ouvrit alors et une petite tête blonde apparut alors. Mélusine qui était dans la pièce d’à côté avec Nymphe avait entendu du bruit et n’avait pas pût s’empêcher de venir voir alors que l’autre jeune fille descendait dire bonjour.
Lucie – « William ? … Ça va ? » Demanda-t-elle inquiète. Will – « Woé woé » maugréa-t-il bougon sur un ton un brin agacer en continuant de feuilleter négligemment sa BD , ne levant même pas les yeux vers sa sœur.
Mais cette dernière qui le connaissait par cœur compris à son attitude détaché qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas et alla s’asseoir a côté de lui avec toute la douceur dont elle était capable.
Lucie – « Elle est toujours aussi jolie n’est-ce pas ? » demanda-t-elle sur un ton doux.
William se redressa alors et regarda sa sœur avec un léger sourire, ravie qu’elle devine et comprenne sans qu’il ait besoin de dire quoi que ce soit. Venant de Willara, il aurait pût mal prendre ces mots mais de la part de Mélusine c’était différent car la blondinette était la douceur incarné et savait deviner ce qu’il n’arrivait pas à exprimer.
William – « Toujours » avoua-t-il avec un sourire sincère et une lueur dans le regard.
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194 Jeu 15 Juil - 7:49 |
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| « Bonjour Madame Slayers. Comment allez-vous ? » « Très bien Karly, c’est gentil. Et toi ? Tu as fait bon voyage j’espère ? » « Assez bon voyage pour un transplanage, merci. »
Karly avait toujours apprécié la mère de William et Willara. Cette femme avait eu le courage d’élever ses enfants toute seule après la mort de son mari et n’importe qui connaissant les enfants Slayers savent que Madame Slayers avait beaucoup de courage et de noblesse. La tâche n’était pas des plus simples. Même Frolon résistant à l’anneau du Mal paraissait plus surmontable face aux jumeaux Slayers. Ses enfants étaient tous merveilleux dans leurs genres –enfin, du point de vue de la narratrice, bien entendu – mais les caractères réunis sous ce toit étaient multiples et souvent très explosifs. Incompatibles, en somme. Imaginez un peu : un vrai carnage. Les jumeaux avaient un si fort caractère qu’ils menaçaient de détruire la maison qu’avec leurs voix. Alors leurs pieds … Et puis, lorsque Karly se trouvait chez les Slayers, elle avait comme l’impression d’avoir retrouvé une partie de sa mère. C’était si bon d’avoir une présence féminine dans une maison. Chez les McGregor, elle était seule avec Esther. Autant dire un véritable chemin de bataille bien que la benjamine s’en sortait plutôt bien. Mais ici, elle était toujours surprise de trouver quelqu’un dans la cuisine lorsqu’elle descendait au petit matin. Ou alors quelqu’un qui vous donne quelques conseils avisées de façon détournée et qui ne vous demande pas où se trouve le balai ou le livre d’un autre. Matthew finit par arriver à ses côtés et Karly sourit tout en roulant des yeux face au spectacle avec la petite. Il sortait toujours les mêmes refrains qui ne marchaient plus avec Esther depuis belle lurette. Etrangement, il le faisait même sur les plus grandes.
« Bonjour Madame Slayers. Merci d’accueillir ma jeune sœur parmi vous. Je vous souhaite bien du courage. » « Bonjour Matthew. Il n’y a pas de quoi voyons. C’est toujours un plaisir et ne t’inquiète pas, j’ai une bonne expérience derrière moi, je ne pense pas à avoir à me faire du souci avec Karly. Mais j’vous en prie rentrait. »
Laissant un regard d’indignation face à son frère, Karly sourit chaleureusement à Madame Slayers en tentant d’ignorer cet affront frontal. Entrant dans la maison avant son frère, elle lui tira secrètement la langue tout en se détournant. Une fois entrée à l’intérieur, Karly avait fini par se demander où était passé sa meilleure amie. C’est quand même elle qu’elle était venue voir. Celle-ci ne se fit pas attendre très longtemps et finit par descendre en trombe en lui sautant finalement dans les bras.
« ooooooooooh tu es là !!!! »
Serrant sa meilleure amie dans ses bras, Karly avait fini par retrouver le sourire tout en sautillant de joie. Willara lui avait tellement manqué. La jeune fille était un véritable tourbillon qui était capable de l'accompagner partout... sauf sur un terrain de quidditch. Mais désormais, le Quidditch ne faisait plus parti de sa vie. Avec la cure de désintoxication, Karly avait renoncé à son ancien poste de capitaine, tout comme elle avait difficilement dit adieu à ce sport qu’elle chérissait tant. Elle ne pouvait plus. Les médicomages lui avaient dit qu’il fallait tenir éloignés tous les sujets d’anxiété qui pouvaient la surmener. Et puis, elle n’était pas partie bien longtemps mais suffisamment pour que ses amis ne lui manquent. Et surtout : pour qu’elle craigne son retour à Poudlard. Personne ne savait pour la cure mise à part sa famille, qu’elle n’avait pas vraiment revu depuis sa sortie, et Willara, qui l’avait trouvé au sol. Elles n’en avaient jamais parlé. A vrai dire, Karly avait eu peur que cela ne ternisse quelque chose. Après tout, elle le lui avait caché depuis si longtemps… En accueillant Willara, ce fut comme si rien n'existait autour d'elle et surtout pas les ennuis. Et pourtant... Rien ne semblait avoir changé. Les deux jeunes filles restaient les mêmes.
« Pourquoi tu m’as pas prévenu qu’elle était là ? » « Est-ce que j’ai l’air d’un hibou ? » « William soit gentil avec ta sœur. »
Non, rien n’avait changé… Vraiment rien. Etrangement, cela avait du bon de revenir ici…
Le 16 Avril
Première nuit chez les Slayers. Ayant dormi comme un véritable bébé, Karly s’était réveillée le sourire aux lèvres. Pas de prise de sang. Pas de murs blancs impeccables, à vous en donner la nausée. Pas de nurse qui est prévenu de votre réveil et vient voir comment s’est passé votre nuit. Juste le sentiment d’avoir bien dormi, dans un endroit où l’on se sent en sécurité. Protégée. Pour une fois, personne ne venait sauter sur son lit – en même temps, il était tout en haut, au-dessus de celui de Willara – et elle avait pu dormir tranquillement bien qu’elle n’avait pas beaucoup dormi. C’est hallucinant le nombre de ragots que Willara avait pu colporter. Et, tout en restant chez elle, elle avait réussi à flirter avec au moins deux à trois garçons sans se faire prendre par son frère ou sa mère. Et pourtant, quand on connaissait la famille Slayers, on savait qu’il était difficile de garder ses secrets pour soi. Sauf lorsqu’on lance un sortilège, ce qui n’avait été permis aux deux jeunes filles que depuis qu’elles avaient eu dix-sept ans et étaient devenues majeures. La grande joie ! Non, rien n’avait changé. Willara s’était mis un point d’honneur à raconter à Karly tout ce qu’elle avait manqué sans jamais avoir à parler de l’incident… et de ses longues conséquences. Elles n’en avaient pas parlé. Elles savaient toutes deux qu’elles allaient devoir engager ce sujet mais, comme dans un accord muet, elles retardaient ses aveux afin de mieux profiter. Oui, sa meilleure amie lui avait manqué.
Ne voulant réveiller personne, elle descendit discrètement l’échelle. Attrapant une serviette de bain et sa trousse, elle marcha sur la pointe des pieds comme si elle frôlait des œufs. Au moment où elle posa sa main sur la poignet de la porte, Willara émit un petit son. Se mordant la lèvre supérieure, elle rit sous cape face aux mots que maugrées sa meilleure amie. On aurait dit qu’elle revivait un charmant petit souvenir d’enfance entourée de myrtilles.
Sortant dans le couloir, Karly passa la tête par-dessus la balustrade afin de voir si quelqu’un se trouvait en bas. Ariane était dans la cuisine, comme toujours. Descendant lui dire bonjour, elle discuta quelques minutes avec elle et finit par lui annoncer qu’elle préférait aller prendre sa douche pendant que la guerre de la salle de bain n’était pas commencée. Riant quelques secondes avec elle, elle finit par lui fausser la compagnie en remontant afin de se réveiller un peu en vue d’affronter la journée. Mais, une journée chez les Slayers est toujours emplie de surprise. Après avoir eu confirmation après de Madame Slayers que la salle de bain était libre, elle y grimpa et faillit avoir la crise cardiaque de sa vie. Il lui avait suffit de tourner le poignet de la porte avant de lâcher un retentissant « Aaaaaaaaahhhhhh !! » trahissant sa surprise... et l’effroi.
Après avoir ouvert la porte, elle eut une vision. Enfin, pas une vision provoquée par une magie ancienne. Non, non juste… un truc qu’elle n’aurait pas du voir. Autant dire qu’elle n’était pas désagréable mais, Karly n’eut pas le temps de contempler qu’elle avait lâché un énorme cri de surprise tout en ouvrant la porte, fermant rapidement les yeux tout en les cachant avec ses mains – faisant tomber toutes ses affaires sur le sol - et se répétant pour elle-même : « Oh my god, je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. » et finissant par lâcher sous l’effet de la surprise et de la pression se transformant en colère : « Non mais c’est pas vrai !! Fermer à clé, tu connais pas ?!! Ou un écriteau, n’importe quoi pour signaler ta présence. Faut toujours que tu te fasses remarquer !!!!!!!»
Autant dire que cette situation était assez causasse et surtout, à mourir de rire pour les spectateurs mais nos protagonistes, quand pense-t-il ? Voyons Karly, ne te met pas en colère tout de suite, la bombe n’a pas encore été lâchée. De plus, le médicomage te l’a bien dit : il faut chasser tous les démons d’avant. Mais Docteur, comment fait-on lorsque le démon dort dans la chambre d’en face ?????? | |
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Jeu 15 Juil - 14:48 |
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| Un sourire ravie et satisfait trôner sur les lèvres de William. Il se retourna de l’autre côté du lit et poussa un léger son qui laisser un peu deviner à quoi il était en train de rêver… Des longs cheveux brun… Des yeux marron interagissant qui trahissait une forte personnalité… Un visage incroyablement beau… Il caressait sa joue avec tendresse tandis qu’il accomplissait cet acte d’amour que seul les adultes étaient capable et vous rendait plus proche encore de l’autre. Il le faisait sans vraiment se rendre compte de qui elle était, reconnaissant cette joue sans vraiment réaliser à qui elle appartenait. Il planta alors son regard dans le sien et l’observa, réalisant qui elle était... Karly !
William se réveilla en sursaut sous le choc et porta sa main à son cœur comme s’il avait peur qu’il se mette à exploser. Le souffle cour, tout transpirant et chaque parcelle de son corps tendu, il n’en revenait pas et resta là bouche bé. Traumatiser. « Oh l’horreur ! » s’exclama-il en clignant plusieurs fois des yeux pour être certain d’être réveillé. Il se frotta énergiquement les mains contre son visage pour chasser l’image de son rêve qui était toujours présente avant de pousser les couvertures. « Faut que j’prenne une douche froide. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Se débarrassant que ses vêtements, il ne tarda à se mettre sous l’eau froide. Il était tellement presser de purifier son corps souiller par ses songes qu’il n’avait même pas prit le temps de fermer la porte. De toute façon, Lara ne sera lever avant une bonne heure, et les trois autres savaient taper à la porte. Pas comme… « Aaaaaaaaaaah ». William eut un sursaut de surprise et par reflexe se contracta, cachant avec ses mains ce qu’il y avait à cacher avant de réaliser que l’intruse était Karly. Cette dernière c’était cacher les yeux avec ses mains mais ça ne l’empêcher pas de pester contre lui. « Ohhh, je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. » William eut un rire moqueur . « Arrêtes-tu en crève d’envie » ne pût-il s’empêcher de répondre juste pour la contredire. Dite lui blanc, il dira noir. « C’est trop difficile de tourner l’écriteau occupé ou faire à clé !! »« Et toi on ne t’a jamais appris à frapper ? Et Oh j’t’en prie. N’essaye pas de me faire croire que tu ne l’a pas fait exprès. » Maugréa- t-il. Autant dire qu’il n’était pas d’humeur. Ce qui le gêner vraiment et le rendait désagréable se n’était pas le fait qu’elle le surprenne nu. Non s’en en temps normal, il s’en aurait arrangé, n’ayant vraiment aucune pudeur avec son corps qu’il trouvait parfait. C’est vrai après tout, pourquoi aurait-il dût avoir honte alors que bien des hommes envier sa plastique d’Apollon ? Mais là la situation était différente. Il n’était pas seulement nu, il était nu avec quelque chose de droit qui n’aurait pas vraiment dût l’être ! Il ne savait pas si elle avait eut le temps de se rendre compte de son « petit soucis technique » dirons-nous, mais ça ne le ravissait pas des masses qu’elle sache pourquoi il avait eut besoin d’une douche froide d’aussi bonne heure. Surtout que tous ça c’était de sa faute ! Si elle ne dormait pas dans la chambre d’à côté il n’aurait sûrement pas rêvé de ça…
Il attrapa une serviette qui était pendu sous le côté et s’entoura avec, cachant se qu’il y avait à cacher. Baissant les yeux sur ses parties intimes, il se rendit compte que finalement le peu de temps qu’il avait passé sous l’eau avait suffit et qu’aucune bosse gênante ne le trahissait. Résultats il récupéra ses airs arrogant et sûr de lui, ne pouvant s’empêcher de provoquer Karly. « Tu sais… si tu voulais me voir nu, fallait le demander. Qui sait, je n’aurais peut-être dit non » affirma-t-il avec un air espiègle et amusé, haussant un sourcil plein de sous entendu, avant de lui sourire avec provocation. « C’est bon Miss Sainte-ni touche, tu peux enlever tes mains, j’suis couvert. » Il fit alors face à la glace et s’admira dans celle-là, ignorant la présence de Karly avant de se tournait vers elle avec arrogance. « J’crois qu’tu pourra repasser. J’en ait encore pour trèèèèèèèèèèèèèèès longtemps. » Un sourire fier, il rajouta encore quelque mots pour essayer de la faire déguerpir. « A moins bien sûr que tu souhaite prendre ta douche pendant que j’me coiffe. J’t’en prie » déclara-t-il en désignant la baignoire avec sa main. « Je serais curieux de voir ça. » | |
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Karly McGregorETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.
► MESSAGES : 194 Mar 27 Juil - 18:29 |
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| Les mains sur les yeux, Karly refusait catégoriquement de les enlever. Non, elle ne pouvait certainement pas les ouvrir. Imaginez-vous un peu ce qu’elle verrait ? Elle ne pouvait même pas espérer pouvoir effacer toutes ses visions, même si elle y allait avec de la javel ou une potion ultra puissante. Non, rien n’y ferait et elle ne pouvait pas se le permettre. Rester avec une vision du corps de William dans sa tête ne lui permettait pas envisageable. Après tout, elle le haïssait, elle ne pouvait quand même pas rêver de son corps ?! Elle n’était pas folle à ce point. Il fallait être complètement malade. « Ohhh, je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. Je ne veux pas voir. » Comme une petite fille prise sur le fait, elle se répétait cette simple phrase encore et encore, comme si tout allait pouvoir s’effacer. Mais, rien ne semblait y faire. Elle gardait en tête cette vision. Bon, elle n’allait pas dire horrible non plus, vu que cela se retrouverait à mentir mais, jamais elle ne l’avouerait, ni ne se l’avouerait. Et puis quoi encore. Brrrr, il fallait qu’elle arrête d’y penser. « Arrêtes-tu en crève d’envie » Oh bah voilà, elle qui voulait l’oublier. Il ne pouvait pas se la fermer parfois celui-là ? Quelqu’un devrait vraiment lui couper la langue, une bonne fois pour toute. C’était un enfoiré de première. Comment pouvait-il dire çà ? Et puis comment savait-il ? Ahh non, il ne faut jamais se l’avouer à soi-même sinon ca devient plus vrai. Décidément, la haine qu’elle ressentait envers William grandissait de plus en plus. Existait-il un plafond pour ce genre de sentiment ? Existait-il une touche reset ? Et si cette touche existait, aurait-elle le courage de le faire ? Après tout, ce n’est pas une Gryffondor qu’on surnommera la couarde !!
« Et toi on ne t’a jamais appris à frapper ? Et Oh j’t’en prie. N’essaye pas de me faire croire que tu ne l’a pas fait exprès. » Et voilà, il avait fallu qu’elle réponde. Il avait fallu qu’elle ouvre sa bouche et fasse fonctionner ses cordes vocales au lieu de se tourner et de partir en évitant de se cogner contre le plus de mur possible. Car oui, elle aurait gardé ses mains sur ses yeux jusqu’à être certaine d’être hors de portée.
« Comme si je pouvais imaginer que tu étais là. Même là, tu te prends encore pour le centre du monde. Et puis qu’est-ce que tu fiches, on gèle ici. »
Et puis, ca commençait à l’énerver d’avoir toujours ses mains posées sur ses yeux. Elle était comme à l’aveuglette sur un terrain miné. Elle ne pouvait pas faire un pas sans se retrouver à découvert face à l’ennemi. Et autant dire que l’ennemi n’était pas le jet d’eau malgré le fait qu’elle avait une peur bleu de l’eau et de ses grandes étendues d’eau. Non, il était bien plus dangereux que çà. Ca se trouve : il était bien plus dangereux que le kelpi. Brr, elle en frissonnait rien qu’en y pensant.
« Tu sais… si tu voulais me voir nu, fallait le demander. Qui sait, je n’aurais peut-être dit non. » « Oh pitié. Épargne-moi ce massacre. Qui te dit que moi, j’en ai envie ? Je préfère les véracrasses.» « C’est bon Miss Sainte-ni touche, tu peux enlever tes mains, j’suis couvert. »
Etrangement, Karly n’obéit pas. Lorsque l’on connaît William Alex Slayers depuis aussi longtemps qu’elle et qu’en prime, on a obtenu le récit de toutes ses mauvaises blagues de la part de ses sœurs, on arrive à ne plus croire à aucune des promesses ou des paroles de cet homme. On peut dire par choix. Lorsque plusieurs secondes passèrent, la curiosité commença à la tirailler. Après tout, que risquait-elle ? Au pire, elle le planterait avec… la brosse à dent tiens. C’était une bonne idée ? Le manque de sommeil se faisait vraiment ressentir dans l’esprit de la jeune fille qui rêvait que d’une seule chose : une bonne douche revigorante qui vous réveille doucement mais surement. Levant un doigt afin de vérifier si la voix était libre, elle finit par en relever un autre puis un troisième. Ce n’est qu’après avoir vérifié si la voix était libre qu’elle put enfin arrêter d’être aveugle et regagner une vue descente.
« J’crois qu’tu pourra repasser. J’en ai encore pour trèèèèèèèèèèèèèèès longtemps. » Levant les yeux au ciel, elle mit ses mains sur ses hanches tout en tirant la tronche. Première journée, première matinée et il la lui pourrissait déjà. Ce séjour promettait d’être long. Vraiment long. Comment çà pour « trèèèèèèèèèèèèèès longtemps ? » Levant un sourcil de façon sceptique, un sourire narquois naquit sur son visage bien que la petite plaisir qui venait de se passer lui avait donné plus une envie de meurtre que de rire. « Je savais bien que tu étais une vraie femmelette. Même moi, je suis plus rapide que toi. » Avec William Slayers, il n’y avait qu’une seule solution : jouer son sale petit jeu. Si vous ne vous prêtez pas au jeu, c’est lui qui vous embobinera. Mais, en jouant avec lui, vous risquez aussi de prendre la tête. Malheureusement, le jeu était bien dangereux et le pousser dans un ravin ferait trop de peine aux jeunes femmes Slayers. Si seulement cela n’était pas le cas… Mais, il continua sur sa lancée. « A moins bien sûr que tu souhaite prendre ta douche pendant que j’me coiffe. J’t’en prie » Le regardant d’une façon hébétée, Karly ne savait même pas si c’était du lard ou du cochon. Bien entendu, quand on connaît Will, on sait que cette proposition était réelle mais… c’était toujours difficile à le croire. Après tout, en passant tous ses étés ici, elle avait pu glaner quelques informations qu’elle se gardait sous le coude… mais qui étaient bien souvent inutilisables. Après tout, qui pourrait la croire quand on dit que William Slayers peut être un tant soit peu… humain. Brrr, ca fait froid dans le dos, çà. « Je serais curieux de voir ça. » Sa surenchère la fit grimacer. « T’es toujours qu'un sale con, Slayers. C'est pour çà que tu n'as que des greluches ! » rétorqua-t-elle lentement et calmement, en le regardant avec une once qui ressemblerait à si méprendre à du mépris. Non, elle avait décidé de ne pas entrer dans son petit jeu pour une fois. Mais… tiendra-t-elle ?
Rassemblant ses affaires qui étaient tombés au sol, elle se releva lentement alors qu’une porte s’ouvrit dans le couloir. La petite Orphée en sortait, un nounours en main et son petit poing frottant son œil en vu de se réveiller. Elle semblait avoir été sorti du lit un peu trop tôt. Après avoir regardé la petite, elle finit par se retourner vers William sans sourire. « Tu as de la chance que tes sœurs soient trop jeunes… » Sinon quoi, Karly ? Ca sentait le mauvais coup à plein nez mais, cela ne faisait qu’une seule journée qu’elle était. Ses nerfs pouvaient surement être contenus. Après tout, elle s’était reposée depuis plus d’un mois, elle pouvait bien tenter de se retenir quelques jours afin d’être bien élevée. Chaque été, elle tentait de tenir le plus longtemps possible au rang de jeune fille bien élevée mais heureusement, Ariane Slayers savait déjà que son caractère était plus fort que çà. La jeune femme ne lui avait jamais fait aucune remarque… bien qu’elle devait surement savoir combien de fois elle avait tenté de tuer son fils. Etrange femme mais admirable. Reculant d’un pas, elle fit demi-tour tout en regardant William du même regard pour finir par disparaître dans le couloir, donnant une petite tape sur la tête de la petite Orphée. Elle avait besoin de calme et de repos avant de devoir refaire face à cette crapule. Et surtout, éviter Willara. Elle savait lire en elle comme un livre ouvert, ce qui était fort désagréable. Aussi désagréable que son frère qui lui posait ouvertement ses questions et commentaires, sans ménagement. Oui, elle devait se reprendre avant de continuer cette première journée qui promettait d’être longue… Mais, aurait-elle le choix ??![/list][/justify]
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William Alex SlayersETUDIANT. ► 1e année de SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.
► MESSAGES : 420 Mer 15 Sep - 20:46 |
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| LE 17 avril Cela faisait maintenant trois jours que Karly était chez les Slayers et aucun meurtre n’avait était commis. Quand William envoyait des répliques cinglantes à Karly, Mélusine lui envoyait des regards amuser et discret et il ne pouvait s’empêcher de sourire en pensant qu’elle savait pourquoi il agissait ainsi. Willara était aux anges d’avoir sa meilleures amie à ses côté et repousser sans cesse Orphée qui était bien trop collante à son goût. La vie chez les Slayers était assez tranquille. Enfin… assez. Ce n’était pas non plus le calme plat. Il ne fallait pas trop rêver. Mais ce n’était pas l’apocalypse. Enfin pour l’instant… L’après midi de se jours là, Lara et Karly étaient parties vers la foret. La jeune Slayers s’était mise en tête de ramasser des baies sauvages pour faire un gâteau . « Alors soit c’est pour m’empoissonner, soit c’est pour avoir une excuse pour inviter le voisin dans le but de se le tapé » avait déclarait William. « Dans les deux cas, il en est pas question ! ». L’art et la manière d’empêcher sa sœur de respiré façon William. « Puis en plus si tu prend Karly avec toi elle risque de faire peur aux bêtes sauvages et d’vous attirait des ennuis » avait-il rajouté avec une certaine moquerie. Mais Willara ne l’avait pas écouté – comme d’habitude – et elle était sortit après avoir eut l’appui de leurs mère. Sale cafteuse ! Résultats les filles étaient revenues avec des piqures d’ortie. Enfin les filles… Non en fait que Karly car Lara avait eut peur qu’il y ait une bête sauvage dans les fourré. Merci William ! La jeune McGregor était alors monté prendre une douche alors que William farfouillait dans la cuisine. Il monta dans la chambre de sa sœur s’attendant à l’y trouvait pour lui donner quelque chose et ouvrit la porte. Mais son regard ne se posa pas sur Willara mais sur une Karly en sous-vêtements…. Il ne pût décoller les yeux de se qu’il voyait pendant plusieurs seconde tant il était fasciner et déglutit avec difficulté, avant que sans qu’il ne pût l’empêcher, le rouge lui monta alors au joue. Il s’empressa alors de se retournait quand il réalisa ce qu’il était en train de faire. Il n’avait pas le droit de la mater ainsi et se sentait idiot de rougir ainsi pour si peu. D’habitude il l’a provoqué toujours, l’invitant sans gêne dans son lit mais il l’affirmait sans vraiment de sérieux au fond. D’habitude il ne prenait pas vraiment de risque car il était certain qu’elle l’enverrait boulet. D’habitude il n’était pas timide face aux filles mais là en voyant Karly ainsi… Il n’avait jamais pensé la voir en sous-vêtements. Même en maillot, il ne l’avait jamais vu… Son cœur s’était compresser dans sa poitrine et il n’osait même plus regarder Karly, se trouvant débile tout à coup et ayant tout sauf l’air arrogant. Il lui faisait dos, se sentant comme un enfant qui aurait pris en faute pour un crime qui n’en était pas vraiment un. Il avait réellement reluqué Karly et non pour s’amuser ou la mettre en colère et ne savait plus vraiment comment réagir. William – « Je suis désolé » laissa-t-il échapper. Il ne s’excusait jamais et au fond il n’avait rien fait d’impardonnable. Pourtant ça avait était plus fort que lui. Il restait là, dos à elle, à regarder un point fixe sur le mur pour s’empêcher de se retourner, ce qui aurait était mal venu. William – « Je.. Euh… j ’étais venu donner un truc à Lara... J’pensais pas qu’tu sera là ».A tous les coups elle allait se moquer de lui, et il y avait de quoi. Rougir pour si peu, quel idiot ! Ce n’était quand pas comme s’il n’avait vu de femme de sa vie. Elle n’était même pas nu en plus, donc pas de quoi en faire une bierraubeurre . Mais il avait fallu qu’il se mette à rougir… Il tenait toujours dans sa main ce qu’il était venu donner à Willara. Qu’était-ce ? Une fiole contenant un baume. A quoi servait-il ? A apaiser les piqures d’orties…. | |
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| | | De longue vacances {Karly & Will} | |
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