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| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:19 |
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| OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi. | NOM : Mon nom de famille ? Mèlock. C’est un nom de famille Croate qui me vient de mon père décédé alors que j’étais jeune. Autant vous dire que je chéris mon nom de famille. Cela peut paraître un peu idiot mais après tout, on s’accroche à ce que l’on peut pour ne pas oublier son passé et sa famille n’est-ce pas ? PRENOM(S) : J’ai deux prénoms. Mon premier me fut donné par ma mère, il est anglais comme elle. C’est Autumn. Mon deuxième prénom est Svjeltana ( prononcer Svetlana sans prononcer le j ), croate, il me fut donné par mon père. C'est celui-ci qui est le plus usité par mes proches et surtout par ma mère. Enfin, depuis que mon père est mort, elle utilise un peu plus Autumn, comem si cela lui faisait mal de se rappeler de mon père. Sinon, c’est un peu mes nationalité mélangées en deux prénoms x]. AGE : Je suis née au petit matin d’un belle journée d’Automne ( mon nom le prédestinée peut-être ). Plus précisément le 13 Octobre 1993, et je suis donc Balance ( au cas où vous cherchiez mon horoscope et mon signe du zodiaque ). Je suis à priori âgée donc de 16 ans ( si je compte bien ) et je peut donc être élève à Poudlard. ORIGINE(S) : De part mon père, je suis Croate. Ma mère elle est Anglaise. J’ai donc deux origines, Croates et Anglaise. Autant vous dire que c’est un cocktail plutôt explosif et très énergique. PROFESSION : Elève ETAT CIVIL : Momentanément Célibataire.
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:19 |
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| OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler. Quelle forme prend votre Epouvantard ? Mon épouvantard prend la forme de l'assasin de mon père. Il est étrangement net pour quelqu'un qui ne provient que d'une photo de Moldu ( fixe donc ). Mais après tout, je ne pourrais jamais l'oublier. En tout cas, je n'ais jusqu'à présent jamais trouvé de Ridiculus qui me permette de m'en débarasser. Je le hais trop et en même temps, j'en ais trop peur. Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Mon père, ma mère et moi. enfin ensemble et heureux. Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Au paradis pour retrouver mon père ou en Croatie avec ma mère pour visiter mon pays et essayer de me retrouver avec ma mère. Quelle forme prend votre Patronus ? Une Panthère de Chine Quel est votre sortilège favori ? Avis : ce sortilège est vraiment sublime aux yeux de la jeune femme. Quoi de plus beau que celui-ci ? Inutile certes mais beau et gracieux comme la Magie elle même. Non vraiment, Autumn préfère Avis quoiqu'Aguamenti lui plaise bien aussi. Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Comme beaucoup d'autre personnes, c'est certainement Avada Kedavra qui lui fait le plus peur. Mais cela l'intrigue aussi. comment deux mots peuvent ils ôter la vie ? Juste terrifiant. Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Une immense fierté vis à vis de mon père décédé. C'était très important pour moi. Ainsi, je sais que mon père pourrait être fier de moi. Quelle forme de magie vous attire le plus ? Métamorphose & Potion Appréciez-vous la discipline ? Tout dépend du contexte dans laquel on l'utilise. Quelle est la pureté de votre sang ? Mon père est Moldu et ma mère Sorcière. Je suis donc une Sang-mêlé. PSEUDONYME, PRENOM : Marine alias Dii AGE : 17 printemps COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Euh j'sais plus comment je l'ais connu x]. Sinon, il a vraiment l'air bien. LE MOT DE LA FIN ? Bajour x] | |
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:20 |
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| OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent. « Tout commence au Hasard. La chance guide nos pas depuis toujours. » Tout commence le jour où un jeune homme Croate au teint basané et aux traits doux, engagé dans l’armée Anglaise, part en mission dans l’arrière pays pour de banales missions de vérification ( histoire de voir si les habitants peu civilisés de là-bas ne se tapent pas trop dessus ). Ces missions n’étant pas franchement excitante et prenante, autant vous dire que lui et ses dix neuf autres compagnons n’étaient pas vraiment joyeux de partir. Ce que le jeune homme Croate ne savait encore pas, c’est que sa vie allait basculer ce jour-ci. En effet, sitôt arrivés à leur base, les jeunes hommes encore fougueux à leur âge, décidèrent de s’entraîner au tir. Attrapant des fusils un peu au pif il faut l’avouer, ils érigèrent rapidement quelques cibles et se mirent en place pour tirer. Ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est qu’au bout de trois tirs, tous les gamins des alentours s’étaient rassemblés pour les voir. Et un particulièrement idiot mit l’un de ses amis de traverser le champ de tir. Poussé par l’orgueil et la honte s’il ne le faisait pas, le gamin sauta les barrières protectrices et se mit à courir en fermant les yeux, les balles sifflant à ses oreilles. Et bien que le chef de la section ordonna de cesser le tir dès qu’il vu l’enfant traverser, une balle toucha le gamin au flanc. Celui-ci s’écroula par terre tandis que les gamins qui étaient venu voir le spectacle s’éparpillèrent en courant comme des moineaux. Le premier à réagir ? Ce fut Josip, le jeune homme Croate, qui bondit pour se précipiter au chevet de l’enfant blessé. Etant l’infirmier de la section, il entreprit de suite de faire compression en appuyant comme un sourd sur la blessure pour endiguer l’hémorragie. Réclamant à grand cri une ambulance pour l’enfant qui lui filait entre les doigts, il remarqua du coin de l’œil un enfant qui n’avait pas fuit comme les autres et qui observait la scène d’un drôle de regard. Lui faisant signe d’approcher, comprimant les chairs déchiquetées par la balle, le jeune Croate ne daigna même pas relever la tête pour demander à l’enfant :
J- « Tou connais quelqu’un qui pourrrrait le guérrrrir ? »
Avec son fort accent Croate, il eut peur que l’enfant ne comprenne pas mais celui-ci hocha imperceptiblement de la tête avant de lui taper sur l’épaule. Josip finissait juste un bandage tampon relais sommaire lorsqu’il vit que l’enfant voulait qu’il le suive. Prenant l’enfant dans ses bras, Josip regarda autour de lui. Tout le monde s’activait mais aucun dans le bon sens. S’il comprenait bien ce que l’enfant tentait de lui faire comprendre par des gestes, la personne pouvant guérir le gamin n’était pas loin. Alors que l’ambulance ne pourrait arriver que dans presque une heure. Et dans une heure, Josip savait pertinemment que se serrait trop tard. Se décidant soudainement, le jeune Croate attrapa d’une main un talkie-walkie qu’il donna à l’enfant qu’il poussa ensuite en avant, tenant précautionneusement le gamin blessé dans ses bras. Suivant l’enfant qui courrait, le jeune homme d’à peine vingt ans ne pouvait plus rien faire d’autre que prier que la personne chez qui l’enfant le conduisait été performante. Après quarante seconde de marche accélérée pour ne pas trop bouger le blessé, le trio arriva devant une belle maison qui était pourtant étrange.
Mais Josip ne le remarqua même pas, tout attentionné qu’il était envers son blessé. Montant les marches quatre à quatre derrière l’enfant qui tambourina sans délicatesse à la porte, le jeune Croate inspira douloureusement. Il avait prit un point de côté après seulement trois pas et cela n’allait pas mieux. Mais il n’eut pas le temps de se lamenter plus que ça sur sa condition physique que déjà, la porte s’ouvrait sur une jeune Demoiselle aux longs cheveux roux comme les flammes encadrant son visage pâle. Son regard passa rapidement sur le visage de Josip avant de descendre vers l’enfant blesser. Fronçant les sourcils, elle se tourna vers l’enfant qui avait emmené Josip jusque là et se mit à lui parler dans une drôle de langue ( sûrement du Français ou tout autre langue Latine ). Il y eut un dialogue plutôt tumultueux pendant quelques secondes puis la jeune femme reposa son regard sur le jeune homme Croate qui sursauta sous tant d’ardeur et tant de détermination. Les yeux d’un vert pomme glissèrent pour se poser avec tendresse sur l’enfant blessé, quasiment à l’agonie.
D - « Entrez. »
Sursautant au son de la voix mélodieuse de la Demoiselle, le jeune homme la suivit sans poser de question et la suivit à travers un dédale de couloir et de pièces pour aboutir à une petite chambre d’un ton crème doux et rassurant. Désignant d’un geste de la main le lit, la demoiselle s’éclipsa rapidement. Déposant l’enfant blessé sur le lit, le jeune homme dégagea son front où quelques mèches rebelles avaient glissées. Restant ainsi, accroupit aux côtés du lit, Josip ne put s’empêcher de prier. Pour quelqu’un qui se disait non croyant, cela faisait beaucoup de prières en peu de temps non ? Tiré de ses pensées par la Demoiselle qui revenait, il se redressa d’un bond, la fixa d’un regard fixe. Contre toute attente, la demoiselle ne transportait aucun matériel spécifique à la médecine ou mieux, à la chirurgie. Craignant pour la vie de l’enfant, Josip allait parler quand la Demoiselle le coupa.
D - « Vous devriez partir. »
Stupéfaction.
J - « Ma, pourrquoi ? »
Il sembla à Josip que la demoiselle esquissait un petit sourire mais il n’y fit pas attention, écoutant plutôt avec attention ce qu’elle avait à lui dire. A vrai dire la Demoiselle rousse lui répondit en toute honnêteté ce qui étonna un peu Josip mais il ne dit rien, se contentant d’écouter avec attention.
D - « Vous pourriez ne pas apprécier et ne pas comprendre ce qui va se passer. »
Croisant les bras sur sa poitrine, Josip inspira à fond et fixa la jeune femme en silence, montrant qu’il était bien décidé à ne pas quitter le chevet de l’enfant. La demoiselle soupira longuement puis se retourna, comprenant que toute négociation était vaine. Sortant une sorte de petit bâton, elle s’approcha du lit et se mit à effectuer de drôle de geste avec ce bâton.
Nouvelle stupéfaction, voilà que la balle venait de sortir toute seule du corps de l’enfant et que déjà, les chairs, déchiquetées il y à peu, se ressoudées déjà. Les jambes sciées devant un tel spectacle, l’ambulancier de l’armée s’affala sur une chaise et se passa une main sur son visage, affichant une mine incrédule. Il régna un silence de plomb jusqu’à ce que la demoiselle se relève et soupire doucement, semblant tout à coup bien fatiguée. Se retournant, elle fit signe à Josip de la suivre et elle disparut par la porte. Se relevant, le jeune Croate jeta quand même une regard à l’enfant blessé. Plus la moindre trace de sang sur son flanc. Incrédule et croyant rêver, le croate rattrapa la rousse en courant pour cheminer à ses côtés en silence jusqu’à arriver à la cuisine où il s’affala devant une chaise. Bientôt, on posa sur la table devant lui une tasse fumante. Tisane très certainement. Enserrant le récipient de ses doigts, Josip s’aperçut que la rousse s’était assise en face de lui, tenant une tasse similaire. Pendant de longues minutes, ils s’observèrent en silence. Et pendant toutes ces minutes, Josip ne put s’empêcher de penser qu’il avait devant lui une sublime femme. Mais là n’était pas le problème, le problème étant plutôt : qu’était il advenue de la blessure de l’enfant ? Que c’était il passé ? Avant qu’il n’ai put répondre, la voix de la femme s’éleva.
D - « Je peux comprendre que cela chamboule votre vision du monde mais sachez tout de même que l’enfant est sauf grâce à vous et à votre réaction plus que rapide pour endiguer l’hémorragie. »
Répondant d’un vague signe de tête au compliment de la jeune femme, Josip garda les lèvres soudées, attendant la suite des évènements. Soupirant, la demoiselle lâcha doucement, comme dans un murmure :
D - « Vous avez assistez à de la magie monsieur … » J - « Josip. Josip Slavko Mèlock. » D - « Bien Monsieur Mèlock, ce que vous avez vu là est inoffensif et j’espère que je peux compter sur votre discrétion. La condition de sorcière n’est pas vraiment … » J - « Pouvez vous m’apprrendrrre ? »
Josip avait lancé ça comme ça, coupant la femme. Mais ce n’était pas irréfléchi. Lui aussi voulait pouvoir soigner les gens d’un claquement de doigt. Passé la surprise initiale, la demoiselle eut un beau sourire qui étira ses lèvres, la rendant encore plus belle. Et lorsqu’elle lui parla, Josip sut que c’est avec elle qu’il passerait sa vie.
D - « Vous apprendre non mais vous en montrer plus certainement ! »
Trois ans plus tard. L’affaire de l’enfant blessé a été classé. Au final, d’après le rapport officiel, l’enfant n’avait été qu’effleuré par la balle ( il n’y avait que deux témoins de l’accident proche : Josip et l’autre enfant ). Josip était toujours dans l’armée. La rousse Dorothy continuait à soigner et à faire des miracles. Seul différence dans leur vie : ils étaient désormais deux à faire le chemin côte à côte. Nous les retrouvons d’ailleurs à Scarborought. Josip et Dorothy étaient dans une petite chambre d’hôpital, recueillis autour d’un petit être nouveau né qui gigotait déjà bien et qui posais sur les deux êtres un regard sage et déjà bien vif. La jeune femme rousse avait un sourire éclatant sur les lèvres et Josip semblait être en adoration devant sa petite fille. Murmurant de douces paroles à leur enfant, le couple semblait tellement heureux. Sur le bracelet de naissance de la petite, on pouvait lire « Autumn Svjeltana Mèlock ». La petite fille aux doux yeux noisette doré serrait ses petits poings en fixant ses parents. Un peu comme le mélange de ceux-ci, elle promettait d’être toute belle et jolie plus tard.
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:21 |
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| « Un accident, une vengeance et tout s’écroule, famille et monde. La résistance et la détermination d’un homme n’est rien face à une balle. » D – « Svjeltana ! Ramène tes fesses et fissa ! » S – « J’arrrrive M’man dva secondes ! »
Dorothy ne put que lever les yeux au ciel en souriant en entendant l'accent de son enfant. Tout le portrait craché de son père. Autumn était certainement encore plongée dans l’une de ses livres de Magie. Cette petite semblait vraiment aimer cette partie d’elle-même. Être une sorcière ne la dérangeait aucunement. En même temps, elle ne savait rien des répressions qui pouvait exister vis-à-vis des Sorciers chez les Moldus. Il est vrai que son Moldu de père n’était pas un très bon exemple : passionné par la Magie, il n’avait pas de pouvoirs magiques mais restait incollable sur tout sujet traitant de près ou de loin à la Magie. S’asseyant à table pour attendre sa fille, Dorothy se mit à sourire dans le vide, repensant à la réaction plus qu’étrange de Josip, trois ans plus tôt, lors de leur rencontre. Il n’avait était nullement dégoûté ou effrayé par le fait que Dorothy soit une Sorcière. Au contraire.
Combien de fois lui avait il susurrer à l’oreille qu’il aimait sa Sorcière ? Et puis maintenant, la vie s’était parée de si belles couleurs. Ils avaient eut une fille pleine de vie et si belle. Autumn était une joie chaque jour qui passait, se montrant intelligente et vive et Dorothy n’avait qu’une hâte, qu’elle aille à Poudlard comme elle-même avant pour faire ses premiers pas dans le monde vraiment Magique. Quant à Josip, il avait eut une promotion et était maintenant Caporal en chef. Si fer. Il avait été si fier de recevoir cette promotion bien qu’elle comporte plus de risques et plus de responsabilités. Il arrivait néanmoins à se libérer chaque soir à 8 heures pour manger avec sa femme et sa fille. D’ailleurs il était quelque peu en retard aujourd’hui. Jetant un regard à la vieille horloge qui trônait dans la salle à manger, Dorothy vit qu’il était déjà 8 heures passé. La sorcière rousse fronça les sourcils, Josip n’était jamais en retard. Pas le soir. Alors qu’elle se levait, bien décidée à lui passer un coup de fil pour voir si elle faisait manger Autumn avant qu’il ne rentre, on frappa à la porte. Virevoltant sur ses appuis, Dorothy fronça encore plus des sourcils. Elle avait un mauvais pressentiment. Et ce n’était jamais bon. Son arrière arrière grande ma’ avait été une voyante de grand talent. Dorothy se fiait donc toujours à ses pressentiments. Se hâtant vers la porte d’entrée au fond du couloir, elle entendit un grand fracas au dessus de sa tête et vit soudainement sa fille débarouler des escaliers pour se ruer vers la porte.
S – « Tata je ! » ( C’est papa ! ) D – « Svjet’ ! Laisse-moi ouvrir ! » S – « Ma c’est Tata ! » D – « Svjet’ non ! »
Trop tard, la petite enfant de 6 ans venait d’ouvrir la porte. Mais au lieu du visage avenant de son père qu’elle aimait tant, il n’y avait qu’un visage froid et pâle comme la mort. Tandis que la petite reculait précipitamment, impressionnée par l’uniforme noir et plein de médaille et galons que l’inconnu portait sous un grand pardessus gris, Dorothy lut une grande tristesse et de la gêne sur le visage de celui-ci. Que se passait-il ? Par Merlin, où était Josip ? Protégeant sa fille en s’interposant entre elle et l’inconnu, la sorcière rousse s’approcha prudemment, restant tout de même à bonne distance de l’inconnu, l’observant d’un air interrogateur.
D – « Oui ? » P – « Bonjour Mme. Vous êtes bien Dorothy Glenna Mèlock ? » D – « C’est moi mais que ce passe-t-il ? Où est Josip ? » P – « Je suis le Sergent Paul Mayer Mme. J’ai … J’ai la dure responsabilité de vous apprendre que votre mari est décédé aujourd’hui. Il rentrait chez vous lorsqu’il s’est fait descendre sur la route dans sa voiture. Par … cet homme. » D – « … »
Trop hébétée pour bouger, la femme rousse resta immobile, laissant l’homme tendre une photo en noir et blanc. Svjeltana quand à elle se glissa entre les deux adultes pour prendre la photo des mains de l’homme en noir, oubliant toute prudence devant la détresse de sa mère. Regardant la photo, elle y vit un homme en jean et basket qui avait un sale regard. Bien que petite, elle lui voua de suite une haine tenace et en eut tout aussi extrêmement peur. Implicitement, elle comprenait que cet homme avait fait du mal à son papa. Mais tout cela était bien trop confus pour l’esprit d’une petite fille. Laissant tomber la photo par terre, elle se retourna sa maman et elle se colla contre ses jambes, fermant ses petits poings sur le lourd tissus de la jupe bordeaux. Levant les yeux vers ceux de sa mère qui semblait embrumé, elle lui demanda d’une petite voix ce qui la tracassait tandis que Dorothy s’essuyait les yeux pour revenir dans le présent. S – « Il est où Tata ? » D – « Ma chérie, moja ljubav, Papa est partit. Il est … partit. » S – « Ma il va rrrevenirrr pou manger ? » D – « Non ma chérie il ne reviendra pas. Il est partit voir Papi. » S – « … »
La petite enfant faisait marcher ses neurones, tentant de comprendre ce que sa mère ne faisait que sous entendre. La mort est un concept un peu flou pour les enfants. Ils pensent toujours que la personne morte va revenir, après tout, ils ne savent rien de la fragilité et de la folie des humains, on préfère leur cacher pour les protéger. Mais il est néanmoins plus simple de leur faire comprendre la mort d’un proche par son départ. Et le fait qu’il ne reviendra pas. Comprenant enfin qu’elle ne verrait plus son papa. Plus jamais, la petite explosa en sanglot tandis que sa mère la prenait dans ses bras pour la consoler, pleurant avec elle. C’était une nouvelle page de leur avenir qu’il allait falloir écrire. Un avenir sans le sourire et la douceur apaisante et rassurante de Josip. Seules toutes les deux. Embrassant le haut du crâne de sa fille, Dorothy se promit intérieurement de tout faire pour que sa fille soit heureuse et que Josip, d’où il était, soit fier d’elle. Elle deviendrait quelqu’un de bien. | |
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:22 |
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| « Devenir le jongleur, le faiseur de rêve de ma vie. Pour échapper à la grisaille du monde qui m’entoure. » 3 heures du matin dans une petite maison de banlieue plutôt chic et tranquille. Une fenêtre s’allume à l’étage. Une silhouette semble glisser jusqu’à’ la fenêtre pour l’ouvrir, laissant pénétrer l’air frais de la nuit dans sa chambre. Tandis que la silhouette humaine recule, une autre apparaît dans le carré de lumière. Pas humaine mais plutôt ailée. Etirant ses ailes avec paresse et envie, la chouette brune s’ébroue et plonge dans le vide, se rattrapant et remontant juste avant de percuter le sol. Remontant en flèche, elle donne deux coups d’aile, vire à droite et s’éloigne un peu, en quête de musaraignes ou autre petit rongeur qu’elle trouvera par centaine à la lisière de la ville. La silhouette humaine quant à elle, pas bien grande, s’est glissée à nouveau dans son lit, emmitouflée dans ses couvertures, un gros livre à la main plus qu’ancien. Les traits de la petite fille d’à peine dix ans sont tirés et elle semble être toujours fatiguée, toujours sur le qui vive. Ouvrant le livre, la jeune enfant s’y plonge avec délice, oubliant le temps d’une lecture ses soucis. Dix minutes plus tard, alors que Svjeltana lit toujours, on frappe doucement à sa porte et celle-ci s’ouvre, laissant entrer une femme magnifique. Rousse vêtue d’une chemise de nuit vert profond, la peau pâle et les traits tout aussi tirés que sa fille, Dorothy pose un regard inquiet sur sa fille qui n’a même pas levé la tête à son entrée, perdue dans sa lecture. S’approchant du lit, la sorcière s’assoit aux côtés de sa fille et dépose un baiser sur le haut de son crâne comme elle en a l’habitude. Sursautant, Autumn relève la tête et fixe sa mère d’un regard contrit. A l’heure q’il est, elle devrait dormir. Se justifiant, la jeune enfant referme le gros livre et le dépose avec précaution sur sa table de nuit.
S – « Ye n’arrriver pas à dorrrmirr et Vesna voulait sorritrr. » D – « Moi non plus mais il faut dormir Autumn. Demain c’est le grand jour et tu dois être en forme. » S – « Tou pense qu’il serrra fier de moi ? » D – « Bien sûr ! Tu es quelqu’un d’exceptionnel Autumn Svjeltana Mèlock et ton père est fier de toi. » S – « Ye deviendrrais oune dobar Sorcière, comme il le voulait. » D – « Ton père ne voulait que le meilleur pour toi moja ljubav. Il voulait aussi que tu trace ta propre route. » S – « … » D – « Quoique tu fasses, Josip serra fier de toi. Je suis fière de toi moja ljubav. »
Mère et fille s’étreignirent tandis que Vesna revenait, une musaraigne dans le bec. Se rendant à son perchoir d’un coup d’aile, la chouette passa par-dessus une grosse valise bouclée et qui semblait remplie. Après tout, il est vrai qu’Autumn partait le lendemain pour Poudlard pour sa première année. Et elle était si heureuse et a la fois si inquiète. Heureuse de marcher sur les traces de sa mère, heureuse d’intégrer enfin cette école, heureuse car c’était ce que son père avait toujours voulu pour elle, heureuse car elle allait enfin découvrir une multitude de chose qu’elle n’avait jusqu’à présent que lut dans les livres de sa mère et auxquelles elle avait rêvé. Mais néanmoins, Svjeltana avait peur de décevoir son père qui l’observait de là haut. Peur de décevoir sa mère, peur d’être déçue, peur de se montrer incapable, peur de se faire rejeter, peur d’être seule et surtout peur de tout rater. Emplie d’angoisse autant que d’excitation, voilà peut-être pourquoi la demoiselle n’arrivait pas à s’endormir. En même temps, cela faisait maintenant quatre ans qu’elle avait du mal à dormir. Car à chaque fois qu’elle fermait les yeux, l’image de son père en sang dans sa voiture et de son enterrement flottait dans le noir. | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 31 Aoû - 20:24 |
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| re validée Miss, vraiment désolée du dérangement. Tu es toujours à SERDAIGLERAVENCLAW { wear }ne t'inquiète pas pour ton rang je te le remets dès que j'ai fini deux ou trois trucs, ne t'embête pas à refaire la demande | |
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:26 |
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| Okay pas de soucis et merci. Je dois avouer que j'ai flippé en voyant que ça bugué le forum O_o ... J'me susi dit " Merde alors c'est trop con >< " Et puis j'suis allé voir ma boite Mail et j'ai compris x].
En tout cas y'a pas de soucis pour le rang prend ton temps, j'en profiterais peut-être pour le changer un petit peu ... ^^ | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 31 Aoû - 20:34 |
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| oki, merci de ta compréhension en tout cas. Forum Actif nous avait fait des bug en faisant leur mise à jour et ils n'ont pas l'air très pressés de les réparés donc voilà XD. | |
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InvitéInvité
Lun 31 Aoû - 20:49 |
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| Bah pas de soucis. J'avoue que parfois, Forumactif est trop chiant x]. Enfin bon courage à tout le Staff j'ai envie de vous dire ! =) | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING ► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431 Lun 31 Aoû - 23:56 |
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| Merci, là on a à peu près fini je pense. Je suis incorrigible, ça fait trois fois que j'oublie de te dire que ton personnage est éligible à un poste de préfète pour ta maison (ça ne veut pas dire que tu es obligée d'être préfète je te rassure mais on poste un message de ce genre pour tous les personnages qui selon nous cadrerait au rôle). | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 7:44 |
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| Et bien tout d'abord merci pour le rang et puis pour le poste de Préfète *__*. Ce serait mentir de dire que ça ne m'interesse pas x]. Donc s'il n'y a personne d'autre qui veuille le devenir chez les Serdaigle j'veux bien =D. Juste, faut poster quelque part en particulier pour demander à l'être or not ? | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 9:55 |
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| Non, non pas besoin de poster ailleurs que dans ta fille madame la préfète | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 10:02 |
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| D'accour, merci bien Mam'selle | |
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