Il ne devait pas négliger son corps. Il avait besoin d’exercice, il se vêtit alors d’une combinaison spécifique à la pratique d’art martial. Il prit soin également de prendre avec lui son mannequin d’entrainement qui n’était qu’un tronc de cuir avec différente protubérance rappelant les pieds et les jambes d’un individu. Il emmena également des sabres de bois et un vrai sabre. Une fois cela prêt, il prit la direction de la petite salle, cette salle qui est vide tout le long de l’année sauf au moment des répartitions. Son visage n’avait aucune expression aujourd’hui si ce n’est la concentration.

Il marchait si vite qu’il ne fit pas attention aux salutations des autres élèves, quand le jeune homme était dans cet état tout semblait t’invisible autour de lui. Une fois qu’il fut dans le hall, son gros sac sur le dos il regarda autour de lui, il ne souhaitait pas être suivit, il n’avait pas besoin des autres pour ces exercices. Il tourna à gauche et fit quelques pas avant de se retrouver devant la porte de la salle. Il l’ouvrit et s’engouffra à l’intérieur avant de refermer discrètement la porte devant lui.

Une fois à l’intérieur, il lança un fond sonore à l’aide de sa baguette, ce fond n’était qu’autre que la chanson Alejandro – Lady Gaga, mais cela incluait l’album entier. Et oui qui aurait cru que le jeune asiatique aimerait se genre de chanson ? Personne, cela faisait parti de ses secrets, même celui qu’il considérait comme son meilleur ami, Heath, n’était pas au courant de cela. Akira ne s’est jamais poser la question sur ce qu’il penserait s’il savait qu’il écoutait cela, et de toute manière c’était une chose dont il n’avait rien à faire, car on ne se dispute pas sur les goûts et les couleurs. Il l’a mit le plus bas qu’il pouvait pour ne pas être dérangé.

Une fois cela en route, il mit ses accessoires aux endroits voulus. Il était temps de s’y mettre, il s’échauffa pendant une dizaine de minutes et une fois cela terminer il s’attaqua au mannequin, au départ doucement, puis de plus en plus vite, si vite qu’il ne pouvait plus voir ses mains. Ensuite une fois cela fait, à l’aide de sa baguette il fit apparaître plusieurs objets à divers endroit, il devait les casser à la seule force de ses pieds ou de ses mains. Il en rata quelques une ce qui était tout à fait prévisible car il n’exceller pas encore dans cette technique mais cela aller changer avec de l’entraînement, et il recommença alors à donner des coups jusqu’à ce qu’il les est tous eu. Alors qu’il venait de terminer, il entendit du bruit comme un léger applaudissement, Akira calme et en presque en sueur, se retourna et salua.

« Bonjour à toi. Mais que fais-tu là ? tu n’as pas vu que c’était occupé ? »

Fit-il d’un ton calme alors qu’il prenait sa serviette pour s’essuyer le cou, il bu une gorgé de sa bouteille. Un sourire lui parcourra les lèvres lorsque la chanson suivante passa, c’était MONSTER-Lady gaga toujours. Il se posa à etter en tailleur et regarda l’intrus en souriant.

Il arrêta la musique avec le même instrument qui l’avait allumé, c’est à dire sa baguette. Il fût très étonné de voir que la personne qui l’observer n’était qu’autres que son professeur de métamorphose, matière dans laquelle il excellait, comme dans la plus part de celle qu’il étudiait d’ailleurs. C’est sur que cette dernière pouvait s’en foutre. Une fois qu’il fût assis, il la vit s’approchait, cette œil rouge et puissant, il s’est toujours demander comment elle avait eu ses yeux. Et ceux-ci lui rappelait une créature venant de l’enfer que tout le monde connaît, mais si vous voyez de qui je veux parler, lucifer, le diable, satan, peu importe le nom qu’on lui donne, mais c’est lui que lui rappeler cette femme, à la fois frêle et imposante.

« Avant non, mais maintenant oui, du moins si vous souhaitez vous entraîner avec moi ? »

Demanda-t-il alors en se relevant de sa position assise. Il s’approcha de l’un de ses sabres de bois, le relança avec son pied, celui-ci atterrissant dans sa main, puis il le lança à son professeur. Il serait marrant de voir un élève et son professeur se battre de façon égale, à main nue. Il eu un sourire en coin, ramassa le sien à l’aide de son pied. Première réglé de l’art martial, il ne faut jamais quitter son adversaire des yeux.

« Vous avez déjà pratiqué professeur ? Ou bien souhaitez vous que je vous en apprenne les bases avant de commencer le combat ? »

Il fit tournoyer son sabre si vite entre ses mains, qu’ils devinrent invisibles aux yeux d’Akira et de son professeur, il s’étonnait lui-même chaque jour de pouvoir le faire de plus en plus vite. Mais tout n’est que concentration et de symbiose entre l’élément et le guerrier. Il regarda son professeur, puis arrêta de faire tourner son sabre.

Il regarda son professeur dans les détails. Elle était habiller de façon plutôt lourde et les bottes qu’elle portait l’empêcherait d’avoir des mouvements fluide et concret, celui-ci n’étant pas un fourbe, pointa son sabre en direction de son professeur et tout en indiquant les bottes, lui lança d’un ton calme.

« Vous devriez retirer vos bottes. Il est préférable d’être léger pour pratiquer cet art. »

La salle était petite, l’hygrométrie de la pièce semblait diminuer petit à petit, il pinça alors légèrement la peau du dessus de sa main, et vit qu’il était temps de s’hydrater. Il prit sa bouteille et en bu une gorgée, une gorgée qui fut longue et sans interruption, le seul moment ou il retira sa bouteille de ses lèvres, lorsqu’il senti qu’il n’y avait plus rien dans la bouteille.

« Je vais vous faire une démonstration de ce que j’appel la symbiose. »

Il fit de la place autour de lui. Il joignait ses mains et se pieds pour plus de concentration, ferma les yeux une fraction de seconde, lança larme le plus haut qu’il put, il prit un nunchaku rouge et noir et commença à faire des prouesses avec celui-ci, lorsque soudain il s’arrêta fit un saut arrière, atterrissant sur ses pieds, puis levant le bras droit sur le côté, le sabre atterri entre ses doigts.

« Voilà ce qu’est la symbiose professeur. Voulez-vous essayer ? »

Il lui montra l’endroit où il se trouvait, l’invitant alors à tenter sa chance.

« Très bien professeur ! »

De toute façon la plupart des gens puent des pieds ce n’était pas un scoop, mais bon il se serait passer de se détail. Il regarda son professeur. Il avait terminé de faire sa démonstration, certes sa pouvait paraître comme un trou de passe-passe ou autre, mais il n’était pas professeur et ne savait donc pas comment faire pour montrer se genre de chose. D’ailleurs ses aïeux sont sûrement entrain de se retourner dans leur tombe voyant qu’il apprend les techniques ancestral de son pays à des personnes dont l’origine n’à rien avoir avec la sienne. Il regarda son professeur, il était très étonnait de la voir aussi mal se débrouiller.

« J’avoue que je suis déçu, je pensais que vous seriez meilleure. J’ai entendu parler de vos exploits, alors je me suis dit que j’aurais put tente de combattre contre quelqu’un qui aurait potentiellement mon niveau. »

Visiblement déçut, il reprit le sabre de son professeur qui était à terre, et le rangea avec l’autre dans le sac réserver à cet effet. Il fit apparaît une deuxième bouteille d’eau. Il en prit une gorgée, et la referma en la posant sur le sol. Il regarda de nouveau son professeur, elle paraissait plus petite que lui. Son regard s’arrêta sur ses yeux, il la regarda avec insistance, puis prit la parole.

« Excusez moi professeur, mais j’aimerais vous posez une question. »

Il réfléchit un instant, était ce réellement une question à poser à son professeur ? Pas vraiment, mais il devait étancher sa curiosité. Prenant une légère inspiration il se lança.

« Comment cela se fait il que vous ayez les yeux rouge ? »

Il ne s’approcha pas. D’un coup de baguette il rangea ses affaires. Il s’apprêtait à partir, car la question qui l’avait poser, le mettait un peu dans l’embarrant.

« Pardon, je ne voulais pas vous offensez. »

Il s’apprêtait à franchir la porte, lorsque quelque chose l’en empêcha. On le retenez par le poignet, mais lorsqu’il se tourna pour regarder, personne ne le tenait, il n’y avait que lui et son professeur qui était rester stoïque.

Les rires de son professeur n’étaient pas franchement des rires des plus amicaux. Mais il serait se contenir. Il regarde se main sur son poignet, son sac tombe au sol. Apparemment celle-ci était décidé à combattre le jeune homme. Il sait qu’elle a tué plusieurs personne, lui n’a jamais tué personne, mais il peut facilement mettre à terre n’importe qui, car il sait ou frapper. Mais il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer. Il retira alors ses chaussures, il était prêt, elle voulait combattre, ils combattraient.

« du chantage ?? J’aime ça. Le combat se fera à main nue professeur.

Il prit position sur le sol.

« En orient, ce que l’on apprend, c’est être maître de ses émotions afin de pouvoir combattre librement sans être aveuglé par la colère, l’orgueille ou le fait d’être sur de gagner, car dans un combat on ne sait jamais ce qui peut arriver, et qui ce laisse dominer par ses émotions à déjà perdu. »

Tout à coup le jeune homme eue chaud. D’un geste rapide, il enleva le haut de sa combinaison, laissant alors apparaître une musculature qui se voulait impressionnante pour son âge, elle n’était pas le fruit de nombreuses heures de musculation, mais seulement celui d’entraînement quotidien comme celui-ci.

Mais à peine eut il le temps d’enlever sa combinaison qu’il était déjà sur son professeur, il retenait face contre terre, le bras droit tordu sur son dos et le poignet tordu dans l’autre sens. Puis à l’aide de ses genoux il maintenait les siens. Il était aussi rapide qu’un guépard, qu’une panthère ou autre félin digne de se nom. Il se redressa tenant toujours son professeur par le poignet. Mais il ne voulait pas que le combat se termine aussi vite.

Il se retira en faisant un bon en arrière assez loin de son professeur pour que celle-ci ne puisse l’atteindre, il aurait le temps d’esquiver, il voit au ralentit chaque action à chacun de ses respirations.

Les coups ne cessaient de pleuvoir sur chacun de ses membres. Il était étonner de la voir monter si haut, elle était si petite, et lui si grand, par rapport à la taille de son professeur (il fait dans les 1m70 en pousse je sais pas comment on converti ^^ ‘) . Elle était rapide, et les coups qu’elle portait étaient pleins de force et de vigueur. Il n’avait pas sous estimé son adversaire, il n’avait pas encore mit en pratique ce qui l’avait apprit, il était donc temps pour lui. Il appréciait de pouvoir combattre avec quelqu’un, en effet la plupart en général on peur de se faire un bleu ou autre.

Heureusement pour lui, il récupérer plutôt vite, faisant un bond léger en arrière, il s’approcha de son professeur a nouveau. Et il parat l’un de ses coup avant de la frapper à l’aide de la paume de sa main dans le bas du ventre, enfin il roula part dessus le dos de son professeur avant de lui affligé un nouveau coup en direction du cou ou plus précisément de la carotide.

Tout à coup il ressentit une certaine douleur dans son pied, il ne l’avait pas remarquer, mais une emprunte était dessinée, celle d’une botte. Il n’était pas casser, mais à l’aide d’une main libre il l’épousseta légèrement. Il gardait un œil sur son professeur, leur combat avait l’aspect d’une danse africaine ou autre, de l’extérieur sa devait être très intéressant à voir.

Il bondit alors à nouveau sur le professeur et lui donna un coup dans l’arrière des genoux, ce coup avait pour effet de faire tomber l’adversaire au sol.

A peine avait il reprit son souffle que son professeur lui flanquât un coup dans le nez, celui-ci ne se brisa pas, mais se mit à saigner. Il posa sa main sur celui-ci, sa main fût recouverte de sang, il posa vite fait un mouchoir dans celui-ci. Il but une gorgée d’eau, une fois qu’il fût a nouveau d’attaque il se mit a nouveau en position de combat. Il savait pertinemment qu’il ne gagnerait pas contre elle. Elle avait beaucoup plus d’expérience en matière de combat. Il apprenait beaucoup d’elle.

Le jeune homme une fois prêt, Fit un saut en l’air, et dirigea ses jambes en direction du cou de son professeur dans l’intention de le lui attraper, pour la faire rouler sur le sol. Mais il l’avait sous estimer, il était bien plus rapide qu’elle, toute sa vie on lui avait fait croire que l’art martial était un sport qui permettait rapidité et agilité mais voyant son professeur, il prit conscience que les autres technique de combat était tout aussi bien et tout aussi rapide.

Mais au moment ou il aller atteindre le cou de son professeur il tomba au sol. Il se frotta alors douloureusement le derrière puis se releva difficilement, il boitiller légèrement. Un sourire léger se dessina alors sur ses lèvres, il était temps d’arrêter le combat. Le jeune homme n’était pas un mauvais perdant et il savait reconnaître une défaite quand il en voyait une.

Il s’approcha donc de son professeur d’un pas calme et la regarda un instant dans les yeux.

« Et bien je crois que je ne serais pas pourquoi vos yeux son rouge professeur, car vous avez gagner ce combat. En tout cas j’ai était ravi de combattre contre vous, j’ai beaucoup apprit. »

Il se pencha vers l’avant, effectuant alors un salut japonais qui se fait avant et après le combat.

Le jeune homme qui se senti épuisé par ce combat et s’assit sur le banc de bois qui était à proximité de lui. Il regardait son professeur d’un air admiratif, elle était en pleine forme, il eu un sourire pour lui-même. Il se sentait quelque peu atteint dans son orgueil mais il n’était pas mauvais perdant.

« Je suis ravi que vous ayez apprit quelque chose professeur, s’était un honneur pour moi de combattre contre vous. »

Comme il avait perdu, il pensait qu’il ne serait jamais pourquoi ses yeux étaient aussi rouges et flamboyant, mais à sa grande surprise, elle lui révéla. C’était donc ça, c’était dans ses gènes, c’était quelque chose de rare, il n’avait jamais vu d’individu aux yeux rouges. Il lui souria, puis ses yeux se posèrent sur sa main pleine de sang, il fouilla alors dans son sac et en sortit un mouchoir immaculé, il se leva et marcha vers son professeur, puis tout en lui tendant son mouchoir il lui dit.

« Tenez professeur, c’est pour vous essuyez les mains. »

Elle prit alors la parole, lui montrer son style ? Mais n’était ce pas ce qu’il venait de faire, dans le doute le jeune homme lui demanda.

« Mais n’est ce pas ce que nous venons de faire professeur Sampiero ? »

Il resta debout scrutant le visage de son professeur, il songea alors qu’elle avait une idée en tête vu l’expression de son visage, mais qu’est ce que ça pouvait être ? Aucune idée, mais il ne fit pas part de son interrogation, il songeât qu’il le verrait sûrement bien assez tôt. Puis il vit un sourire se dessinait sur le visage de cette dernière, ce n’était pas se genre de sourire sadique ou mesquin qu’on peut voir souvent, mais plutôt un sourire sincère et honnête qu’il lui rendu aussitôt.