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PROFIL & INFORMATIONS









Abaddon M. Van Hellsing

Abaddon M. Van Hellsing
PROFESSEUR de sortilège.
► Dr de Serd. & Adjointe


► MESSAGES : 181
Like a shadow. #Mer 3 Mar - 21:42





Abaddon est calme. Très.
Il sort à peine de Sainte Mangouste. Les jumelles encore endormies... Elles ne vont pas bien. C'est le diagnostic. Il ne sait pas si il doit les prendre en pitié après qu'elles aient laissé entrer les mangemorts dans le château, mais Abaddon n'est pas assez humain pour convenir qu'il faut les châtier. L'erreur est humaine. Certes, elles ne le sont pas, mais... ne l'étaient elles pas? Elles ont changé de clan. Faute avouée, faute à moitié pardonnée. On ne pouvait décidément pas leur en vouloir d'avoir cru bien faire, et de s'être rendu compte que non. Aussi tard cela fut. Après tout, il y avait eut deux entrées à Poudlard. Une en moins n'aurait rien changer. Il balaye du regard la ruelle. Rien. Vide. C'est bien. Il n'aime pas les foules. Il les trouve étouffante. C'est sans doute ridicule, mais ça l'étouffe. Ça le fait se sentir tout drôle. Il remet finalement en place ses gants et avance doucement dans la ruelle, d'un air de rien. Si on croise Abaddon, on ne peut rien en dire. Il a un visage neutre. Il est grand. Très grand, et très mince également. Il est noble, ça se voit à sa figure, à ses vêtements. Il porte un pantalon noir, en jeans visiblement, ainsi qu'une chemise et un veston par dessus. Gris, puis noir. Une cravate noir sied à sa gorge. Enfin, sur ses épaules, sa longue redingote noire, serrée à la taille, accentuant cet effet de taille. Abaddon fait un mètre quatre vingt dix huit. C'est un géant pour son époque, sa race. Pour sa femme qui ne fait qu'un mètre soixante douze. Sa femme qui est loin à ce moment. Il regarde l'heure, et se dit qu'il était déjà assez tard pour que Solomon dorme seul, dans le grand lit. Il est pris de cauchemar. Souvent. Et il tremble la nuit, dans son lit.

Abaddon avance, dans le silence et le calme le plus complet et le plus plat. Il n'a pas besoin de s'agiter. C'est quelqu'un de droit. Ça se voit. Aussi il s'avance, regarde aux alentours. Il guette, car depuis que le Poète est libéré, il y a des démons dans les rues. Les plus petits ne sont pas dangereux. Mais visiblement, il n'y en a pas que des petits. Il y a deux jours, il a croisé un dragon-démon qui a bien fallu lui arracher les deux bras. Il a transplané avant. Mais n'empêche qu'il s'en ait fallu de peu...

Finalement il tourne à droite, s'engouffre dans la ruelle. Avance. Au bout de la petite ruelle, il y a une silhouette, fine et haute à la fois. Pas aussi grande que lui cependant. Mais la silhouette ne bouge pas. Elle reste là, plantée au milieu de la rue, et n'avance pas. Qu'est-ce qui... ? Abaddon hausse un sourcil et s'approche, plus doucement. Il est prudent. Il ne faudrait pas que Rufus le perde, lui.

« … Vous avez un problème? Vous avez besoin d'aide? »

Abaddon, sa voix qui chantonne presque. Cette voix claire. Elle n'a rien de menaçante. Mais quand le visage se tourne doucement vers lui, il s'arrête et se crispe violemment. Non... non. Il est... mort.












Anonymous

Invité
Invité

Like a shadow. #Jeu 4 Mar - 12:19


    Je brûles, je brûles de l'intérieur tous les jours que dieu fait. Mais est-ce qu'il y a vraiment un dieu quelque part? Est-ce que ce tyran ma vu mourir le jour de mon mariage ? N'aurait-il pas pu me laisser embrasser la mariée avant son jugement finale ? Etait-ce trop demander, était-je trop tourmenter pour être épargner...

    Si l'on meurt avec une rage immense restons-en vie pour se venger? Je n'ai jamais pu expliquer pourquoi je me suis réveiller dans ma tombe mais tout ce que je sais c'est que je devais servir quelqu'un, un poète. J'étais une sorte de clef... Cela voulait-il dire que j'étais important aux yeux de quelqu'un ?

    Parfois je déambulait dans les rues, n'importes lesquelles à la rechercher de quelqu'un ou quelque chose a effrayer. Quelqu'un a brûler peut-être ? Lui faire ressentir tout ce que j'endure depuis des années, le feu qui brûle dans ma tête, dans mon coeur -bien qu'il paraitrais que je n'en ai jamais eu-

    J'attirais le mal, même les corbeaux venaient se nicher sur mon épaule et il ne m'aurais pas étonner qu'une autre bestioles des enfers s'approche de moi sans craintes. Je m'arrêta dans une petite ruelle donnant sur un cul de sac, une ruelle très sombre comme moi. Je ne sais ce qui me poussa à rester planté là, attendant que quelque chose se passe ou peut-être que quelqu'un arrive. De dos, j'entendis une voix m'appeler.

    « … Vous avez un problème? Vous avez besoin d'aide? »

    Je retourna doucement les talons vers la voix lointaine et aperçu un homme; de grande taille affichant un air crispé. Je souris puis pris la parole comme le murmure du diable se glisserais à son oreille.

    - De l'aide? Personnes ne m'en a donner lorsque je suis mort, pourquoi voudrais tu que j'ai besoin d'aide aujourd'hui?









Abaddon M. Van Hellsing

Abaddon M. Van Hellsing
PROFESSEUR de sortilège.
► Dr de Serd. & Adjointe


► MESSAGES : 181
Like a shadow. #Sam 6 Mar - 2:23





Abaddon était quelqu'un de bien. Il avait toujours été droit, et on disait de lui qu'il était une âme qui n'avait jamais pêché. Sans doute était-ce vrai. Car Abaddon n'était pas humain. Il était bon, jusque dans l'âme, car son âme était lumineuse. Elle n'avait rien de neutre. Elle était profondément bonne, dans la logique la plus pragmatique et la plus légitime possible. Il arqua un sourcil, pourtant, plus vraiment sûr de ce qu'il faisait. Il doutait. Il doutait, et il croisait cet homme dans la rue. Que faisait-il ici? L'alchimiste pencha doucement la tête. Ce n'était pas vraiment raisonnable de rester ici, en pleine nuit. Comme s'il ne s'était jamais rien passé ci-bas.

« … Vous avez un problème? Vous avez besoin d'aide? »

La personne se retourna. Lentement. Le visage était si... familier. Les yeux d'Abaddon s'écarquillèrent. Il n'avait pas peur. Ce n'était pas un sentiment qui pouvait le frapper. La seule chose qu'il avait, à ce moment là, c'était l'étonnement. Le plus grand étonnement du monde. Ce n'était pas possible. Il était mort. Il le savait. Il avait entendu Lilith le lui raconter, et il n'oubliait jamais rien. Rufus aussi, le lui avait raconté. Cette triste histoire. L'âme legilimens se bloqua dans le corps de l'homme, au corps longiligne. À ce moment là, Abaddon ne comprenait plus. Et ce n'était pas concevable.

« De l'aide? Personnes ne m'en a donner lorsque je suis mort, pourquoi voudrais tu que j'ai besoin d'aide aujourd'hui? » Le souffle coupé. Abaddon n'en revenait pas.
« Lucius? … tu es … un des démons? »

Le Poète avait même recruté dans les défunts de l'époque pas si lointaine que ça? C'était cruel. Si Lilith l'apprenait... L'esprit d'Abaddon s'était contracté au fond de son corps, et elle brûlait sans le savoir, d'une curiosité morbide et normale à la fois. Lucius était là pour se venger. C'était pour ça qu'il était ressortit. Mais se venger de quoi? Et de qui surtout? Abaddon le regarda. Il ne savait pas s'il devait le craindre – comme un ennemi – ou tout simplement le considérer comme un homme comme un autre. Un homme qui avait brûlé son âme jusqu'à tomber en enfer. Sans passer par aucun jugement. Abaddon n'en revenait pas. Lui qui était une âme des plus pures se retrouvait face à l'une des âmes les plus noires.

« Lilith sait que tu es revenu? … c'est … comment? »

Il n'en revenait pas. Comment aurait-il pu, après tout? Il voyait devant lui une légende des plus funestes. Sans doute la plus tragique qu'il est entendu, aussi.












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