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| | Le seul mouton qui dansait dans la vallée a fini dans la gueule du loup |  |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181
 Dim 24 Oct - 17:58 |
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| Son travail l’emmerdait. Les gens faisaient exprès pour l’énerver. Ils s’étaient passé le mot. Il en était certain. Adonis détestait son travail lorsqu’il fallait faire son appréciation de livre. Les gens ne le croyaient jamais. Il n’était pas un menteur. Il ne pouvait mentir sur les appréciations des autres. Il conseillait des livres, mais ne le traitez surtout pas de menteur, car il ne pouvait mentir sur ça. Adonis perdait son temps à tenter de convaincre d’acheter ce livre. Les gens étaient des petits fouineurs qui ne savaient pas ce qu’ils voulaient. Ils cherchaient à avoir de l’aide pour se choisir un livre de qualité. Il pouvait bien donner son avis, mais tout dépendait des goûts que l’on avait pour la lecture. Il pouvait parler de tous les livres qu’il avait reçu en un mois, mais les gens étaient entêtés de vouloir lui faire perdre le cap. Il était impulsif et complètement fou. Agir différemment lui était difficile. Il se retenait de ne pas les envoyer chier. Un par un en lui crachant au visage toute sa rage. Oui, il était énervé. Ce n’était pas la faute de tous les clients de la librairie, mais il y avait beaucoup de sa vie privée. Il s’ennuyait de ses frères et de sa sœur. Il ne voulait pas retourner à Poudlard. Il savait comment Maëlan l’attendait. Il l’attendait avec son poing fermé prêt à s’abattre sur son visage. Il préférait rester loin. Il préférait faire semblant d’être mort, même si tout le monde savait qu’il se cachait à quelques parts. Puis, il y avait Maëlys enfermé chez lui à ne rien faire de ses journées. Il était frustré qu’elle ne l’aime pas. Il rêvait qu’elle et Avril ne forment qu’un. Il rêvait de posséder les deux. Il était étrange de constater qu’il voulait les dominer d’une certaine manière, mais l’amour qu’il éprouvait pour elles le dominait totalement. Elle pouvait le tuer avec des paroles qui l’atteindraient droit au cœur. Elles pouvaient le détruire. Il se la jouait dur, mais au fond… il était fragile. Il était l’un des maillons faibles des Dashwood. Il était un peu comme Jude et Indiana. Il était faible. Il vivait tellement dans le passé qu’il en perdait le nord. Il était frustré. Il était si frustré qu’il était devenu impitoyable. Il était fou. Il quitta finalement le travail avec la rage qui bouillonnait. Il était prêt à exploser à la moindre minute. Il ne devait pas. Il ne devait pas faire peur à Maëlys en rentrant à la maison. Elle était déjà effrayée par l’idée d’être prise avec lui. Il avait fermé la boutique puisque c’était lui qui finissait le dernier. Il était aux alentours de dix-huit heures et trente minutes. Il avait pris trente minutes pour faire son clause. Malheureusement, il n’était pas prêt à rentrer à l’appartement. Il devait effectuer quelques commissions pour pouvoir rentrer. Il devait aller chercher de la nourriture, mais avant il devait se calmer pour ne pas tout briser ce qu’il avait réussi à bâtir avec la jeune femme qui avait beaucoup moins peur de lui qu’auparavant. Il ferma la porte derrière lui. Il la verrouilla et commença à marcher vers un petit marché local pour ramener quelques aliments pour remplir son ventre et celui de sa victime. Il marcha quelques temps jusqu’à temps où il vit une tête blonde qu’Il connaissait. Il eut deux impressions totalement différentes. Il devait la voir et tenter d’obtenir quelques choses d’elle ou de se sauver pour ne pas qu’elle donne de ses nouvelle à sa famille. Il décida de s’approcher d’elle. Elle était seule. Le moment parfait pour lui dire des obscénités pour un jour l’obtenir peut-être qui sait dans le lit. Il prit son poignet rapidement et l’entraîna dans une ruelle. « Alors que deviens-tu Ana ? On se balade seule ? Sans escorte ? Sans ton horrible mère ? » sourire méchant. Il posait ses yeux sur elle la dévorant complètement des yeux. Il osa glisser sa main tout au de son bras en le caressant. Il la coinçait contre le mur. L’obligeant à être gentille. « Moi, je veux bien profiter… Ou profiter de toi. Tu choisis la manière… que tu veux l’entende. » Il lui donna un baiser sur le front pour ne pas lui sauter complètement dessus. | |
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InvitéInvité
Dim 24 Oct - 19:41 |
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| Si tu vas sur le Chemin de Traverse, tu y vas avec Kiril. C’est ce que sa mère lui avait dit, lorsqu’elle avait annoncé son envie de se promener, et que Zelig n’était pas avec elle. Ana avait alors fait la moue et décidé que oui, elle l’écouterait. Les vacances se déroulaient dans une certaine autonomie et les deux jumeaux étaient seuls à la maison et tout deux s’ennuyaient fortement. Lorsque Kiril eu décidé de se rendre à une fête, la jolie blonde ne trouva que le Chemin de Traverse comme lieu de promenade. Soit. C’était sans doute étrange mais c’était un endroit qu’elle affectionnait particulièrement.
Donc lorsque son frère partit de la maison, Ana habilla une simple tunique grise accompagnée par un sac et des bottes à talons camel. Elle avait une simple poche sur le côté où elle glissa sa baguette magique. Elle marcha dans les longues ruelles de Londres et arriva au pub qui lui permettait d’accéder au Chemin. La jolie blonde déambula dans les ruelles, et chercha des bonbons magiques pour son frère, tout en se demandant si s’acheter un hibou ou une chouette ne lui serait pas fort utile. Elle s’arrêta donc quelques minutes et observa les différents plumages des animaux avec un petit sourire en coin, puis finalement se détourna pour aller vers une librairie… Quelle bonne Serdaigle, érudit jusqu’au bout ! Finalement elle se détourna et commença à marcher en silence, son sac contre elle.
Alors qu’elle arrivait au niveau du Glacier, elle sentit une main sur son bras et qu’on la tirait. Elle poussa un cri, mais elle se retrouva rapidement plaqué contre un mur et là… Elle resta bouche bée. Elle venait de tomber nez à nez avec Adonis. Adonis qui avait quitté Poudlard, Adonis qui passait pour mort, Adonis… Adonis qui n’avait pas changé son sale caractère. Que voulait-il ?! Et finalement il parla, mais à ses yeux, il aurait mieux fait de se taire.
Adonis – « Alors que deviens-tu Ana ? On se balade seule ? Sans escorte ? Sans ton horrible mère ? » siffla-t-il entre ses dents.
Ana – « Je t’interdis de traiter ma mère comme ça, Adonis ! »
Elle essaya de se dégager mais l’emprise du jeune Dashwood était puissante. Elle aurait voulu arracher son bras à cette caresse, et le dégoût passa sur son visage. Elle fronça légèrement les sourcils avant de le pousser légèrement. Mais rien à faire. Sa force de jeune femme ne pouvait rien, apparemment. Elle se trouvait stupide sur le coup de ne pas avoir prévenu Kiril.
Adonis – « Moi, je veux bien profiter… Ou profiter de toi. Tu choisis la manière… que tu veux l’entende. »
Ana – « Ferme la ! Qu’est ce qu’il te prend, tu es frustré ? »
Et lorsqu’il l’embrassa sur le front, la jolie blonde mit toute ses forces pour le pousser. Bon, maintenant en plus de regretter son frère, elle regrettait son choix d’habit. Il n’avait pas changé ce Adonis ! Toujours aussi stupide et roublard, en faite sa réelle maison était Serpentard, c’est ça ? Avec son imbécile de frère Maëlan ils pouvaient se donner la main… Non, Avril ne serait pas très contente si elle apprenait la manière dont sa meilleure amie traitait son petit ami. Quelle embrouille ces histoires, pire qu’amour, gloire et magie ! | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181
Lun 25 Oct - 1:39 |
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| Le Dashwood qui était le plus pris au piège. Il n’arrêtait pas d’accumuler les conneries par-dessus conneries, comme s’il n’y avait aucune fin. Tombait-il dans la débandade ? Oui. Il était fou à lié, mais les gens s’entêtaient à s’approcher de lui au lieu d’appeler l’asile pour venir le chercher. Il était frustré. Il était terriblement frustré par la vie. Il manquait un petit quelques choses dans sa vie se qui le freinait totalement. Peut-être l’amour d’une femme ? Oui, il avait besoin d’amour pour oublier son ancienne qui s’était mal fini. Je ne parle aucunement d’Avril, mais sa première copine, Mandy, qui lui avait brisé littéralement le cœur. Il s’en souvenait encore. Cela le terrifiait bien plus que vous pouvez le croire. Il était frustré de ne jamais obtenir ce qu’il désirait. Au fond, il était un grand sentimental qui se cachait sous ses traits de traitre et pathétique méchant. Personne ne voulait de lui ce qui lui faisait mal au fond. Il aimerait retrouver ses frères et sa sœur pour s’excuser, mais il ne pouvait penser que Maëlan ne le frappera pas à son arrivé, surtout qu’il avait envoyé une lettre à Avril en lui disant qu’il l’aimait encore au fond. Il était bien triste. Il était terriblement triste et il réalisait que c’était une erreur d’avoir kidnappé la pauvre Maëlys en croyant qu’elle était une autre en même temps, il était en train de désespérer sur son cas. C’était impulsif comme comportement. Il fallait comprendre qu’Adonis était loin d’être parfait. Il ne le sera jamais d’ailleurs. Il avait ses bons et ses mauvais côtés, malheureusement pour ses anciens partenaires sexuels, il était loin de les vouloir bien longtemps à ses côtés. Pourtant, il n’arrêtait pas de faire de la drague. Il aimait faire peur aux petites vierges en jouant avec leur sentiment, en jouant le bon garçon, en le promettant bien des choses et aussi en leur disant des obscénités. C’était un peu ce qu’il faisait à la fille de la nouvelle directrice, Lilith Grey. Il aimait lui dire des choses bien dégueulasses par moment, puis tout d’un coup il devenait si doux avec elle. Ensuite, il reprenait des distances à des kilomètres d’elle. Il jouait au yo-yo sans cesse. Il n’aimait pas sa mère. La question était… qui aimait réellement Lilith Grey sérieusement mise à part ses enfants? Elle était sûrement une mère très dur et qui ne méritait pas d’être mère. Il en était persuadé, mais il ne valait pas trop parler par moment. Adonis s’était approché d’Ana. Il l’avait pris par les épaules pour l’emmener valser sans lui faire du mal contre le mur d’une ruelle. Il ne pensait plus à Maëlys. Un changement d’idée, de penser. Quelques choses pour lui faire réellement du bien au fond. Adonis posa ses yeux sur Ana lui caressant le bras. « Je t’interdis de traiter ma mère comme ça, Adonis ! » Il leva les yeux au ciel. Une vraie perte de temps. Il vint déposer un baiser sur son front avec toute la gentillesse du monde pour ne pas l’embrasser à pleine bouche. Elle était tout de même très, très potable la fille de la pire des professeurs de poudlard sur le plan sévérité. Elle était la championne même. « Ferme la ! Qu’est ce qu’il te prend, tu es frustré ? » Il la regardait. Comment elle devenait ses états ? C’était bien la seule peut-être à pouvoir les détecter. Elle avait un vrai don. « Oui, je suis frustré. Et alors ? » Ils se regardaient. Il ne la lâchait pas des yeux. La coinçant un peu plus contre le mur de la ruelle. « Je n’ai pas couché avec une fille, depuis une semaine avant mon départ précipité. Tu te rends compte ? Un Dashwood qui n’a pas fait la fête… c’est grave ! » avait-il dit sur un coup de tête. « Puis sérieusement, je me fais chier ici. Je me fais chier partout où je vais. Maëlan m’attend avec son poing pour me battre encore… encore… encore… La seule chose que je suis fier, c’est d’avoir avoué ce que je ressentais pour Avril !!!! Je n’ai rien fait de mal, non ? Les gens préféraient que je fasse du mal à Avril ? En fait, pas toi. Toi, tu finissais par toujours intervenir avant que je la détruise… » Il glissa sa main du bras jusqu’à la hanche de Ana sans lui demander son avis, mais ce n’était pas de sa faute. Premièrement, il était en manque. Deuxièmement, il s’ennuyait à quelques parts de cette petite tête blonde. Troisièmement, elle était tellement… oh mon dieu. Il se la ferait bien dans la ruelle…s’il n’était pas un gentleman. Quoique ça pouvait toujours s’arranger, ça. « je ne t’avais jamais dit à quel point que tu étais belle ? À quel point que…. Hummmmmmmmm…. Tu es séduisante ? » Sa man partit de la hanche jusqu’au début de ses fesses s’arrêtant là. | |
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InvitéInvité
Lun 25 Oct - 12:30 |
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| Adonis – « Oui, je suis frustré. Et alors ? »
Ana ouvrit la bouche, prête à dire quelque chose mais en analysant sa phrase elle resta un moment muette. Comment ça ? Elle avait visé juste ? Elle referma lentement ses lèvres et toisa le jeune homme longuement, se retenant presque de mettre ses poings sur ses hanches comme aurait fait une maman. Finalement elle eu un léger sourire en coin en le regardant, plutôt fière de sa déduction. Inconsciemment, et puis parce qu’Ana était incapable de détester qui que ce soit, elle posa sa main sur les cheveux d’Adonis et les caressa légèrement avant de murmurer :
Ana – « Vraiment ? »
Adonis – « Je n’ai pas couché avec une fille, depuis une semaine avant mon départ précipité. Tu te rends compte ? Un Dashwood qui n’a pas fait la fête… c’est grave ! »
La main de la jeune femme retomba le long de son corps et elle lui lança un regard noir… Comment avait-elle pu penser une seule seconde que c’était autre chose qui le frustrait, sérieusement ? Elle avait affaire à Adonis là. Et apparemment oui, les Dashwood étaient tous les mêmes… En étant totalement différent. La preuve, Ana adorait Jude et trouvait Indiana plus mignonne que tout… Pour ce qui était des deux autres, elle se posait encore la question. Surtout que Jude n’hésitait pas à la fourrer avec Adonis à n’importe quel moment, histoire de l’intégrer dans la famille en pensant que c’était sa belle-sœur.
Même si l’ancien Serdaigle avait dit ça sur un coup de tête, Ana n’en était pas du tout au courant et ça paraissait complètement étrange, elle n’avait qu’une idée en tête : s’enfuir. Mais elle ne le comprendrait donc jamais ? Tantôt il était adorable –comme à cet instant où il déposait un tendre baiser sur son front- et tantôt il était ignoble avec ses remarques. D’ailleurs, la proximité de leurs corps et le mur derrière elle avait le don de la mettre mal à l’aise. Mais même si elle avait du mal à le comprendre, elle s’ennuyait parfois du jeune homme. Ca faisait sept longues années qu’elle supportait sa présence et ses sautes d’humeurs…
Adonis – « Puis sérieusement, je me fais chier ici. Je me fais chier partout où je vais. Maëlan m’attend avec son poing pour me battre encore… encore… encore… »
Ana – « Mais reviens à Poudlard alors… » murmura-t-elle en fronçant ses sourcils. « Et affrontes donc ton frère, tu as si peur de lui ? Je paris qu’il ne frappe même pas si fort que ça ! » C’était sur un ton de défi qu’elle s’adressait au jeune homme.
Adonis – « La seule chose que je suis fier, c’est d’avoir avoué ce que je ressentais pour Avril !!!! Je n’ai rien fait de mal, non ? Les gens préféraient que je fasse du mal à Avril ? En fait, pas toi. Toi, tu finissais par toujours intervenir avant que je la détruise… »
Ana – « Bien sûr que non, je ne pouvais pas. Je suis sa meilleure amie, j’aime beaucoup Avril… Je sais que tu détestais mes interventions. »
La demoiselle détourna légèrement son regard, en se rappelant les fois où elle était apparut dans la Salle Commune des Aigle quand on ne l’y attendait pas…Tellement plongé dans ses pensées, elle ne remarqua pas le mouvement de sa main, jusqu’à ce qu’un frisson lui prenne dans son dos. Elle mordue légèrement sa lèvre et croisa ses bras sur sa poitrine, comme pour se protéger, comme un signe de défense.
Elle remarqua alors que la main se dirigea vers le début de ses fesses. La jolie blonde posa alors sa main sur celle d’Adonis et entremêlèrent leurs doigts. Il voulait jouer, Ana allait lui montrer. Et oh… il était frustré hein ? La Serdaigle se rapprocha du brun, se détachant du mur, pour se coller à lui. Ses lèvres effleurèrent les siennes et elle murmura :
Ana – « Ah bon tu me trouve séduisante ? »
C'est avec le maître qu'on apprend. | |
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Adonis X. Dashwood
► MESSAGES : 181
Sam 30 Oct - 1:56 |
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| Adonis était un sale con au cœur brisé. Il regardait Ana avec ce petit regard qui était tellement chou à la fois méchant. Il y avait toujours cette lueur dans ses yeux qui ne lui appartenaient pas toujours. Il était un être très étrange qui ne cessait de changer à chaque situation, même à chaque seconde qui pouvait passer. Devant ses yeux se tenait une des filles les plus magnifiques qu’il avait côtoyés pendant sept ans sans jamais vraiment la remarquer. Pourtant, aujourd’hui, sa beauté le frappait de plein fouet. C’était étrange en fait, comme s’il avait eu les yeux fermés pendant toute cette année. C’était un con, en même temps. Tout le monde pouvait l’affirmer. Il était conscient qu’au fond qu’il était fou. Il n’arrivait jamais à se contrôler lorsque des pulsions quelconques venaient prendre le contrôle de son cœur, malheureusement. Maëlan était souvent témoin du changement et des pulsions d’Adonis ultra violente par moment. Il agissait sur des coups de tête finissant toujours par frapper un mur ou encore se mettre dans un merdier si grand qu’il ne pouvait s’en sortir sans aucune blessure de guerre. Il vivait une bataille constante avec ses péripéties parfois très étranges. Encore une fois, il s’était mis dans une sale position qui lui faisait vivre une péripétie de plus. Pouvait-il finir cette fois-ci à Azkaban ? Oui, car il avait kidnappé Maëlys qui restait enfermer chez lui en attendant son retour pour parler avec quelqu’un, même s’il savait qu’elle ne voudrait sûrement pas lui parler. Il était conscient du mal qu’il pouvait lui faire en étant aussi égoïste. Il était réellement égoïste avec cette femme qui ne lui avait rien fait appart lui voler son cœur. Au fond, elle ne lui avait pas totalement volé son cœur puisqu’il ressentait encore des choses par le côté qui ressemblait réellement à Avril Adler. Elle avait ce côté qui l’avait séduit et c’était celui qu’il avait remarqué. Bref, Ana ne ressemblait en rien à Avril, mais elle avait un petit quelques choses qui intéressaient Adonis puisqu’il ne lui avait pas fait encore de pression psychologique. Peut-être aimait-il le courage qu’elle avait face à lui à s’interposer à lui lorsqu’Avril tremblait comme une feuille par ce qu’il pouvait bien lui dire ? Peut-être au fond. Il regardait Ana tout à la touchant délicatement en la caressant parfois avec ses paumes et parfois du bout de ses doigts lorsqu’il dansait vers le bas de son corps. Il changea du tout au tout en parlant de ce qui se passait dans sa vie et ce qu’il ressentait au fond. Il s’ennuyait terriblement. Il s’ennuyait de sa famille, de poudlard… il voulait aussi revenir en arrière pour la courtiser d’une façon plus galante, plus conventionnel. Il voulait s’adresser à elle de façon correcte. Il voulait recommencer à zéro, mais il était trop tard pour revenir dans le futur. Peut-être pouvait s’inspirer du film back to the futur. Au fond peut-être que ce film sera la clé pour l’aider à trouver le chemin. Peut-être trouvé un petit homme avec de longue oreille et poilu, un peu vert tirant sur le gris, pas comme le grinch, mais je parle plutôt de Yoda, un maître rempli de sagesse et parole juste, mais désordonné. Il ne répondit rien au fait qu’elle voulait qu’il revienne à poudlard. C’était tout simplement impossible. « Bien sûr que non, je ne pouvais pas. Je suis sa meilleure amie, j’aime beaucoup Avril… Je sais que tu détestais mes interventions » Il la regarda et ferma un instant les yeux. Il continua à promener sa main doucement. « Ce n’est pas que je détestais tes interventions, mais ça me mettait plutôt hors de moi. Tu es courageuse, Ana. Je ne reviendrai pas à Poudlard, mon frère cogne très fort si tu veux savoir. Il n’y va pas de main morte, en plus. » Il descendit sa main jusque dans son dos où il baissa tout doucement ses mains vers ses fesses. Elle l’arrêta en prenant sa main pour entremêler ses doigts. Il haussa un sourcil un peu surpris d’être arrêté, mais aussi le fait qu’elle ne l’ait pas frappé pour lui faire comprendre de ne pas mettre sa main. Il eut le réflexe de pencher un peu sa tête. Il lui sourit un peu. Ana s’approcha un peu de lui, un peu plus et lui frôla les lèvres. Il se mordilla un peu la lèvre ayant envie de l’embrasser. Elle jouait. Il voulait bien jouer aussi. « Ah bon tu me trouve séduisante ? » Il leva les yeux au ciel, comme si la réponse y était écrit. « Bien sur que tu es séduisante. Ta mère est belle, mais c’est la reine des glaces. Toi, tu es encore plus belle. Puis, te sens-tu prête à être à ma hauteur pour jouer à ses jeux ? » il déposa ses lèvres sur les lèvres de Ana lui donnant qu’un simple bisou pour commencer sans brusquer, même s’il venait de le faire un peu, mais de façon réfléchi. « Puis… » il fronça les sourcils d’un coup, il venait de penser à un truc. Était-elle vierge ? « Es-tu...euuhh....ben... tu n'as jamais... tu sais, ben... le mot commençant par V et qui finit par E ? Si oui… » il gratta le haut de sa tête. Il était plutôt gêné à devoir lui demander ceci.. Il se sentait gentil avec elle aujourd’hui. Peut-être parce qu’il s’ennuyait trop. « Je ne veux pas jouer avec toi si c’est le cas. Je… tu n’en reviendras pas, mais je n’ai pas envie… que tu joues avec moi de cette manière. Je veux que tu aies un partenaire mieux que moi niveau sentiment et disons… que tu me rends fou…. Et que j’ai envie de toi et je me dis, merde qu’est-ce que je dis là. Elle te fait comprendre que tu veux jouer et tu lui dis non si elle n’a rien fait avec personne. » il lui fit un petit sourire. C’était bien Adonis. D’ailleurs, il était fou. | |
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