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| If Today Was your Last Day | |
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Ven 29 Jan - 3:58 |
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| - Premier post pour Valentine x) -
Candice courrait un peu partout dans la neige à l’extérieur de Poudlard. Elle sautillait dans la neige riant aux éclats toute seule. Elle n’avait pas besoin de personne pour rire et s’amuser dans la neige. Les gens qui passaient près d’elle, la regardait de travers, comme si elle était un monstre sorti tout droit d’un film mal fait. Elle était étrange. Jamais, personne n’avait réussi à totalement cerner la jeune femme qui ne se gênait pas à s’amuser peu importe l’endroit et le moment, même si elle était seule. Il y avait tous pleins de trucs qu’elle faisait que les autres ne faisaient plus depuis des années par moment. Elle se foutait de passer pour une fofolle. Elle était, comme elle était. La poufsouffle n’avait pas peur de s’affirmer, mais les gens étaient incapables de comprendre pourquoi elle agissait ainsi. Certains s’en prenaient à elle pour ce qu’elle était. Certains aimaient faire du mal aux personnes qui avaient une innocence, par moment, d’enfant. Il y a deux genre de Candice dans une Candice, il y avait celle qui se comportait comme une enfant complètement innocente et il y avait l’’autre qui agissait comme une adulte plutôt dévergondée. Jamais, elle n’avait agi, comme une personne normale, en fait presque. Elle mangeait, comme tout le monde, elle était parfois en couple, comme les autres, elle se retrouvait parfois dans un lit d’un garçon, comme certains, elle se lavait et allait comme tout le monde aux toilettes. En fait, c’était parfois ses réactions, son style vestimentaire et son petit côté enfantin qui faisait d’elle une marginale. Les gens étaient parfois extrêmement méchants avec elle, même si elle était très fragile intérieurement et extérieurement. C’était souvent malheureux de voir à quel point, Candice n’était pas si heureuse au fond, ce n’était qu’une image extérieure qu’elle donnait. Le retour à l’enfance avec son comportement qu’elle démontrait en ce moment. Elle riait seule ignorant les gens autour d’elle. Candice fit une boule de neige qu’elle lança sur un jeune garçon qui passait par là. Ce dernier lui lança un regard noir. La poufsouffle éclata encore plus de rire et lui en lança un autre. Le jeune garçon sortit de ses goûts et courut après Candice pour lui faire peur un peu. La jeune femme se mit à courir en direction du château en laissant échapper un petit cri ayant peur d’être rattrapée. Il est fou, pensa-t-elle en courant toujours. Elle s’arrêta enfin devant l’entrée du château. Elle regarda derrière elle et haussa les épaules, quand elle vit l’expression des autres élèves qui regardaient dans sa direction. Elle s’en fichait en fait. Ce qu’elle en avait marre des gens, par moment. Ceux-ci critiquaient qu’avec leurs regards étant incapable de se faire du plaisir dans la vie sans se soucier des autres autours…
La jeune Poufsouffle était tout trempée, c’était logique au fond, elle venait de se battre dans la neige avec elle-même avant de détaler plus vite qu’un lièvre vers le château se croyant poursuivi par un cingler de garçon qui ne voulait pas s’amuser avec elle. Ce qu’il était immature, celui-là ( *roll* Comme s’il était...). Candice n’ayant pas envie de se changer ou de passer par la salle commune pour aller rejoindre son dortoir, décida de monter les marches quatre à quatre pour aller faire une visite à une infirmière qu’elle connaissait. En fait, elle se foutait complètement d’être mouillée ou non. Si elle était malade, elle restera clouer au lit. À quoi bon s’en faire pour un rien ? Elle devait profiter du peu de moment que la vie lui donnait pour être heureuse. Elle n’était pas toujours ainsi, d’ailleurs il n’était pas rare de la voir dans un coin en train de pleurer en silence par ce qu’elle vivait. Elle avait vécu tant de choses étranges qu’elle ne comptait plus sur ses doigts – elle n’avait pas assez de doigt de toute manière – le nombre de fois qu’elle avait pleuré pour une situation étrange. Combien de fois avait-elle pleuré à cause des commentaires déplacés de certaines personnes qu’elle croyait être importante à leurs yeux ? Combien de fois l’avait-on utilisé pour lui faire des tâches difficiles tandis qu’elle croyait que c’était bien pour aider la personne ? Combien s’était-elle faite ridiculiser, quand elle prenait la part d’un trouillard qui n’osait même pas la remercier par la suite ? En fait, elle était peut-être étrange, mais elle assumait ce qu’elle était et elle avait un sale caractère pour pouvoir passer à travers certaines épreuves de sa vie. Ce n’était pas la joie chaque jour, mais elle vivait parfois les jours, comme si c’était les dernières. C’était peut-être étrange à s’imaginer, mais c’était la seule chose qu’elle avait trouvé pour ne pas s’angoisser pour un rien. Elle ne pensait pas à l’avenir, même si elle s’imaginait se trouver un petit mari et vivre une vie paisible avec, puis finalement avoir des enfants. C’était tout simple, non ? Mais elle ne se faisait pas trop d’illusion, elle avait terriblement de l’amour, car l’amour lui avait causé du tort. Elle finit par trop croire en eux, trop croire que c’est le prince charmant, quand il était qu’un coureur de jupon. Voilà, pourquoi elle tentait de ne pas penser à ce genre de futur qui pourrait être totalement faux.
Elle atteignit enfin l’étage où se trouvait l’infirmerie. C’était le troisième étage. La jeune rentra sans gêne dans l’infirmerie et se resta quelques minutes à regarder de droite à gauche. On avait l’impression qu’elle s’apprêtait à traverser une rue, mais en fait, c’est qu’elle cherchait Valentine. Elle l’aperçu près d’un lit. Candice s’approcha tout doucement et se pencha sur le lit vide où se trouvait Valentine. Elle déposa ses coudes et mit son visage dans les paumes de ses mains. Elle lui sourit, comme un enfant de cinq ans qui aurait fait une gaffe. « Saluuuuuuuuuuuuut !!!!! » dit-elle avec un peu trop de joie dans un endroit où se trouvait généralement des malades ou des blessés. Elle était un peu étrange, aujourd’hui, comme si elle aurait pris des substances illicites qui étaient interdites à l’école. Croyez-moi, elle n’avait aucunement besoin de la came pour être aussi étrange. « Alors, pas trop perdu ? Parce que moi aujourd’hui je pèteeeeeeeeeee le feu ! Tu fais quoi, au fait ? Je te dérange, sinon je vais repartir et aller parler à d’autre ou si je peux t’aider, je suis en forme, malgré mes vêtements mouillés. On s’en fout de toute façon. Ce qui est le plus important c’est que tout est joyeux aujourd’hui ! Puis des vêtements ça fini par sé-sé-sécher, han ? Dis-moi… Je te tape sur le système » Son sourire s’agrandit encore plus. Elle gardait sa tête dans les paumes de ses mains.
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Lucypher E. Van Hellsing
► MESSAGES : 31 Sam 13 Fév - 11:04 |
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| Valentine lisait tranquillement un livre sur une théorie idiote comme quoi si on parvenait a séparer son âme pour la conserver dans un réceptacle, le corps et l'esprit demeurait éternels. Foutaises. Elle lança négligemment le livre sur une pile pour en prendre un autre à peine plus intéressant s'inspirant des pratiques Vaudou et de la nécromancie, qu'elle jetta presqu'aussitôt. Quelle perte de temps, ce tas de papiers et de blabla inutile méritait à peine plus que d'alimenter les fourneaux de la cuisine. Elle allait prendre le dernier bouquin de la pile quand une sorte d'horripilant petit diablotin à tête rose déboula dans son champs de vision avec un sourire aussi éclatant que pouvait l'être le rose bonbon de ses cheveux. Peut être un sortilège répulsif pour faire déguerpir la drôle de créature ? Ou alors elle se mettait à dérailler, p'têt un fortifiant ?
Candice - Saluuuuuuuuuuuuut !!!!!', argh mais ça parle ce truc en plus ?'Alors, pas trop perdue ? Parce que moi aujourd’hui je pèteeeeeeeeeee le feu ! Tu fais quoi, au fait ? Je te dérange, sinon je vais repartir et aller parler à d’autre ou si je peux t’aider, je suis en forme, malgré mes vêtements mouillés. On s’en fout de toute façon. Ce qui est le plus important c’est que tout est joyeux aujourd’hui ! Puis des vêtements ça fini par sé-sé-sécher, han ? Dis-moi… Je te tape sur le système ?
Hypothèse n°1 : C'est un cauchemar du à une surlecture de traité sur le vaudou et la nécromancie. Hypothèse n°2 : Ca doit être Candice qui est en face de moi. Valentine se pinça le bras pour vérifier avant de reporter les yeux sur le petit machin rose survolté pour se rendre compte de sa présence bien réelle. Candice donc. Finalement peut être un sortilège répulsif contre les nuisibles et après un fortifiant pour la migraine... Quoique, au moins avec elle on savait être soi même.
Valentine - Salut petite lutine ! Tu viens juste voir si je suis encore vivante ou simplement tu t'ennuyait ? Tu pête toujours le feu, je devrais te mettre sous calmant en fait... peut être un peu de valériane avec de la camomille et de la florisomme. J'essayais juste de trouver quelques petites choses sans succès, mais ces bouquins sont juste bon à allumer un feu.', d'un mouvement de baguette, elle lui lance un sortilège de chaleur,' Là au moins tu dégoulinera plus sur mon sol. Et puis qu'est ce qu'il y à de si joyeux que ça aujourd'hui ?
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Candice JohnsonSORCIERE. ► créatrice de mode.
► MESSAGES : 534 Ven 26 Fév - 3:03 |
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| ( c'beurk de chez beurk-beurk. Je me reprendrai dans le prochain ^^ )
Candice avait eu une subite envie d’aller voir l’infirmière. C’était peut-être étrange d’ailleurs. La poufsouffle aimait tout le monde sans se poser parfois des questions. Il fallait dire que la pauvre préfète se faisait parfois marcher sur les pieds, puisqu’elle croyait en les gens. Elle savait que le mal était présent, mais elle ne pouvait se faire à l’idée que les gens voulaient la viser. Elle trouvait toujours une excuse envers ses gens. Elle était irrécupérable au fond, mais certains étaient rayés de sa carte de visite, heureusement pour elle. Elle n’aimait pas se faire frapper, comme tout le monde. Elle n’aimait pas souffrir, mais elle faisait toujours confiance dont elle ne devait pas faire autant confiance. Vous devez comprendre que Candice avait un grand cœur, le pardon était quelques choses dont elle était capable très facilement. On pouvait lui faire extrêmement mal, mais elle pardonnait quand même. Elle finissait toujours par se faire avoir par moment. Elle pardonnait et ces derniers recommençaient sans cesse à lui jouer dans le dos. Parfois, elle se tannait, mais c’était bien rare. Elle avait tout simplement envie de voir l’infirmière, puisqu’elle l’avait toujours un peu enduré en quelques sortes. Elle n’avait jamais levé la main sur elle, heureusement pour Candice qui l’aurait mal pris. Il était logique qu’une personne comme Valentine était bien représentée dans la tête de l’innocente préfète. Au fond, elle ne lui voulait pas la déranger, sauf qu’elle n’avait pas envie de se faire rejeter, lorsqu’elle allait voir quelqu’un… elle s’attendait à ce que la personne reste avec elle sans lui dire de s’en aller pour de bon, car elle était de trop. Elle ne voulait pas que cela se produise comme les autres fois où elle avait rendu visite à des gens qu’elle aimait bien, mais qui ne voulait pas d’elle. C’était compliqué. Elle se tenait tout près de Valentine lui souriant de toutes ses belles dents blanches. Candice avait posé sa tête dans ses mains et regardait l’infirmière. « Salut petite lutine ! Tu viens juste voir si je suis encore vivante ou simplement tu t'ennuyait ? Tu pête toujours le feu, je devrais te mettre sous calmant en fait... peut être un peu de valériane avec de la camomille et de la florisomme. J'essayais juste de trouver quelques petites choses sans succès, mais ces bouquins sont juste bon à allumer un feu. Là au moins tu dégoulinera plus sur mon sol. Et puis qu'est ce qu'il y à de si joyeux que ça aujourd'hui ?» « Je veux du chocolat. Je m’ennuyais de toi » dit-elle en souriant en la fixant toujours. « j’ai froid, Val. Il n’y a rien de très joyeux aujourd’hui. J’ai envie de te parler autour d’un énorme muffin au chocolat. Moi, j’ai faim aussi. J’adore discuter avec toi en mangeant. Tu sais que je t’adore aussi ? Je te dérange Valounette ? » Elle lui fit des yeux de chat botté. « Tu veux qu’on le fasse aujourd’hui pendant que je sois sec au coin du feu ? Hein ? Dis oui Valouuu. Dis oui Valou. Dis oui Valou. Allez, dis Oui. » Elle sautilla sur place sur le coup. Elle voulait absolument manger un peu, comme si à chaque fois qu’elle venait s’était pour quêter de la nourriture. | |
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