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| (v) ▪ ▪ ▪ Altaïr ≈ rien n'est vrais, tout est permis » | |
| PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:08 |
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| OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi. | NOM : Ibn La-Ahad PRENOM(S) : Altaïr AGE : 30 ans ORIGINE(S) : Arabe PROFESSION : Prof' de divination ETAT CIVIL : Célibataire
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OO2. Nous avons les moyens de vous faire parler. Quelle forme prend votre Epouvantard ? La peur elle-même... Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Ses parents adoptif Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Sans nuls doutes à Masyaf, en Syrie. Quelle forme prend votre Patronus ? Un aigle majestueux Quel est votre sortilège favori ? Finite Incantatem Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Prior Incanto Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? De l'excitation. Quelle forme de magie vous attire le plus ? La magie noire et divinatoire Appréciez-vous la discipline ? Rigueur et discipline voyons Quelle est la pureté de votre sang ? Pure OO3. Vous ! Oui, vous ! PSEUDONYME, PRENOM : Aurélie, Ceress AGE : 19 ans COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? Par Benj et je kiff sa race~ LE MOT DE LA FIN ? Cuicui!! | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:09 |
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Chapitre OO1. Les sables du temps.
Masyaf, Syrie 19xx
Samir, au moment où tu liras cette lettre je serait probablement mort ou disparu. Je veux que tu sache quelque chose que j'ai toujours cacher à tout le monde, même à ma femme... Il s'agit de mon fils Altaïr. Bien qu'il n'ai que trois ans je sais qu'il sera promis à de grande chose, le pouvoir de sa famille coulent dans ses veines. Des gens recherche ce pouvoir mais ne savent ou le trouver. C'est pourquoi s'il m'arrive quelque chose je veux que tu retrouves Altaïr et que tu en fasses ton fils, protège-le mon frère c'est le seul moyen...
Il ne faut pas que le collier soit retrouver, cache-le et donnes-le à Altaïr lorsqu'il auras dix-huit ans, je t'en supplie mon frère respecte le crédo des assassins, enseignes-le à mon fils. Ne fais jamais couler le sang d'un innocent mon frère n'oublie pas...
Si les sables du temps tombent entre leurs mains ce sera la fin de notre pays. Je l'ai cacher dans le [...]
La suite de la lettre semble avoir été brûler. | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:09 |
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| Chapitre OO2. Le passé appartiens au passé. Masyaf, Syrie
- Où est-il?! Se mit à crier un homme entouré de six autres hommes tenant les cheveux d'une jeune femme qui les suppliait de les laisser en vie.
- Je ne vois pas de quoi vous parlez mes frères.
- Te fout pas de nous! Je veux le collier!! Dis-moi où tu la cacher ou je fais exploser la cervelle de ta femme.
- Vous pourrez prendre une vie, mais vous seriez à jamais maudit.
Des coups de feu réveillèrent le petit garçon âgé d'à peine cinq ans, il s'approcha sur le pas de la porte qui conduisait au salon familiale et vît sa mère tombée agonisante, trois balle ça ne pardonne pas. Pourtant le visage de sa mère souriait en sa direction comme pour lui dire de ne pas faire de bruit, que papa le protègerais ainsi il ne devait pas se montrer... L'enfant resta sans voix observant la scène depuis l'entrouvrure de la porte.
- Chopez-le! Le chef le veux vivant...
Les six hommes s'emparèrent du père de famille puis s'en allèrent ne prêtant pas attention aux autres pièces de la maison, laissant Altaïr et sa mère mourante seuls...
Ce souvenir est sans doute le déclencheur de beaucoup de chose concernant l'Altaïr que vous connaissez aujourd'hui... Il est le signe de la vengeance, mais aussi du don divinatoire de l'orientale. Malheureusement, l'histoire d'Altaïr ne s'arrête pas là... Revenons quelques mois après la tragédie voulez-vous?
« La haine est un poison qui obscurcit notre jugement... »
Damas, Syrie, le Souk.
- Il est là, ne le laissez pas s'enfuir cette fois ! Reviens ici sale voleur.
La lois du plus fort c'est ici, tout les jours depuis mes six ans à défaut de ne plus me rappeler de mon passé je survis. Pour me nourrir j'ai dû apprendre à me battre, mais surtout à volé quelques fruits... Tout les jours le même refrain, les gardes connaissent mon visage par cœur à force, mais tel l'aigle en chasse je parviens toujours à les semer. Qu'importe la façon, j'ai appris à contrôler ma vitesse, ils sont trop lent et moi bien trop rapide. Je n'avais ni nom ni prénom. Je n'avais pas d'amis, je n'étais pas méchant. Je voulais simplement vivre était-ce trop demander ? Franchement qu'est-ce qu'un gamin de sept ans pouvait faire sans famille, sans connaissances ? Travailler ? J'étais fort mais pas encore un homme, jamais je n'aurais pu gagner ma vie honnêtement alors forcement contraint à volé deux trois pommes au marchands.
Je ne connais pas mes véritables origines, bien que je sois un homme plein de mystère ce n'est pas pour vous emmerdez plus que je ne le fais déjà, moi-même je ne me souviens de rien, enfin de rien avant mes six ans, même si ce cauchemar que je refait sans cesse ressemble à un souvenir je ne suis pas sûr qu'il soit réel... Je me suis réveiller comme ça dans la maison d'un paysan en Syrie, ne me souvenant de plus rien. Il me protégea pendant une année entière, m'enseigna l'art du vol afin de survivre puis me quitta, tuer par un garde. D'ailleurs, c'est la première fois que j'affrontais la mort, devant mes yeux le corps du vieux paysan était tomber inerte, ma colère était grande en voyant le garde hautain et fier de son geste. Ce jour-là j'aurais voulu le tuer, le saigner et vendre sa tête comme on vendrait une vulgaire pomme mais je n'avais que sept ans, je n'étais qu'un gamin.
« Celui qui cultive sa sagesse augmente sa tristesse. Car celui qui augmente son savoir augmente sa douleur. »
Masyaf, Syrie, 1980.
Volé et fuir était-ce vraiment ce à quoi j'étais destiné toute ma vie ? Non, non non je ne voulais pas ! Je rêvais d'aventure, de magie, je ne voulais pas l'avenir d'un éternelle vaurien. Moi aussi je voulais pouvoir me payer toutes les pommes que je voulais manger, moi aussi un jour je gouterais la viande chaude et l'odeur de la semoule sur une table entouré d'amis, moi aussi je...
Ce jour-là je m'en souviendrais parfaitement, le jour le plus important de ma vie. Celui où j'ai enfin eu droit moi aussi à un prénom, à un nom, à une famille, à une existence. Je m'étais évanouis dans une ruelle sombre de Damas épuisé par une nouvelle course folle, simplement pour du pain, juste un peu de pain et une gourde d'eau le soleil du mois de juin tapant beaucoup trop fort pour moi me vidant de toutes mes forces. Seulement je fut retirer de mon sommeille par deux odeurs ; L'odeur d'un parfum, féminin qui m'inspirais la douceur et l'amour de la mère que je n'avais jamais eu, et l'odeur de la viande dont je rêvais depuis des années. Soudain tout en ouvrant péniblement mes yeux verts j'ouïs la voix féminine à qui appartenait ce doux parfum qui apaisait mon cœur puis distinguait vaguement son visage, une femme blonde... Certainement pas originaire d'ici.
- Samir ! Samir ! Il se réveilles enfin. - Dieu sois loué. - Bonjour, tu nous as fait une sacré peur tu sais heureusement que Samir t'ai secouru. - Je m'appelle Samir al Hakim, et voici mon épouse Lucy. Je t'ai retrouver dans une ruelle en piteuse état, quel est ton nom ?
Difficilement je me redressa et m'adossa contre le mur, scrutant les environs comme un animal apeuré, leur maison était grande et luxueuse doté de tout le confort que je n'avais jamais eu. Décoré avec beaucoup de goût tout en gardant la chaleur de l'orient, l'atmosphère était chaleureuse que ça me fessais presque peur, je fini par déposé mon regard sur le couple qui semblait inquiet, la femme tenais une assiette qu'elle me tendis afin que je reprennes des forces tout en attendant la réponse à leur question. J'osa enfin à prendre la parole.
- Merci, mais je... Je n'ai ni nom ni prénom, je ne suis qu'un vaurien, un voleur sans passé ni avenir. - Bien, laisses moi alors te donné un avenir tu seras notre fils et ton prénom sera Altaïr.
Samir me donna le prénom d'Altaïr il me connaissait, il m'avait déjà vu et m'avais promis un avenir prometteur. Altaïr signifiant « l'Aigle en vol » en Arabe. Jamais je n'oublierais la bonté de Samir et Lucy c'était mes parents, ma famille. Samir m'enseigna beaucoup de choses et honnêtement je pense que c'était un grand homme, un assassin qui défendait la paix et les innocents, quelqu'un de respectable, Lucy quand à elle était une femme exceptionnellement douce et aimante je ne pouvais avoir mieux comme famille. J'appris à mes onze ans que j'étais moi aussi un sorcier, même si j'ignorais mes origines Poudlard semblait me connaitre même à des milliers de kilomètres. Samir et Lucy tous deux sorciers eux aussi autorisèrent mon voyage et c'est ainsi que je fut envoyé à Poufsouffle sans aucune hésitation.
Étudiant j'étais ce que je suis aujourd'hui, un gars mystérieux mais charmeur toujours prêt à lancé des blagues pas drôles et à rigoler avec n'importe qui, fidèle et bon vivant j'aimais la fête et les filles. Mais ce que je préférais le plus c'était laisser les gens dans le doutes, voir les autres se posé des questions sur nous-même c'est jouissif, auront-ils raison auront-ils tord? Si moi-même je ne me connais pas encore comment pourraient-il me connaitre. J'étais un élève assidu et assez doué sans m'en vanter, même si mon intérêt se porta beaucoup vers l'astronomie et la divination, depuis enfant je suis pris de frénésie je pensais que c'était un don divinatoire et mon professeur de divination à l'époque confirma mes doutes. J'appris également à maitriser mes capacité d'Animagus à la fin de ma scolarité, l'aigle me représentant parfaitement. Une fois diplômé je rentra en Syrie mais ce que j'y découvrit ne me fit pas chaud au cœur, Samir et Lucy avaient disparus. La seul et unique chose qui me restait d'eux c'était leur maison et deux lettres poser sur la table de ma chambre. Leur disparition n'était pas faite par hasard, j'en suis certain.
- Tu sais Altaïr, je veux que tu lises cette lettre, c'est celle que ton père ma donner avant de disparaitre peu après. Oui, je connais ton père Altaïr, et je sais que le même sort m'est réserver, je t'en supplie n'oublie jamais qui tu es.
La lettre de Samir m'expliqua bien des choses sur moi et mon passé mais, je devais d'abord assurer mon avenir avant d'assurer mes recherches et ma vengeance, c'est ainsi que je pu facilement enseigner ce que j'avais toujours aimer plus jeune, la divination à Poudlard. La divination est un art magique qui me ressemble, tout est mystérieux, mystiques, rien n'est sûr mais souvent probables et de toute façon pourquoi s'en priver lorsqu'on peut lire dans l'avenir comme moi? | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:09 |
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| Chapitre OO3. La légion Syrienne. « Nous ne partons pas en guerre sans soldats. Nous ne nous vengeons pas seuls contre une armée bien qu'elle vous soit encore inconnue. Je ne pouvais pas rester seul, j'espère que tu comprendras, père que pour venger ta disparition du sang doit couler. »
Quelque mois avant la rentrée scolaire de Poudlard, Damas, Syrie.
Je me tenais devant une bonne trentaine de personnes, si peu pour la guerre que je leur réservait mais en attendant c'était plus que ce qu'il fallait. Tous sont comme moi, épris par la vengeance, ou tout simplement corrompu par le monde qui les entoures. Je sortis de ma poche un papier à moitié brûler et jaunit par sa vieillesse, puis leur lis à voix haute.
- Citation :
- Samir, au moment où tu liras cette lettre je serait probablement mort ou disparu. Je veux que tu sache quelque chose que j'ai toujours cacher à tout le monde, même à ma femme... Il s'agit de mon fils Altaïr. Bien qu'il n'ai que trois ans je sais qu'il sera promis à de grande chose, le pouvoir de sa famille coulent dans ses veines. Des gens recherche ce pouvoir mais ne savent ou le trouver. C'est pourquoi s'il m'arrive quelque chose je veux que tu retrouves Altaïr et que tu en fasses ton fils, protège-le mon frère c'est le seul moyen...
Il ne faut pas que le collier soit retrouver, cache-le et donnes-le à Altaïr lorsqu'il auras dix-huit ans, je t'en supplie mon frère respecte le crédo des assassins, enseignes-le à mon fils. Ne fais jamais couler le sang d'un innocent mon frère n'oublie pas...
Si les sables du temps tombent entre leurs mains ce sera la fin de notre pays. Je l'ai cacher dans le [...] La lettre de mon père que m'avait laisser mon père adoptif ne se terminait pas, quelqu'un avait brûler volontairement la suite. Lorsque j'eus finit de lire la lettre des regards interrogeurs se posaient sur moi, bien sûr je savait ce qu'il se demandait. Pourquoi leur parlais-je de mon passé? Quel est ce collier? Où se trouve-il? Quel est son pouvoir? Tout ça, je l'avais rechercher bien avant parce que je savait qu'ils me poseraient des questions. Parfois pour devenir le chef d'une armée il faut d'abord attirer la confiance de ses soldats.
- « Si je vous ait réunis aujourd'hui et si je vous lis cette lettre personnelle c'est pour que vous sachiez que pour que la légion persiste et vous aide dans votre désir de vengeance il faudra d'abord m'aider. Ceux qui seront contre cette idée peuvent dès à présent se retirer, mais je préviens le premier qui osera me trahir se verra couper la gorge.
Je sais ce que vous vous demandez tous à propos de ce collier. J'ai fait mes recherches dans mon coin comme un grand et je peux aujourd'hui vous révéler que ce collier est un don, un don dangereux. Vous connaissez sans doute la légende de la boite du pandore? Le collier des sables du temps lui ressemble un peu... Ce collier abriterais, selon une vieille légende arabe les sable de l'Egypte. Un ancien et puissant sorcier maitrisant le temps et toute vie sur terre enferma son pouvoir dans un collier sous l'apparence de simple grains de sable. Quiconque possèderait ce collier verrais sa progèniture hériter d'un don de voyance particulièrement élever mais également le pouvoir de maitrisant le temps, de le changer ou bien encore de l'arrêter définitivement.
J'ignore où se trouve ce collier, mais il appartiens à ma famille et les personnes qui ont kidnapper mes parents recherchait cet objet. Je veux retrouver ce collier, et je veux me venger, je veux pouvoir faire couler le sang de ces ravisseurs. Ainsi, bien cher frères usons et abusons de nos magie noire et terrifiante afin de retrouver la paix au sein de notre peuple. »
Une fois mon discours finit des gens m'applaudirent, d'autres se posaient encore des questions, mais aucuns n'osa ressortir de l'église abandonner où nous nous trouvions. Cette fois c'était bon, j'étais devenus leur chef. La légion syrienne, une espèce de guilde de mage noirs qui m'aiderait dans mes plans, en retour j'extirperais le premier qui leur fera de l'ombre, comme tout ces moldus à Masyaf pervertit par le pouvoir. | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:10 |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 14:32 |
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| PROFESSOR { * }Re-validé of course. Désolée du dérangement, forum actif nous avait fait des bugs et vu qu'ils n'avaient pas l'air pressés de s'occuper de les réparer voilà. Hâte de participer à tes cours | |
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InvitéInvité
Mar 1 Sep - 16:26 |
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| Pas de soucis, merci | |
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